Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)
Que les élites spirituelles ouvrent leur bouche et évangélisent. Véronique 03/07/2015 - "Homme de loi, devient un homme de foi" Jésus 24/06/2018 (Ne tenez compte d'aucune publicité sur le blog)
Arménie : le martyre silencieux des chrétiens d'Orient, appel à l'aide ignorée, témoignages déchirants.
29 septembre - Fête des saints Michel, Gabriel et Raphaël, archanges
Injections covid - Conséquences dangeureuses voire mortelles ⚠️⚠️ Contrat Pfizer révélé. C'est très grave.
Mise à jour le 30/09/2023
La charité m'empêche de me taire.
Nous avons tous dans notre entourage plus ou moins proche, des personnes malades suite à ces injections covid, avec des pathologies plus ou moins graves notamment la fatigue. Les décès des personnes injectées augmente sans cesse, la surmortalité mondiale le montre notamment dans les pays les plus injectés.
Union de prière
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"Il y a des personnes qui depuis 2 ans, suite à une vaccination, ont des caillots sanguins qu'on ne peut pas dissoudre "
Témoignage exceptionnel à Strasbourg (le 13/09/2023) du cardiologue américain Mc Cullough.
De nouveaux courriels prouvent que la Maison Blanche a caché au public les effets nocifs du vaccin Covid ....
Mr Philippot (je rappelle que je suis apolitique), nous révèle le contrat Pfizer.
Bien écouter la vidéo, particulièrement à partir de la 5ème minute. C'est très grave.
Entretien avec André Bercoff Sud Radio avec Mme Christine Cotton
Il est question des essais cliniques , contrat Pfizer- Afrique du sud …
Direct avec Me Carlo Brusa - les contrats entre Pfizer et l'Union Européenne
Un canal sur TELEGRAM dédié aux témoignages d'effets secondaires des injections covid
⚠⛔ Âmes sensibles s'abstenir
Des exemples de témoignage
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Autres articles :
- Composition des injections covid (Lien)
- L'humanité en danger de mort (Lien)
- C'est la guerre, oui. La guerre de la vérité contre le mensonge, celle de la lumière contre les ténèbres (Lien)
- PFIZER avoue - Scandale ce 10 octobre 2022. L'aveu terrible. Nous sommes tous concernés. (Lien)
- S'informer, comprendre, prendre conscience, agir... (Lien)
Très Sainte Trinité, je Vous demande la grâce, par tout moyen à votre convenance, de faire arrêter définitivement ces injections covid qui sont dangereuses voire mortelle. Amen.
Les liens indiqués sur cette photo sont disponibles (sur Telegram) directement sur le lien de cette publication
TuckerCarlson - 25.09.2023 - L’avortement est passé de toléré à célébré
Seigneur Jésus, je Vous demande la grâce d'anéantir l'avortement et l'euthanasie dans le monde entier, par tout moyen à votre convenance. Amen.
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Ce soir, un « Secrets d’Histoire » consacré à Jean Paul II
Ce mercredi 27 septembre à 21h10, France 3 diffuse un numéro inédit de "Secrets d'Histoire" consacré au pape Jean Paul II.
Après Jésus et sainte Thérèse de Lisieux, c’est à saint Jean Paul II que l’émission « Secrets d’Histoire » a décidé de s’intéresser. Le mercredi 27 septembre à 21h10, France 3 diffuse en effet un numéro inédit consacré au pape Jean Paul II. Et pour l’occasion, Stéphane Bern s’est rendu à Wadowice, ville natale du pape polonais. Comme à son habitude, l’émission devrait revenir sur l’histoire de Karol Wojtyla, plus connu sous le nom de Jean Paul II, son enfance, ses combats, sa vocation, mais aussi la manière dont son pontificat a marqué l’histoire de l’Église. Chacun est étonné par son charisme, son sens des symboles, son génie de la communication et sa capacité à créer un lien très fort avec la jeunesse…
« N’ayez pas peur ! Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ ! À sa puissance salvatrice ouvrez les frontières des États, les systèmes économiques et politiques, les immenses domaines de la culture, de la civilisation, du développement. N’ayez pas peur ! » Le 22 octobre 1978, face à une place Saint-Pierre noire de monde, le nouveau pape Jean Paul II prononce, déjà, un discours qui restera gravé dans les mémoires. Plus de quarante ans plus tard, cette injonction résonne encore dans le monde entier. La force et la justesse des propos de saint Jean Paul viennent notamment de son vécu, lui qui grandit en Pologne et subit de plein fouet la guerre froide. Avant même le début de son pontificat, l’action de Karol Wojtyla a été déterminante pour la chute du communisme en Europe de l’Est.
Premier Pape à avoir visité Cuba, saint Jean Paul II se rendra dans 130 pays en 27 ans sur le trône de Saint-Pierre. Il multipliera les rencontres bouleversantes, comme lors de sa visite de dix jours en Inde, en 1986, au cours de laquelle il échangea avec Mère Teresa. La même année, dans un discours à la synagogue de Rome, il prononce notamment cette phrase à l’égard du peuple juif : « Vous êtes nos frères préférés et, d’une certaine manière, on pourrait dire nos frères aînés ». Enfin, saint Jean Paul II est sans conteste le Pape de la jeunesse, qu’il ne manquait pas de saluer à chacun de ses voyages. C’est à lui que l’on doit la création des Journées mondiales de la jeunesse, qui réunissent tous les trois ou quatre ans des dizaines de milliers de jeunes de tous les continents.
Messe présidée par le pape François au stade Vélodrome de Marseille - Direct
Union de prière
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Réponse à votre message du dimanche 17 septembre - Couple, annulation de mariage...
Bonjour.
Avant d'entamer des démarches, priez et voyez ce qu'il se passe, suite aux conseils que je vous ai donnés.
Je ne puis vous écrire plus longuement, je rentre de l'hôpital où je me suis faite opérée d'urgence (la 20ème opération). Je suis extrêmement fatiguée.
Je me confie à votre prière et je continue de prier pour vous.
Fraternellement, Véronique
15 septembre - Fête de Notre Dame des Douleurs
Aujourd'hui, en célébrant la mémoire de Notre-Dame des Douleurs, nous contemplons Marie qui partage la compassion de son Fils pour les pécheurs. Comme l'affirme saint Bernard, la Mère du Christ est entrée dans la Passion de son Fils par sa compassion.
Au pied de la Croix se réalise la prophétie de Syméon : son cœur de Mère est transpercé (cf. Lc 2, 35) par le supplice infligé à l'Innocent, né de sa chair. Comme Jésus a pleuré (cf. Jn 11,35), Marie a certainement elle aussi pleuré devant le corps torturé de son enfant. La discrétion de Marie nous empêche de mesurer l'abîme de sa douleur; la profondeur de cette affliction est seulement suggérée par le symbole traditionnel des sept glaives.
Comme pour son Fils Jésus, il est possible de dire que cette souffrance l'a conduite elle aussi à sa perfection (cf. Hb 2, 10), pour la rendre capable d'accueillir la nouvelle mission spirituelle que son Fils lui confie juste avant de « remettre l'esprit » (cf. Jn 19, 30) : devenir la Mère du Christ en ses membres. En cette heure, à travers la figure du disciple bien-aimé, Jésus présente chacun de ses disciples à sa Mère en lui disant : « Voici ton Fils » (cf. Jn 19, 26-27).
Marie est aujourd'hui dans la joie et la gloire de la Résurrection. Les larmes qui étaient les siennes au pied de la Croix se sont transformées en un sourire que rien n’effacera tandis que sa compassion maternelle envers nous demeure intacte. L'intervention secourable de la Vierge Marie au cours de l'histoire l'atteste et ne cesse de susciter à son égard, dans le peuple de Dieu, une confiance inébranlable !
Pape Benoît XVI
Extraits de l’homélie du 15 septembre 2008, à Lourdes, sur l’esplanade du Rosaire, lors de la messe du 150ème anniversaire des apparitions.
15 septembre : Mémoire de Notre-Dame des Sept-Douleurs
Article venant du site Notre Dame des Neiges
« Votre peine, Vierge sacrée, a été la plus grande qu'une pure créature ait jamais endurée ; car toutes les cruautés que nous lisons que l'on a fait subir aux martyrs, ont été légères et comme rien en comparaison de Votre douleur. Elle a été si grande et si immense, qu'elle a crucifié toutes Vos entrailles et a pénétré jusque dans les plus secrets replis de Votre Cœur. Pour moi, ma très pieuse Maîtresse, je suis persuadé que Vous n'auriez jamais pu en souffrir la violence sans mourir, si l'esprit de vie de Votre aimable Fils, pour lequel Vous souffriez de si grands tourments, ne Vous avait soutenue et fortifiée par Sa puissance infinie » (Saint Anselme - "De l'exercice de la Vierge", I, 5).
1. La prophétie du Saint Vieillard Syméon (Luc, 2, 34-35)
2. La fuite de la Sainte Famille en Égypte (Matthieu, 2, 13-21)
3. La disparition de Jésus pendant trois jours au Temple (Luc, 2, 41-51)
4. La rencontre de Marie et Jésus sur la via dolorosa (Luc, 23, 27-31)
5. Marie contemplant la souffrance et la mort de Jésus sur la Croix (Jean, 19, 25-27)
6. Marie accueille Son Fils mort dans ses bras lors de la déposition de Croix.
7. Marie abandonne le Corps de Son Fils lors de la mise au Sépulcre.
Contemplons donc dans les bras de Marie, l'Homme-Dieu crucifié pour nos iniquités et compatissons aux douleurs excessives de notre Mère du Ciel. Joignons nos larmes aux Siennes et détestons nos péchés qui ayant provoqué la mort de Son Divin Fils, ont également été la cause de Son intime martyre. Prions-La de nous obtenir du Sauveur les grâces nécessaires pour profiter de Ses exemples et imiter Ses vertus lorsqu'Il Lui plaira de nous faire part de Ses humiliations, de Ses douleurs et de Sa croix.
TEXTES LITURGIQUES (SEPTEM DOLORUM BEATÆ MARIÆ VIRGINIS) :
- Hébreux 5, 7-9 : Tout Fils qu'Il était apprit de ce qu'il souffrit, l'obéissance
- Psaume 31, 2 : Prière dans l'épreuve : En Toi Seigneur, j'ai mon abri
- Jean 19, 25-27 ou Luc 2, 33-35 : Jésus et Sa Mère ou Prophétie de Syméon
Liens :
Séquence de la Messe (avant l'Alléluia) : Stabat Mater + « La violence de la douleur a donc transpercé votre âme, en sorte que ce n’est pas sans raison que nous vous proclamons plus que Martyre » (Saint Bernard de Clairvaux) + Les larmes de Marie, par Léon Bloy + Chapelet des larmes de douleurs de la Vierge Marie + Homélie de Sa Sainteté le Pape Benoît XVI pour la Messe de Notre-Dame des Douleurs (15 septembre 2008 à Lourdes) + La compassion de Marie, par Bossuet + Le Stabat Mater : Histoire + La Fête de Notre-Dame des Sept-Douleurs (Historique) + Prière à Notre-Dame des Sept-Douleurs
Commentaire Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
4ème Sermon pour l'Assomption (trad. cf. Pain de Cîteaux 8, p. 105 et SC 202, p. 459)
« A partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui »
Quand Jésus s'est mis à parcourir les villes et les villages pour annoncer la Bonne Nouvelle (Mt 9,35), Marie l'accompagnait, inséparablement attachée à ses pas, suspendue à ses lèvres dès qu'il ouvrait la bouche pour enseigner. A tel point que ni la tempête de la persécution ni l'horreur du supplice n'ont pu lui faire abandonner la compagnie de son Fils, l'enseignement de son Maître. « Près de la croix de Jésus se tenait Marie, sa mère ». Vraiment, elle est mère, celle qui n'abandonnait pas son Fils, même dans les terreurs de la mort. Comment aurait-elle pu être effrayée par la mort, elle dont « l'amour était fort comme la mort » (Ct 8,6) et même plus fort que la mort. Oui, elle se tenait debout près de la croix de Jésus et la douleur de cette croix la crucifiait dans son coeur elle aussi ; toutes les plaies dont elle voyait blessé le corps de son Fils étaient autant de glaives qui lui transperçaient l'âme (Lc 2,35). C'est donc à juste titre qu'elle est proclamée Mère ici et qu'un protecteur bien choisi est désigné pour prendre soin d'elle, car c'est ici surtout que se manifestent l'amour parfait de la mère à l'égard du Fils et la vraie humanité que le Fils avait reçue de sa mère...
Jésus « l'ayant aimée, il l'aima jusqu'à la fin » (Jn 13,1). Non seulement la fin de sa vie a été pour elle, mais aussi ses derniers mots : achevant pour ainsi dire de dicter son testament, Jésus a confié le soin de sa mère à son plus cher héritier... Pierre, pour sa part, a reçu l'Eglise, et Jean, Marie. Cette part revenait à Jean comme un signe de l'amour privilégié dont il était l'objet, mais aussi à cause de sa chasteté... Car il convenait que personne d'autre ne rende ses services à la mère du Seigneur que le disciple bien-aimé de son Fils... Et par cette disposition providentielle, le futur évangéliste pourrait s'entretenir familièrement de tout avec celle qui savait tout, elle qui, depuis le commencement, observait attentivement tout ce qui concernait son Fils, qui « conservait avec soin toutes ces choses et les méditait dans son coeur » (Lc 2,19).