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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

dieu et l'homme

Dieu nous appelle, tous !

19 Septembre 2015, 18:34pm

Publié par Véronique

Dans les temps qui sont les nôtres, Dieu nous appelle toutes et tous à Le rejoindre, à une intimité vraie et sincère avec Lui.

Dieu souffre et pleure, sa création souffre et pleure.

Plus le temps ni de place pour les mensonges, la mort, la tiédeur, mais la vie, la joie, et l'espérance nous invitent à les suivre.

Nous sommes appelés à nous unir entre tous, dans l'amour, à prier et à intercéder les uns pour les autres, à nous porter les uns les autres.

Le retour en Gloire de Jésus approche. Nous sommes dans le temps des évènements.

La véritable vie est en la Sainte Trinité d'amour : Dieu le Père, Jésus le Fils et le Saint Esprit.

De par la création, nous sommes liés à la terre, nous sommes tous liés ensemble. Si l'un fait du mal, cela nous fragilise, si un autre fait du bien, cela nous soulève.

En la Vierge Marie, mère de Dieu, se trouve le chemin qui mène au véritable amour qu'est son Fils Jésus. Elle nous montre le chemin de l'amour parfait que nous sommes invités à suivre. En la priant, nous sommes invités à lui confier tous ses enfants de la terre, car elle ne veut pas qu'un seul d'entre eux ne soit perdu à jamais. Elle nous aime tous, individuellement, d'un amour particulier, tendre, attentif, doux, et nous pouvons intercéder auprès de notre maman du Ciel afin de confier à Dieu le Père toute âme vivant sur terre, pour qu'Il touche toutes les âmes surtout celles les plus touchées et attaquées par Satan.

Sainte Jeanne d'Arc est prête au combat.

France, relève toi ! Toi, Fille aînée de l'Eglise, regarde tes frères et soeurs qui souffrent. Dieu t'attend. Dieu t'a pris dans son coeur, particulièrement, alors, intercède à nouveau auprès de Lui, pour toi, afin raviver ta splendeur et ta force, et aussi pour tous ses enfants que Dieu te confie. Oui, Il a confiance en toi et espère en toi.

Véronique

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"Ouvre-toi !" - Homélie (Textes liturgiques : Is 35,4-7 ; Ps 145 ; Jc 2,1-5 ; Mc 7,31-37)

6 Septembre 2015, 17:52pm

Publié par Véronique

Dimanche 6 septembre2015 - 23° dimanche du Temps ordinaire

Textes liturgiques : Is 35,4-7 ; Ps 145 ; Jc 2,1-5 ; Mc 7,31-37

« Prenez courage, ne craignez pas, voici votre Dieu […] Il vient lui-même et va vous sauver » (Is 35, 4) Ce message d’espérance que lance le prophète Isaïe et que nous avons entendu comme première lecture se réalise dans le Christ Jésus. C’est lui qui prend l’initiative, c’est lui qui vient. c’est lui qui nous sauve.

Ce matin, nous sommes venus dans cette chapelle pour accueillir Celui qui vient, pour accueillir notre salut. Avons-nous conscience, frères et sœurs, de la nécessité pour chacun d’entre nous d’être sauvé ? Ce verbe “sauverˮ a deux sens, il signifie à la fois être tiré d’un mauvais pas, être délivré d’un ennui, mais il signifie aussi “faire vivreˮ. Et il nous faut accueillir les deux sens ensemble : laisser Dieu nous tirer d’un mauvais pas et le laisser nous faire vivre de sa vie.

Anastasis Bien sûr par la grâce de notre baptême, nous sommes déjà sauvés en germe et en espérance. Mais encore faut-il que nous soyons fidèles aux promesses de notre baptême, encore faut-il que nous accueillons au plus profond de nous-mêmes le salut qui nous est proposé en Jésus-Christ. Oui, pour une part, nous sommes sauvés, mais pour une part, nous avons encore à être sauvés. Qui d’entre nous oserait prétendre qu’il est évangélisé jusque dans les profondeurs les plus ultimes de son être ?

Laissons résonner en nous l’apostrophe sévère que nous lance l’apôtre Jacques dans la deuxième lecture. Imaginons qu’entrent dans cette chapelle par une porte un grand de ce monde et par l’autre un pauvre mendiant, ou un migrants syrien ou africain, saurions-nous les accueillir l’un et l’autre avec les mêmes honneurs ? Nos critères d’accueil, de rencontre de l’autre, sont-ils ceux du monde ou ceux de l’Évangile ? Je crois que nous pouvons aisément reconnaître que l’Évangile n’a pas encore pénétré dans toutes les fibres de notre être et que nos reflexes sont plus souvent humains qu’évangéliques. Oui, frères et sœurs, nous avons encore besoin d’être sauvés. C’est pourquoi il nous faut accueillir le Sauveur qui vient, qui se donne à nous par sa Parole et par son Pain.

Dans l’Évangile de ce jour, Jésus poursuit sa route en pays païens de Tyr à Sidon, dans les territoires de la Décapole « On lui amène un sourd muet et on le prie de poser la main sur lui  » (Mc 7, 32). Admirable confiance de ces personnes, dont on ne nous dit rien d’ailleurs ; admirable confiance de ceux qui « amènent » l’homme à Jésus. « Amener à Jésus et le prier de poser la main » Quelle belle prière, celle qui consiste à « amener à Jésus » en lui demandant seulement de poser la main sur lui.

Il y a là, frères et sœurs, une belle définition de la prière d’intercession. C’est une invitation pour nous à évangéliser notre prière d’intercession. Bien souvent, quand nous faisons des prières d’intercession, sans nous en rendre compte, nous donnons des ordres à Dieu : « fais ceci ; fais cela ; donne la guérison à telle personne ; fais que telle personne ait du travail ; fais que mon petit-fils ait son diplôme ; etc. » Finalement nous donnons des ordres à Dieu pour qu’il soit à notre service. Car nous savons mieux que Lui ce qui nous convient et ce qui convient aux autres. Nous nous faisons le centre… Saint Jean de la Croix, dans son Cantique Spirituel (CS B, strophe 2, § 8) nous indique de quelle manière intercéder. Il nous donne d’abord l’exemple de la Vierge Marie à Cana qui se contente de présenter la situation : « Ils n’ont plus de vin » (Jn 2, 3), puis il évoque les sœurs de Lazare, au lieu d’envoyer demander au Sauveur la guérison de leur frère, se bornèrent à lui représenter : « celui qu’il aimait était malade  » (Jn 11, 3) ».

Présenter simplement la situation pour que Dieu puisse agir selon les desseins de son amour , pour que son Règne puisse advenir dans cette situation ; pour que son Nom soit sanctifié dans cette situation, pour que sa volonté soi faire… Il y a là un chemin de conversion de nos mentalités et de nos manières de faire pour évangéliser nos prières d’intercession. Amener simplement la situation ou la personne au Seigneur, au Sauveur pour qu’il pose sa main sur elle. « Non pas ma volonté, mais ta volonté… » Silencieusement, discrètement dans le secret de ma prière, “amenerˮ à Jésus et le supplier de “toucher de sa mainˮ n’est-ce pas là un acte de charité

Avec discrétion, Jésus se retire à l’écart avec l’homme qui lui a été amené. Jésus ne veut pas faire du sensationnel, du spectaculaire… mais il veut faire vivre. Nous sommes sans doute un peu déroutés de voir Jésus poser des actes très concrets : « il lui mit les doigts dans les oreilles et prenant de la salive, lui toucha la langue, puis les yeux levés au ciel, il soupira » (Mc 7, 33-34). Réalité corporelle de notre foi. Le Verbe de Dieu a pris chair de la Vierge Marie, dont nous fêtons la nativité dans quelques jours. Il a pris un corps d’homme et cela donne une extraordinaire dignité à notre corps tel qu’il est et quel qu’il soit. Les gestes de Jésus nous rappellent que la foi ne se vit pas seulement au niveau de notre intelligence, de notre compréhension des choses. La foi se vit également au niveau de notre corps  : à travers l’eau de notre baptême, l’onction d’huile de notre confirmation ou de notre ordination, le pain et le vin de nos eucharisties… Notre foi s’expérimente de manière corporelle à travers les sacrements, à travers des signes corporels de génuflexions, d’agenouillement, etc.

Jésus lève les yeux pour invoquer le Père et recevoir la force de l’Esprit Saint. Son soupir est un gémissement, une prière qui jaillit dans ce cri « effata, c’est-à-dire ouvre-toi  » (Mc 7, 34). Jésus ne s’adresse pas ici aux oreilles ou à la langue, il s’adresse à l’homme lui-même. Il lui demande de s’ouvrir. Comme le proclame magnifiquement saint Augustin : « ce Dieu qui t’a créé sans toi, ne veut pas te sauver sans toi ». Le Sauveur veut nous voir collaborer à notre Salut. Et notre collaboration consiste simplement à nous ouvrir intérieurement à l’accueil de ce Salut. Consentir à être sauvé ; mais c’est la prière de Jésus à son Père, qui nous obtient la grâce de cette ouverture intérieure.

Cet « effata » faisait partie du rite du baptême. Aujourd’hui, il est laissé à l’initiative du prêtre. Le rituel du baptême précise : « si on le juge bon, le célébrant peut reprendre ici un geste de Jésus dans l’Évangile : il touche les oreilles et la bouche de l’enfant en disant : Effata, ouvre-toi. Le Seigneur Jésus a fait entendre les sourds et parler les muets, qu’il te donne d’écouter sa Parole et de proclamer la foi pour la louange et la gloire de Dieu le Père. » Laissons résonner cet « effata » dans notre cœur, dans notre corps, dans tout notre être en cet aujourd’hui de Dieu. À l’écart dans le secret de notre cœur, laissons Jésus mettre ses doigts dans nos oreilles et sa salive sur notre langue.

Que le Christ Jésus ouvre nos oreilles pour que nous puissions entendre sa Parole et la laisser prendre corps en nous, qu’il délie notre langue pour que nous puissions chanter avec lui la gloire du Père et devenir les témoins de ses merveilles au cœur du monde En venant à nous, le Sauveur nous recrée ; il nous restaure dans notre humanité ; il nous donne de communiquer en écoutant et en parlant : écouter Dieu et lui parler, écouter les hommes et leur parler. Pour ce Salut qui est déjà là et qu’il nous faut sans cesse accueillir et qui vient, rendons-lui grâce dans cette eucharistie. Amen.

fr. Didier-Marie de la Trinité, ocd

Source : http://www.carmel.asso.fr/Homelie-23o-Dim-TO-ouvre-toi.html

 

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PROPHÉTIE... DU PÈRE LOUIS-MARIE PEL.

4 Septembre 2015, 18:32pm

Publié par Véronique

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S’il vous plaît, que cela ne se répète pas !

4 Septembre 2015, 18:10pm

Publié par Véronique

C’est avec une très profonde tristesse que la Conférence des évêques de France a accueilli la nouvelle de la découverte de la dépouille d’Aylan, 3 ans, sur une plage turque.

Les images de cet enfant ont suscité une vive émotion compréhensible et partagée. Cette émotion est aussi celle provoquée par la mort du frère d’Aylan (5 ans) et de leur mère, eux aussi retrouvés sur la plage turque parmi les 11 personnes ayant péri dans ce naufrage.

Et cette émotion est aussi celle des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants morts durant leur exode vers un monde meilleur que leur propre pays.

En juillet 2013, face au drame de Lampedusa, le pape François s’était déplacé « pour réveiller nos consciences pour que ce qui est arrivé ne se répète pas ».

« S’il vous plaît, que cela ne se répète pas ! » avait-il martelé, ajoutant, « la mondialisation de l’indifférence nous rend tous « innommés », des responsables sans nom et sans visage ».

Aujourd’hui, cela se répète….

Nous le savons, la situation est complexe puisque les États ont le droit et le devoir de réguler les flux migratoires dans leur pays. Cependant le Pape François le rappelait lui-même devant les parlementaires européens lors de sa visite à Strasbourg en novembre 2014, l’Union européenne doit offrir « aide et accueil » aux migrants clandestins qui affluent à ses frontières. Des moyens supplémentaires, des actions nouvelles, dépassant les égoïsmes et les peurs doivent être déployés au plan européen.

C’est aussi à tous les niveaux de notre société que cette mobilisation doit se produire, au plan national, au plan local comme d’un point de vue individuel.

Ainsi, tout en soulignant l’action de nombreuses personnes qui s’engagent déjà pour sauver et aider les migrants, la Conférence des évêques de France tient aussi à appeler tous les catholiques et hommes de bonne volonté à apporter leur soutien et à ouvrir leur cœur vers leurs frères afin que leur errance vers une meilleure vie ne les amène plus à la mort.

L’image du petit Aylan nous fait prendre un peu plus conscience de la réalité des drames vécus par les migrants. Dieu nous parle à travers ces évènements et éveille notre conscience. Dans la prière, il nous faut en déchiffrer la signification. En de nombreuses églises, dimanche 6 septembre, les catholiques prieront.

Enfin, l’image d’Aylan nous renvoie à notre propre société et pointe ses égoïsmes, ses dysfonctionnements et ses fragilités. Elle doit nous appeler à un sursaut individuel et collectif. C’est l’accueil de la personne vulnérable, des plus pauvres, des migrants qui sauvera notre société.

« Nous ne sommes plus attentifs au monde dans lequel nous vivons… Nous ne prenons pas soin de ce que Dieu a créé pour tous et nous ne sommes plus capables non plus de prendre soin les uns des autres. Et quand cette désorientation prend les dimensions du monde, on en arrive à des tragédies comme celle à laquelle nous avons assisté. » Pape François, Lampedusa, juillet 2013

Mgr Renauld de Dinechin
Évêque auxiliaire de Paris
Responsable de la pastorale des migrants au sein de la Conférence des évêques de France

Source : http://www.eglise.catholique.fr/espace-presse/communiques-de-presse/400829-sil-vous-plait-que-cela-ne-se-repete-pas/

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La dictature mondiale et la théorie du genre qui tuent l’homme et la femme actuellement - père Daniel Ange

31 Août 2015, 15:37pm

Publié par Véronique

Une émission sur KTO, du mois de décembre 2014, avec le père Daniel Ange.

Il parle notamment de son dernier livre, aux éditions du Jubilé :

"Eblouissante sexualité, pourquoi te dynamiter ?".

(Pour les malentendants – une partie de la vidéo que j’ai transcrit au mieux)

 

Lorsque nous serons devant Jésus : « Tu savais ça et tu n’as rien dit… »

La dictature mondiale et la théorie du genre qui tuent l’homme et la femme actuellement (à partir de 20’56)

« Nous sommes dans le combat des derniers temps, parce que le démon attaque l’humanité dans son cœur même, dans tout ce qui touche à la vie, à l’amour, et donc il détruit l’humanité de l’intérieur.

Tu en arrives au point où tu ne sais même plus ce que c’est un homme ou une femme.

Donc on avait déjà cassé tous les repères pour les jeunes : y a plus de vérité, d’erreur, de mal, de bien… tout ça c’est des vieux trucs complètement périmés. Les deux seuls pôles de référence qui restaient encore : un homme est un homme, et une femme est une femme et ensemble ça fait un enfant… TAC, TAC, il ne reste plus rien ! C’est le nihilisme total, tu peux te référer à rien !

Et c’est notre Pape François qui a des paroles d’une force qui n’ont été reproduites pratiquement nulle part dès son homélie de Pontificat :

« Il y a des Hérode qui trament des dessins de mort défigurant le visage de l’homme et de la femme… Je suis contre toutes les formes d’expérimentations éducatives sur les enfants. On ne peut pas faire des expériences avec des enfants et des jeunes, ils ne sont pas des cobayes de laboratoires. Les horreurs de la manipulation éducative des dictatures génocidaires du 20ème siècle (nazisme et communisme) n’ont pas disparue. On fait marcher les jeunes sur la voie dictatoriale de la pensée unique. On se demande si l’enfant va à l’école ou dans un camp de concentration. On se pose la question « quel monde avons-nous légué à nos enfants ? », mais la vraie question est « quels enfants nous avons légué au monde ? ». »

On ne sait plus ce qu’est un enfant, sa fabrication, tout ce que vous savez, GPA, PMA… et donc on ne peut pas se taire sans avoir du sang sur les mains, quand je vais paraître devant Jésus, en disant : « Tu savais ça et tu n’as rien dit… ».

Quand on sait on a plus le droit de se taire.

 

(Manif pour tous) à 23’12 : « C’est fantastique, en France on a vécu un véritable miracle. Il y a trois, quatre ans, cinq ans on n’aurait jamais imaginé tout un peuple d’un million et demi, presque quatre fois de suite, cinq fois de suite, dans les rues de Paris, cela était impensable, et c’est là que tu vois qu’il y a toute une génération, que l’Esprit Saint suscite des anticorps contre tous ces virus de mort. Et c’est tout un peuple qui se lève, qui se relève, qui se rebelle… la vraie rébellion parce que nous sommes dans une véritable dictature au niveau mondial. Ce n’est pas propre à la France, je te ferai voir les documents de l’ONU et les documents de l’UE, etc, cette apogée, jusqu’aux pays d’Afrique pour avoir des sous de l’ONU ils doivent enseigner le gender dans leurs écoles.

« Tout ça vous le dénoncez dans votre livre ? » (le journaliste)

« Absolument. Je donne des faits concrets, je donne tous les documents, parce que des gens sont tellement aveugles et sourds, qu’ils te rétorquent « Tout ça c’est des rumeurs, c’est des rumeurs. ». Donc j’ai dû prouver que ce n’est pas des rumeurs. J’ai du même envoyer à un grand nombre d’évêques, des photocopies pornographiques de ce qu’on donne à nos enfants en Suisse, en Allemagne, etc. En Allemagne, les parents qui refusent d’envoyer leurs enfants au cours d’éducation ou plutôt de perversion sexuelle, sont mis en prison. Vous vous rendez compte. Comme si leur passé nazi n’avait pas suffi.

On est en pleine dictature idéologique vous voyez. Et que le Pape a raison de crier.

Et devant tout ça, comment voulez-vous que je me taise ? C’est impossible !

Et comme disait le cardinal Sin, aux Philippine sur la dictature : « Si l’épiscopat se serait tue, on serait accusé à tout jamais de complicité avec le mal, parce que neutralité = complicité. ».

Et donc c’est pour ça que mes derniers livres, je ne peux pas rester indifférent. Parce que quels jeunes on va avoir demain ?

Il faut qu’on construire en France 10000 hôpitaux psychiatriques pour nos ados de demain. 50% des enfants qui ont été transgendé, transgendré, dans les Kids Gender Clinics (orthographe ?) aux Etats Unis, ont déjà fait une tentative de suicide à l’âge de 14 ans, évidemment. Et pour moi c’est la rébellion contre le réel, c’est leur refus Luciférien tout simplement du réel, du corps… c’est l’enfant qui est attaqué.

On va fêter Noël dans quelques jours et tout gravite autour de l’enfant.

Une nuit de Noël, Jean-Paul II c’est écrié, c’est sorti de son cœur : « Dans chaque enfant à naître ou déjà né, il y a certainement Jésus. Il y a Jésus. ».

Donc tu défends Jésus. L’Eglise défend Jésus. En chaque enfant, et tous ces enfants confiés à l’Eglise, l’Eglise doit les protéger contre ce qui les détruit de l’intérieur. Tout gravite autour de l’Incarnation, de l’Enfant.

Et donc devant un tirant, tu es fort, parce que tu t’agenouilles devant l’Enfant de Noël.

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Soulageons la souffrance de nos frères chrétiens d’Orient !

31 Août 2015, 13:22pm

Publié par Véronique

Le vibrant appel de Mgr Gollnisch : "aujourd’hui on peut parler de persécution, de génocide".

Mgr Gollnisch

Mgr Gollnisch

Paris, le 18 août 2015

Chers amis,

La situation des chrétiens d’Orient n’a jamais été aussi grave !

Aujourd’hui on peut parler de persécution, de génocide.

L’Irak et la Syrie traversent  une crise historique ! Des peuples s’enfoncent dans un chaos profond et durable. Victimes de cette incroyable situation, des centaines de milliers de chrétiens ont dû abandonner leur maison et fuir dans les pays voisins.

Le Liban notamment est devenu une terre d’accueil providentielle, mais à quel prix. L’aide internationale est largement insuffisante, le gouvernement ne verse plus ni aides sociales ni  subventions depuis plusieurs années. Près de 30 % de la population est constituée de réfugiés, syriens surtout et irakiens. Imaginez 20 millions de réfugiés en France ! Le pays est au bord de l’implosion, avec la menace du DAECH tout proche.

« La situation catastrophique des irakiens et syriens déracinés ne cesse de s’aggraver, au point de les pousser au désespoir » m’écrit le patriarche syriaque. Tandis qu’à Beyrouth une religieuse me confie, désemparée : « nous ne pouvons aider les syriens et dire aux libanais qui sont dans la même détresse : « nous n’avons et ne pouvons rien pour vous. »

Les communautés religieuses, les prêtres font face, dans la mesure de leurs moyens, ils leur donnent tout ce qu’ils ont,  mais c’est si peu !

Et la situation risque d’empirer car on ne voit pas la fin des conflits ! Le pape a récemment encore souligné combien les chrétiens d’Orient sont des artisans de paix. Combien leur présence est essentielle au maintien de liens entre les communautés.

Avec leur départ, ce sont aussi les sources de la culture chrétienne qui vont se tarir ! Les chrétiens d’Orient doivent rester non seulement car ce sont leurs pays mais aussi pour les musulmans qui aspirent à plus de modernité et pour les nations d’Europe.

Nous sommes présents au quotidien auprès de ces communautés. Nous travaillons en étroite collaboration avec chacune d’elles pour répondre le mieux possible à leurs demandes et témoigner de la solidarité des chrétiens de France.

Alors, je vous demande de continuer à soutenir les chrétiens qui veulent rester sur place ou ne peuvent partir !  Prions pour nos frères. Tendons-leur la main ! Ils en ont tellement besoin !

Merci infiniment !

Mgr Pascal Gollnisch

 

Source : http://www.oeuvre-orient.fr/2015/08/20/soulageons-la-souffrance-de-nos-freres-chretiens-dorient/

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"Mon enfant, toi qui lis ces lignes..."

28 Août 2015, 17:06pm

Publié par Véronique

Extrait du Volume-5-A ‘’ Amour pour tous les miens-Jésus’’ * Je suis l’Amour, soyez amour

 

« Mon enfant, toi qui lis ces lignes, tu n’appartiens pas à ce monde sans vie, tu es à moi pour mon monde. Par ton consentement, tu entres en l’amour inconditionnel.

 

Soyez bons envers vous-mêmes et cessez de vous maintenir dans la noirceur. Il est là le temps de l’amour : Dieu est venu pour vous sauver de la mort éternelle, et vous ne vivez pas encore ce temps. À quand votre ouverture à la vie ? Choisis incrédules, vous vous dites enfants de Dieu et vous vous condamnez à errer dans une vie sans profondeur, sans vraiment d’amour. Vous ne voyez que ce que vous voulez voir, vous ne comprenez que ce que vous voulez comprendre.

Votre ferveur à aimer Dieu n’est qu’en surface. Vous que mon Père a choisis pour entrer dans un monde d’amour, combien de temps vais-je vous endurer encore ? Ce temps vous est donné pour revenir au Christ, comme mon Père le veut.

Marchez ensemble vers moi, ne vous dites pas meilleurs que ceux qui blasphèment mon Nom, que ceux qui disent que je n’existe pas, que ceux qui vont vers des rites divinatoires, eux sont dans l’ignorance, mais vous, vous savez qui je suis. Je vous parle par mes prophètes de ce temps afin que vous marchiez ensemble, pas seuls.

Qu’est-ce qu’il y a en vous pour que vous demeuriez dans votre souffrance ? Votre aveuglement. Vous ne voyez pas votre vie telle elle est. Votre vie appartient à celui qui est mort sur la Croix, et vous devez consentir à mourir en moi, le Sauveur du monde. Mais combien pensent que renoncer à eux-mêmes pour suivre les pas du Christ n’est pas réaliste ! Vous avez connu un monde de pouvoir et vous avez ce pouvoir en vous : votre volonté qui veut, qui obtient, qui connaît, qui force, qui tue.

Oui, vous tuez votre propre vie à force de vouloir. Une volonté stimulée par ce monde où le mal règne vous amène à ne plus vous comprendre. Vous savez ce qui est bon, et vous devez le vivre afin d’atteindre la vie éternelle. Que savez-vous de la vie éternelle ? Rien, car vous n’avez pas pénétré la vie éternelle.

 

– La vie éternelle est la splendeur de Dieu : Dieu est la Lumière, l’Amour, la Présence, la Tendresse, la Bonté, la Douceur, la Connaissance, la Beauté.
– Dieu est tout : Dieu seul est la Vie, Dieu seul est l’Éternel.
– Pénétrer la vie éternelle : c’est entrer dans le pouvoir immense de Dieu pour vivre le bonheur, et sans fin est ce bonheur.

– Le bonheur éternel fait jaillir toute connaissance : tout ce que Dieu a créé de visible et d’invisible est dans la connaissance, et tous perçoivent la lumière infinie de l’amour de Dieu.
– Être éternel : c’est savourer le savoir de Dieu, c’est vivre le pouvoir de Dieu, c’est être en Dieu.
– Dieu sait tout, voit tout, peut tout : c’est la vie éternelle qui se vit en Dieu.

 

Qui suit les pas du Christ a la vie éternelle. Voulez-vous suivre les pas du Christ ? Mes enfants, lisez la Bible et vivez-la. Faites des efforts d’amour pour aimer ceux que Jésus aime. Accompagnez vos frères et vos sœurs, là où ils sont rendus, afin de les aider à suivre les pas du Christ. Jésus a été là où on ne voulait pas de lui. Vous, voulez-vous aller vers vos frères et vos sœurs qui ne veulent pas de vous ? Jésus a été vers ceux qui ne l’aimaient pas alors qu’il savait qu’il était pour être crucifié. Pourquoi Dieu a-t-il permis que vous viviez avec ceux qui ne veulent pas vous aimer ? Par amour pour eux.

 

Tout comme moi, semez l’amour où il n’y en a pas et tous ceux qui ont été créés pour être sur cette terre recevront. Faut-il les priver de ma Parole qui fait germer l’amour ? Ma Parole est en vous et elle est en eux. Souvenez-vous que vous aviez besoin d’amour comme eux ont besoin d’amour. Cette nourriture est puissante, elle vient de mon Père pour chacun de vous. Jésus est Dieu, et je savais que vous étiez pour souffrir à cause d’enfants qui n’étaient pas pour écouter la Parole qui guérit, mais j’ai donné ma Vie par amour pour tous les enfants du Père.

 

Mes enfants, je suis la Parole, en moi il y a tant d’amour pour chacun de vous. Mon amour est sans limites et votre amour doit l’être aussi. Par moi, vous allez apprendre à entrer dans cette puissance d’amour qui vous ouvre à l’amour sans faille. Il est urgent de le vivre : ce temps est à l’apogée d’un monde d’amour. C’est moi qui me sers de vous pour le faire voir et c’est moi qui vous ouvre à l’amour inconditionnel.

 

Jésus vous dit : « Mon enfant, toi qui lis ces lignes, tu n’appartiens pas à ce monde sans vie, tu es à moi pour mon monde. Par ton consentement, tu entres en l’amour inconditionnel. Parce que tu es créé à mon Image, tu deviens ce que je suis par la grâce. Tu accomplis ta vie en moi et ton esprit est en l’Esprit de Dieu. Toutes tes pensées, tous tes regards, toutes tes écoutes, toutes tes paroles, toutes tes actions, tous tes sentiments ont la saveur de l’amour, puisque je suis l’Amour. »

« Grande est ma puissance et ma puissance est en toi : tu as en toi un pouvoir d’amour et ce pouvoir est en le Pouvoir de Dieu. Pour être en ce pouvoir d’amour, il faut que tu t’ouvres à l’amour inconditionnel et il faut que tu le vives, et tu ne pourras le vivre qu’en étant docile à tout ce que je te montre. Ma Mère va te donner des grâces afin que tu sois docile à mes paroles.

 

« Je suis en tous les enfants de mon Père. C’est Dieu le Père qui, en sa pensée, vous a créés : tous vous êtes ensemble. L’amour est en chacun de vous et cet amour est du Tout-Puissant. Comprends que lorsque tu n’as pas un amour inconditionnel pour un enfant créé, l’amour en toi est comme asphyxié : il manque d’air, l’amour. L’amour ne reçoit pas son plein d’amour qui vient de l’amour de tous les créés par l’Amour.

 

« L’amour donne et l’amour reçoit. Dieu le Père donne son amour à son Fils et le Fils qui reçoit redonne l’amour à son Père et leur amour forme le Saint-Esprit. C’est la puissance de l’Amour : nous sommes l’Amour. Vous avez tous l’amour en vous. Toi et même tous ceux qui ont de la difficulté à aimer, vous avez le même amour en vous. Si tu ne donnes pas de l’amour à un seul enfant créé, tu ne reçois pas de lui l’amour que tu dois recevoir pour donner de l’amour parfait, alors ton être connaît un manque de puissance. C’est une faiblesse qui t’habite à cause de ton ignorance face à l’amour qui est en toi.

«Tu as besoin de tous les enfants créés pour vivre en cette puissance qui est l’amour que Dieu t’a donné. Tu dois vivre ton consentement : ‘Oui, Dieu, je t’aime et j’aime tous ceux que tu as créés. Tu es la Puissance d’amour et ils ont été créés par ta puissance.’ Mon enfant, cette puissance est l’amour et l’Amour a fait d’eux des êtres d’amour. Ils sont l’amour et ils ont la puissance de l’amour en eux, tout comme toi qui as cette puissance. Lorsque je suis mort sur la Croix, je t’ai montré qu’il fallait que tu aimes tes frères et tes sœurs sans condition.

 

« Mon amour inconditionnel a vaincu la haine. Rien sur la terre n’est plus puissant que mon amour. Ma mort a fait de vous des êtres prêts à vivre l’amour inconditionnel capable de vaincre le mal. Le mal ne peut pénétrer l’amour, et il est en toi cet amour. Ma miséricorde est l’amour. Lorsque tu es miséricorde envers quelqu’un qui te blesse, tu te couvres d’une armure d’amour et ta blessure se change en acte d’amour. Tu te montres fort par le bien devant les attaques de Satan qui s’est servi de cette personne pour atteindre non seulement toi, mais tous les créés de mon Père.

 

« Satan vous hait. Il connaît vos manques d’amour envers vos frères et vos sœurs. C’est lui qui s’est servi de votre consentement : celui de connaître le bien et le mal pour vous atteindre. La noirceur est sur la terre, mais l’amour est en toi, en tous les créés de mon Père. Par ma mort, je vous ai libérés de la servitude du péché. Aujourd’hui, regarde ma mort et vis ma victoire en t’aimant sans condition. Ne dis pas que c’est difficile : le chemin étroit est celui qui te conduit en toute assurance vers ce qui est vrai. Lorsque tout est facile, tu oublies qui tu es et ce qui t’habite est laissé pour compte.

 

« Satan a perdu, il ne peut rien contre l’amour qui t’habite. Tu as cette force en toi et elle est puissante lorsque tu es tout amour pour les uns et pour les autres. Je suis mort sur la Croix par amour pour toi, par amour pour eux. Ma Croix, je l’ai aimée, elle était imprégnée d’amour pour toi et pour eux. Voilà pourquoi mes paroles te nourrissent. Je te les donne, reçois-les, et à ton tour donne-les, et les enfants de mon Père les recevront par l’amour qui est en eux.»

 

Oui, mes enfants, lorsque vous aimez inconditionnellement tous les créés de Dieu, mes paroles vous nourrissent tous, tel il en est pour vos actions. Elles sont nourries par l’amour et elles nourrissent les actions que font tous les enfants de Dieu, même s’ils ont des manquements envers leurs frères et leurs sœurs, car leur amour n’est pas mort, il est en eux. Vos bonnes actions enveloppent leurs actions, c’est la puissance de l’amour : cette puissance est agissante.

 

Lorsque vos actions sont faites avec un amour conditionnel, réalisez-vous que vous vous faites souffrir puisque vous êtes l’amour ? Puisque vous êtes créés à mon Image, ce que vous êtes est une ressemblance ternie par votre attitude envers vos semblables.


– Je suis Dieu, et tout ce que je suis est parfait : vous êtes créés, et par votre création vous avez en vous ce que j’ai en moi.
– C’est la grâce qui vous rend tel que je suis : à l’image de l’Amour vous êtes.
– J’aime inconditionnellement : vous êtes faits pour aimer inconditionnellement.
– Je vous porte tous en moi : votre être est un tout qui porte tous les créés de Dieu.

 

Lorsque vous n’êtes pas comme moi, vous vous faites souffrir. Le maître du mal vous rend aveugles en maintenant la souffrance en vous pour que vous ne soyez pas amour : sans condition. Vous êtes dans une chair faible à cause de la connaissance du mal et votre chair connaît la douleur.

Le mal aime que vous ayez peur de ne pas connaître l’amour parfait. Vous devez me faire confiance. Je suis l’Amour et vous avez l’amour en vous. Qu’arrive-t-il à votre amour lorsque vous manquez de confiance en Dieu ? Votre amour est contrôlé par la peur, et vous souffrez. Il ne reçoit pas les grâces que je veux lui donner, et comme vous avez besoin d’amour pour donner et recevoir vous êtes en manque de puissance d’amour.

 

L’amour est en vous, mais il a besoin d’être nourri par l’amour. Votre amour sans l’amour des autres est un amour sans saveur, sans lumière, sans chaleur, il est sans force. Votre amour a besoin de l’amour de chacun pour goûter à la puissance de l’amour. Il faut que vous soyez forts pour vaincre le mal que connaît votre chair. Satan ne vous fera pas de cadeau. Il mettra dans le quotidien de tous les créés des obstacles pour qu’ils souffrent afin qu’ils se maintiennent dans leur manque d’amour envers eux-mêmes.

 

« Un jour, une maman voit son enfant piocher sur le mur de sa chambre en se servant d’un bâton.

Elle lui dit : « Ne pioche pas sur le mur de ta chambre, tu vas faire un trou. »
Il continua sans se préoccuper de l’avertissement.
Elle répéta : « Je t’ai demandé de ne pas donner des coups avec ce bâton, tu vas faire un trou dans le mur. »
Mais l’enfant n’écoutait pas, il avait le cœur rempli de rage contre sa maman.
La maman s’arrêta et le regarda, et ce qu’elle vit, c’est de la douleur dans le regard de son enfant. Elle s’approcha et tout doucement lui dit : « Je t’aime, mais je ne peux pas te laisser ton bâton. » Elle lui enleva le bâton.
Et lui croisa ses bras sur sa poitrine en faisant une moue.
« Tu sais », dit-elle, « mon amour est toujours aussi fort que le jour où tu es sorti de mon ventre et je vais toujours t’aimer. Toi, tu dois apprendre à aimer qui tu es et à aimer les autres même s’ils te font de la peine. Si je t’ai fait de la peine en te privant de ton vélo, tu dois continuer à m’aimer; il sera plus facile pour toi de me dire ton mécontentement. Ton amour pour moi sera ta force et nous trouverons ensemble un moyen pour que tu puisses te servir de ton vélo sans danger. »
Il la regarda et lui dit : « Je t’aime, maman, mais mon ami m’a dit que si je ne vais pas avec lui, il ne serait plus mon ami. Je l’aime beaucoup, mais lui ne m’aime pas autant; des fois, il préfère jouer avec les autres. »
Sa maman comprit que sa douleur était causée par la peur de ne pas être aimé de son ami.

Elle lui dit : « Toi, tu es important et lui aussi est important. L’amour qui vous unit est le même que l’amour que j’ai pour toi, mais le mien est sans peur. Je sais que tu m’aimes et je t’aime même si tu ne te conduis pas bien. ».

 

Le petit lui dit : « Comment est-ce que tu peux m’aimer lorsque je fais des bêtises ? »
Elle dit : « Je n’approuve pas ta conduite, c’est toi que j’aime. Tes choix ne sont pas les miens alors que notre amour est le même, et je compte sur notre amour pour qu’un jour ta conduite soit bonne. » – Il dit : « Tu m’aimais tantôt, même si je ne t’ai pas écouté ? »
« Mais oui », dit-elle, « Jésus me donne sa force pour que je puisse t’accepter tel que tu es avec tes mauvais choix. Cela me fait souffrir lorsque tu ne m’écoutes pas, c’est pourquoi je prie sa Mère pour avoir de la force. La force de Jésus devient ma force, et elle est pour toi. » Elle savait qu’il avait besoin de connaître ce qu’il devait être pour qu’il soit fort à son tour. « Tu dois faire de même pour ton ami. Tu dois l’aimer pas pour qu’il soit toujours à tes côtés, mais parce qu’il est ton ami. Si tu as peur d’être mis de côté, tu dois être plus fort que ta peur et, pour être fort, dis-toi que tu as une force en toi parce que c’est Jésus qui te donne cette force. ».


Le petit garçon dit : « Comment être fort, je ne veux pas jouer tout seul. ».
La maman lui sourit et lui dit : « Tu as en toi une puissance et c’est l’amour. Si tu aimes, tu vas accepter ton ami tel qu’il est et tu vas t’accepter tel que tu es, c’est là que tu découvres que ton amour est plus fort que ta peur. Tu ne seras pas seul, tu seras avec tes qualités, ton sourire, et tes actions te donneront de la force, et elle est en toi la force. C’est ce que Jésus dit : «Être bon, c’est être fort. Être fort, c’est connaître la joie.»’ Elle continua : ‘N’aie pas peur, tu as en toi tout pour être fort. ».

 

Il dit : « Qu’est-ce que j’ai en moi ? »
« L’amour », dit la maman. « Tous ceux qui veulent être heureux ont de l’amour en eux, et ils sont en toi, ainsi que tout ce que Jésus a fait, c’est de l’amour et c’est en toi. Tu ne peux pas compter tout ce qui vient de lui et que tu as en toi, c’est trop nombreux, mais tu peux t’en servir. ».
Il dit : « Comment le faire, maman ? »
Elle lui répond : « En demeurant le bon petit garçon que tu es. Tes qualités vont surpasser tous tes défauts et tu seras aimé par tout le monde. Tu sais, tout le monde aime ceux qui sont gentils. ».
Le petit se jeta dans les bras de sa maman en lui disant : « Je vais être fort. Je t’aime.».

 

 

Source : Volume-5-A « Amour pour tous les miens-Jésus »

Reçu par La Fille du Oui à Jésus

Tiré de la section 5 – Je suis l’Amour, soyez amour (page. 77 à 84).

 

Source :  https://myriamir.wordpress.com/2015/08/26/extrait-du-volume-5-a-amour-pour-tous-les-miens-jesus-je-suis-lamour-soyez-amour-mon-enfant-toi-qui-lis-ces-lignes-tu-nappartiens-pas-a-ce/

(Et bravo pour le mérite d'avoir taper ce long temps, que je n'ai eu qu'à copier/coller)

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Un prêtre chaldéen nous avertit : « Le cancer est à vos portes »

28 Août 2015, 16:25pm

Publié par Véronique

Prêtre catholique chaldéen et ancien curé de la paroisse Mar Eliya de Bagdad, le Père Douglas Joseph Shimshon Al-Bazi, qui assure désormais son ministère à Erbil (capitale du Kurdistan irakien), était l’invité du Meeting pour l’amitié entre les peuples, organisé par le mouvement catholique Communion et Libération à Rimini chaque année et depuis 1980 dans la capitale de la province éponyme de Rimini en Émilie-Romagne. La session de cette année s’y est tenue du 22 au 28 août. À la suite de tant de prêtres et de prélats lucides, affrontés à l’islam au Moyen-Orient, le Père Al-Bazi rompt avec l’aveuglement de trop de religieux et de politiciens occidentaux, et nous lance un avertissement qu’il faut prendre au sérieux…

Le dimanche 23 août, au grand Meeting chrétien de Rimini, qui attire aussi chaque année de grandes personnalités du monde politique et économique, le père Douglas Joseph Shimshon Al-Bazi, originaire de Bagdad et actuellement curé catholique d’Irbil, dans le Kurdistan irakien, où il officie auprès des réfugiés, a prévenu les Italiens et les Européens : « En Italie, les musulmans vivent parmi vous et cohabitent avec vous. Mais quand c’est toi, le chrétien, qui dois vivre au milieu des musulmans, alors la cohabitation est impossible. » Ayant lui-même subi les exactions de musulmans, enlevé et torturé pendant 9 jours, et travaillant désormais auprès des réfugiés chrétiens qui ont fui l’avancée de l’État islamique, le père Al-Bazi sait de quoi il parle. Pour lui, l’EI est le vrai visage de l’islam. Les musulmans radicaux de l’EI font ce que faisait Mahomet il y a 1400 ans. « Les musulmans modérés n’existent probablement plus en Irak », a encore dit le curé d’Irbil, avertissant que les générations d’islamistes à venir seront sans doute encore pires. Face à l’arrivée massive de musulmans, qu’on a vu refuser les paquets de la Croix Rouge à la frontière macédonienne sous prétexte qu’ils n’étaient pas halal, le prêtre catholique prévient les Européens : « Le cancer est à vos portes. Ils vont vous détruire. » […] « Nous, chrétiens, sommes le seul groupe à avoir vu le visage du mal, l’Islam. », a encore prévenu le père Al-Bazi. « Priez pour mes frères, aidez-les, sauvez-les », a-t-il supplié les personnes présentes, car « ce qui arrive à mon peuple est un génocide, et le seul qui le reconnaisse est le pape François. »

 

Source : http://www.christianophobie.fr/breves/un-pretre-chaldeen-nous-avertit-le-cancer-est-a-vos-portes#.VeB9OMvouUk

 

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Aimer son prochain comme nous aimons Dieu. Une véritable réflexion à nous faire.

28 Août 2015, 15:58pm

Publié par Véronique

Aimer son prochain comme nous aimons Dieu.

Suis-je capable d’aimer mon prochain comme j’aime Dieu, même celui ou celle qui m’a profondément blessé ?

L’amour que nous avons pour Dieu, doit être le même que nous devons porter à notre prochain. C’est une véritable réflexion que nous devons nous faire et un travail sur nous-même, afin d’aimer comme Dieu aime.

 

Matth 22, 37-39

Jésus lui dit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Il y en a un deuxième tout à fait pareil : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

 

Matth 22, 31-44

Le jugement final « Lorsque le Fils de l’Homme viendra dans sa gloire accompagné de tous les anges, il s’assiéra sur le trône de Gloire, le sien. Toutes les nations seront amenées devant lui ; il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les chèvres. À sa droite il rangera les brebis, et à sa gauche les chèvres. Alors le Roi dira à ceux qui sont à sa droite : « Venez, les bénis de mon Père, prenez possession du Royaume qui est préparé pour vous depuis la création du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez accueilli, sans vêtement, et vous m’avez habillé. J’étais malade et vous m’avez visité, j’étais en prison et vous êtes venus vers moi. » Alors les justes lui demanderont : « Quand donc, Seigneur, t’avons-nous vu affamé pour ainsi te nourrir ? Quand t’avons-nous vu assoiffé et t’avons-nous donné à boire ? Quand t’avons-nous vu étranger et t’avons-nous accueilli, quand étais-tu sans vêtements et t’avons-nous vêtu, quand t’avons-nous vu malade ou en prison et sommes-nous venus à toi ? » Et le roi leur répondra : « En vérité je vous le dis, tout ce que vous avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » Puis il dira à ceux qui sont à sa gauche : « Retirez-vous loin de moi, maudits ! Allez au feu éternel qui a été préparé pour le démon et pour ses anges. Car j’ai eu faim et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais étranger et vous ne m’avez pas accueilli, sans vêtement, et vous ne m’avez pas habillé ; malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité. » Tous alors protesteront : « Seigneur, quand t’avons-nous vu affamé ou assoiffé, quand t’avons-nous vu étranger, sans vêtement, malade et en prison, sans te porter secours ? » Et lui leur répondra : « En vérité, je vous le dis, si vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. » Alors ceux-ci iront au châtiment éternel, et les justes à la vie éternelle. »

 

Seigneur, je n’arrive pas à aimer mon prochain comme je T’aime. Je n’ai pas pensé à ceux qui ont soif, ceux qui ne sont pas vêtus, ceux qui sont malades ou en prison, même dans mes prières. Seigneur, mets ton Amour en mon cœur afin que je Le connaisse, et viens faire en moi ce que je n’arrive pas à faire. Seigneur, aide-moi à aimer mon prochain comme Tu veux que je l’aime, et aide moi à pardonner à ceux qui m’ont terriblement blessé.

Amen.

 

Véronique

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Le combat spirituel - enseignements audios

25 Août 2015, 16:16pm

Publié par Véronique

Lourdes 2014 : le combat spirituel
Voici les enregistrements des enseignements de Lourdes sur le Combat Spirituel (juillet 2014).

Download Name Play Size Duration
download La Vierge Marie et le Démon
Fr. Jean-Emmanuel
  30 MB 1:05:27 min
download Les Armes du Combat Spirituel
Fr. Marie-Philippe
  20.6 MB 45:03 min
download Homélie
Mgr Brouwet
  6.4 MB 13:53 min
download L'Armure spirituelle
Fr. Yves-Marie
  25.8 MB 56:20 min
download Le Combat Spirituel dans la Régle
Fr. Jean
  22.1 MB 48:18 min
download Les Démons
Fr. Henri
  20.8 MB 45:22 min

Source : http://www.institutjeandelacroix.org/index.php/ressources

(en cliquant sur la flèche de gauche, vous pouvez enregistrer les enseignements sur votre portable ou votre ordinateur)

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