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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

enseignements

Le mystère de la Joie - Enseignements donnés par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

15 Mars 2015, 17:37pm

Publié par Véronique

Le 16.II.2015 au Sanctuaire Notre-Dame du Laus (Saint-Étienne-le-Laus)

Ces trois enseignements ont été donnés par le Père Michel-Marie durant une session ski-spi.

 

Première partie

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Deuxième partie

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Troisième partie

 

 

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Le choix des ténèbres conduit au Jugement de Dieu (Jn 3, 14-21) - père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

15 Mars 2015, 16:45pm

Publié par Véronique

Évangile : Dieu a envoyé son Fils pour sauver le monde (Jean 3, 14-21)

De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l'homme soit élevé, afin que tout homme qui croit obtienne par lui la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique : ainsi tout homme qui croit en lui ne périra pas, mais il obtiendra la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne veut pas croire est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. En effet, tout homme qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne lui soient reprochées ; mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient reconnues comme des œuvres de Dieu.

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Prédications de Carême ! - du Père Michel-Marie Zanotti-Zorkine

12 Mars 2015, 17:56pm

Publié par Véronique

Semaine après les Cendres

 

En ce temps- là, Jésus disait à ses disciples : « Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux- là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra. Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites : ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et aux carrefours pour bien se montrer aux hommes quand ils prient. Amen, je vous le déclare : ceux- là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu pries, retire-toi dans ta pièce la plus retirée, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra. Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux- là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu jeûnes, parfume- toi la tête et lave- toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. »

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En ce temps-là, les disciples de Jean le Baptiste s’approchèrent de Jésus en disant : « Pourquoi, alors que nous et les pharisiens, nous jeûnons, tes disciples ne jeûnent-ils pas ? » Jésus leur répondit : « Les invités de la noce pourraient-ils donc être en deuil pendant le temps où l’Époux est avec eux ? Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors ils jeûneront. »

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Source : http://delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2014-2015/2015-02-16/semaine/

Dimanche 22 février 2015 - Ier dimanche de Carême

 

Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ selon saint Mc 1, 12-15

Jésus venait d’être baptisé. Aussitôt l’Esprit le pousse au désert et, dans le désert, il resta quarante jours, tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient. Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ; il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »

La prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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Source : http://delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2014-2015/2015-02-22/jour/

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Purifions notre Temple intérieur (Jn 2, 13-25) Michel-Marie Zanotti-Sorkine

8 Mars 2015, 15:29pm

Publié par Véronique

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Les chemins de la hauteur : la transfiguration (Mc 9, 2-10) Michel-Marie Zanotti-Sorkine

1 Mars 2015, 19:30pm

Publié par Véronique

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Début du carême - Le silence qui prépare l'action / père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

19 Février 2015, 15:11pm

Publié par Véronique

(Je manque de temps pour mettre cet enseignement par écrit, notamment pour les malentendants, je m'en excuse - Véronique)

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"Répandre la miséricorde de Dieu sur toutes les personnes qui le demandent d'un coeur sincère..." - Pape François

15 Février 2015, 17:18pm

Publié par Véronique

MESSE AVEC LES NOUVEAUX CARDINAUX

HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS

Basilique vaticane
Dimanche 15 février 2015

[Multimédia]


 

“Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier”… Jésus, saisi de compassion, étendit la main, le toucha et lui dit : “ Je le veux, sois purifié !” (cf. Mc 1, 40-41). La compassion de Jésus ! Ce “pâtir avec” qui le rapprochait de toute personne souffrante ! Jésus, ne se ménage pas, au contraire il se laisse impliquer dans la douleur et dans le besoin des gens… simplement, parce qu’il sait et veut “pâtir avec”, parce qu’il a un cœur qui n’a pas honte d’avoir “compassion”.

« Il ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais restait à l’écart, dans des endroits déserts » (Mc 1, 45). Cela signifie que, en plus de guérir le lépreux, Jésus a pris aussi sur lui la marginalisation que la loi de Moïse imposait (cf. Lv 13, 1-2. 45-46). Jésus n’a pas peur du risque d’assumer la souffrance de l’autre, mais il en paie le prix jusqu’au bout (cf. Is 53, 4).

La compassion porte Jésus à agir concrètement : à réintégrer celui qui est exclu ! Et ce sont les trois concepts-clé que l’Église nous propose aujourd’hui dans la liturgie de la parole : la compassion de Jésus face à l’exclusion et sa volonté d’intégration.

Exclusion : Moïse, traitant juridiquement la question des lépreux, demande qu’ils soient éloignés et exclus de la communauté, tant que dure leur mal, et il les déclare « impurs » (cf. Lv 13, 1-2. 45-46).

Imaginez combien de souffrance et combien de honte devait éprouver un lépreux : physiquement , socialement, psychologiquement et spirituellement ! Il n’est pas seulement victime de la maladie, mais il éprouve en être aussi le coupable, puni pour ses péchés ! C’est un mort-vivant, “comme quelqu’un à qui son père a craché au visage” ( cf. Nb 12, 14).

En outre, le lépreux inspire la peur, le dédain, le dégoût et pour cela il est abandonné de sa propre famille, évité par les autres personnes, exclu de la société, ou plutôt la société elle-même l’expulse et le contraint à vivre dans des lieux éloignés des gens bien-portants, l’exclut. Et cela au point que si un individu bien-portant s’était approché d’un lépreux il aurait été sévèrement puni et souvent traité, à son tour, de lépreux.

C’est vrai, le but de cette règlementation était de “sauver les bien-portants”, “protéger les justes” et pour les sauvegarder de tout risque, exclure “le danger”, traitant sans pitié celui qui est contaminé. Ainsi, en effet, s’exclama le grand-prêtre Caïphe : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas » (Jn 11, 50).

Intégration : Jésus révolutionne et secoue avec force cette mentalité enfermée dans la peur et autolimitée par les préjugés. Toutefois, il n’abolit pas la Loi de Moïse mais il la porte à son accomplissement (cf. Mt 5, 17), déclarant, par exemple, l’inefficacité contre-productive de la loi du talion ; déclarant que Dieu n’apprécie pas l’observance du Sabbat qui méprise l’homme et le condamne ; ou quand, face à la pécheresse, il ne la condamne pas mais au contraire la sauve du zèle aveugle de ceux qui étaient déjà prêts à la lapider sans pitié, estimant appliquer la Loi de Moïse. Jésus révolutionne aussi les consciences dans le Discours sur la montagne (cf. Mt 5), ouvrant de nouveaux horizons pour l’humanité et révélant pleinement la logique de Dieu. La logique de l’amour qui ne se fonde pas sur la peur mais sur la liberté, sur la charité, sur le zèle sain et sur le désir salvifique de Dieu : « Dieu notre Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la pleine connaissance de la vérité » (1 Tm 2, 3-4). « Je veux la miséricorde, non le sacrifice » (Mt 12, 7 ; Os 6, 6).

Jésus, nouveau Moïse, a voulu guérir le lépreux, il a voulu le toucher, il a voulu le réintégrer dans la communauté, sans “s’autolimiter” dans les préjugés ; sans s’adapter à la mentalité dominante des gens ; sans se préoccuper du tout de la contagion. Jésus répond à la supplication du lépreux sans hésitation et sans les habituels renvois pour étudier la situation et toutes les éventuelles conséquences ! Pour Jésus ce qui compte, avant tout, c’est de rejoindre et de sauver ceux qui sont loin, soigner les blessures des malades, réintégrer tous les hommes dans la famille de Dieu ! Et cela scandalise certains !

Et Jésus n’a pas peur de ce type de scandale ! Il ne pense pas aux personnes fermées qui se scandalisent même pour une guérison, qui se scandalisent face à n’importe quelle ouverture, à n’importe quel pas qui n’entre pas dans leurs schémas mentaux et spirituels, à n’importe quelle caresse ou tendresse qui ne correspond pas à leurs habitudes de pensée et à leur pureté rituelle. Il a voulu intégrer les exclus, sauver ceux qui sont en dehors du campement (cf. Jn 10).

Il y a deux logiques de pensée et de foi : la peur de perdre ceux qui sont sauvés et le désir de sauver ceux qui sont perdus. Aujourd’hui aussi il arrive, parfois, de nous trouver au croisement de ces deux logiques : celle des docteurs de la loi, c’est-à-dire marginaliser le danger en éloignant la personne contaminée, et la logique de Dieu qui, avec sa miséricorde, serre dans ses bras et accueille en réintégrant et en transfigurant le mal en bien, la condamnation en salut et l’exclusion en annonce.

Ces deux logiques parcourent toute l’histoire de l’Église : exclure et réintégrer. Saint Paul, mettant en œuvre le commandement du Seigneur de porter l’annonce de l’Évangile jusqu’aux extrêmes limites de la terre (cf. Mt 28, 19), scandalisa et rencontra une forte résistance et une grande hostilité surtout de ceux qui exigeaient aussi une observance inconditionnelle de la Loi mosaïque de la part des païens convertis. Même saint Pierre fut durement critiqué par la communauté quand il entra dans la maison du Centurion païen Corneille (cf. Ac 10).

La route de l’Église, depuis le Concile de Jérusalem, est toujours celle de Jésus : celle de la miséricorde et de l’intégration. Cela ne veut pas dire sous-évaluer les dangers ou faire entrer les loups dans le troupeau, mais accueillir le fils prodigue repenti ; guérir avec détermination et courage les blessures du péché ; se retrousser les manches et ne pas rester regarder passivement la souffrance du monde. La route de l’Église est celle de ne condamner personne éternellement ; de répandre la miséricorde de Dieu sur toutes les personnes qui la demandent d’un cœur sincère ; la route de l’Église c’est justement de sortir de son enceinte pour aller chercher ceux qui sont loin dans les « périphéries » essentielles de l’existence ; celle d’adopter intégralement la logique de Dieu ; de suivre le Maître qui dit : « Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler les justes mais les pécheurs » (Lc 5, 31-32).

En guérissant le lépreux, Jésus ne porte aucun dommage à qui est bien-portant, au contraire, il le libère de la peur ; il ne lui apporte pas un danger mais il lui donne un frère ; il ne méprise pas la Loi mais il apprécie l’homme, pour qui Dieu a inspiré la Loi. En effet, Jésus libère les bien-portants de la tentation du “frère-ainé” (cf. Lc 15, 11-32) et du poids de l’envie et des murmures des ouvriers qui ont « enduré le poids du jour et la chaleur » (Mt 20, 1-16).

En conséquence : la charité ne peut être neutre, aseptisée, indifférente, tiède ou impartiale ! La charité contamine, passionne, risque et implique ! Parce que la charité véritable est toujours imméritée, inconditionnelle et gratuite ! (cf. 1 Co 13). La charité est créative pour trouver le langage juste afin de communiquer avec tous ceux qui sont considérés comme inguérissables et donc intouchables. Trouver le langage juste… Le contact est le vrai langage communicatif, le même langage affectif qui a transmis la guérison au lépreux. Que de guérisons nous pouvons accomplir et transmettre en apprenant ce langage du contact ! C’était un lépreux et il est devenu annonciateur de l’amour de Dieu. L’Évangile dit : « Un fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle » (Mc 1, 45).

Chers nouveaux Cardinaux, ceci est la logique de Dieu, ceci est la route de l’Église : non seulement accueillir et intégrer, avec un courage évangélique, ceux qui frappent à notre porte, mais sortir, aller chercher, sans préjugés et sans peur, ceux qui sont loin en leur manifestant gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. « Celui qui déclare demeurer dans le Christ doit, lui aussi, marcher comme Jésus lui-même a marché » (1 Jn 2, 6). La totale disponibilité pour servir les autres est notre signe distinctif, est notre unique titre d’honneur !

Et pensez bien, en ces jours où vous avez reçu le titre cardinalice, invoquons l’intercession de Marie, Mère de l’Église, qui a souffert elle-même l’exclusion à cause des calomnies (cf. Jn 8, 41) et de l’exil (cf. Mt 2, 13-23), afin qu’elle nous obtienne d’être des serviteurs fidèles à Dieu. Qu’elle nous enseigne – elle qui est la Mère – à ne pas avoir peur d’accueillir avec tendresse les exclus ; à ne pas avoir peur de la tendresse. Que de fois nous avons peur de la tendresse ! Qu’elle nous enseigne à ne pas avoir peur de la tendresse et de la compassion ; qu’elle nous revête de patience pour les accompagner sur leur chemin, sans chercher les résultats d’un succès mondain ; qu’elle nous montre Jésus et nous fasse marcher comme lui.

Chers frères nouveaux Cardinaux, regardant vers Jésus et vers notre Mère, je vous exhorte à servir l’Église, de façon que les chrétiens – édifiés par notre témoignage – ne soient pas tentés d’être avec Jésus sans vouloir être avec les exclus, s’isolant dans une caste qui n’a rien d’authentiquement ecclésial. Je vous exhorte à servir Jésus crucifié en toute personne exclue, pour quelque motif que ce soit ; à voir le Seigneur en toute personne exclue qui a faim, qui a soif, qui est nue : le Seigneur qui est présent aussi en ceux qui ont perdu la foi, ou qui se sont éloignés de leur propre foi ou qui se déclarent athées; le Seigneur qui est en prison, qui est malade, qui n’a pas de travail, qui est persécuté ; le Seigneur qui est dans le lépreux – en son corps ou en son âme –, qui est discriminé ! Nous ne découvrons pas le Seigneur, si nous n’accueillons pas l’exclu de façon authentique ! Rappelons-nous toujours l’image de saint François qui n’a pas eu peur d’embrasser le lépreux et d’accueillir ceux qui souffrent toutes sortes de marginalisation. En réalité, chers frères, sur l’évangile des exclus, se joue, se découvre et se révèle notre crédibilité !

 

Source : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/homilies/2015/documents/papa-francesco_20150215_omelia-nuovi-cardinali.html

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Exorcisme à Capharnaüm : l'action du démon en notre temps - père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

11 Février 2015, 16:10pm

Publié par Véronique

Prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine du dimanche 29 janvier 2012

Évangile : Jésus est le Prophète qui enseigne avec autorité (Marc 1, 21-28)
Jésus, accompagné de ses disciples, arrive à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit mauvais, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu. » Jésus l'interpella vivement : « Silence ! Sors de cet homme. » L'esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. Saisis de frayeur, tous s'interrogeaient : « Qu'est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, proclamé avec autorité ! Il commande même aux esprits mauvais, et ils lui obéissent. » Dès lors, sa renommée se répandit dans toute la région de la Galilée.

Télécharger la prédication : http://delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2011-2012/2012-01-29/jour/

 

Pour :

- les malentendants

- les personnes qui ne disposent pas d’assez de temps pour écouter la prédication du père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

- pour les personnes faisant le catéchisme 

- mais aussi pour les prêtres qui ne croient pas au diable, et je l’ai encore malheureusement entendu pendant l’homélie de dimanche dernier (dans le but d'une correction dans l'amour fraternel, uniquement)

 

Mes frères biens aimées,

Je suis désolé, pardonnez, mais je vais devoir assombrir votre dimanche, vous dire deux mots sur le démon, sur le diable.

Je ne peux pas faire l’impasse, c’est l’évangile de ce jour qui m’y oblige.

La nuit dernière, quelqu’un encore me téléphonait, sentant près de lui une présence mystérieuse et effrayante, suscitant angoisse et peur. A ce sujet, je puis vous assurer, et je sais que vous me faites confiance, que pratiquement tous les jours, je reçois des personnes préoccupées par des attaques qui semblent venir d’en bas, et qui appellent à grand cri une libération intérieure.

En vous révélant cela, je ne me fais pas d’illusion, je sais bien ce que vous pensez, ou du moins ce qui peut travers votre esprit : vous vous dites peut-être que ces angoisses, que ces peurs, autrement dit ces fameuses attaques que l’on attribue aux démons, viennent tout simplement de l’homme et de sa psychologie complexe, et dans certains cas de déficiences psychiques.

Et bien permettez-moi de vous dire tout de suite et de vous répondre que vous n’avez pas totalement tort de penser ainsi, et qu’il convient en effet d’être extrêmement prudent avant d’attribuer au démon des phénomènes qui ne relèvent que de l’homme.

Cependant, cependant, faisons bien attention, le démon existe.

Il n’appartient pas à l’ordre des mythes. Il n’est pas une invention de l’Eglise catholique. Il appartient à la réalité surnaturelle.

Et puisque qu’on le voit ce matin surgir dans l’évangile, et pas moins que de parler au Christ, permettez-moi bien que je n’aime pas beaucoup, je vous l’avoue, prêcher sur cet être abject, exprimer quelque chose de sa triste réalité.

D’autant qu’en parlant peu de lui, pour ne pas dire pas, on fait son jeu.

Vous connaissez sans doute le mot fameux de Baudelaire : « la plus grande ruse du démon », écrit-il, « c’est de faire croire qu’il n’existe pas ».

Mes frères, je l’affirme donc aujourd’hui, pour une énième fois, de manière à confondre sa ruse, le démon existe, et pour vous en assurer, vous acceptez la révélation biblique comme le plus haut témoignage de la vérité, au cas où subsisterait en vous un léger doute, commençons pas le commencement, et examinons ce que la Sainte écriture nous en dit.

Comme vous le savez, le démon apparait évidement dès les premières pages de la Bible sous la figure archi-connue du serpent, que l’on voit ramper sous les yeux du premier homme et de la première femme, sournoisement, promettant la lune, et il sait si bien le faire, il va réussir à les détourner de Dieu et à plonger l’humanité dans un chaos infernal, corrompant viscéralement la nature humaine, provoquant une rupture entre l’homme et son créateur.

Et il faudra attendre le Christ et son sacrifice sur la Croix, pour que de nouveau l’amitié soit rétablie entre la créature humaine et Dieu son Père.

Et je sais mes frères que vous le croyez, c’est là toute notre foi.

J’ajoute ici que si le serpent a été choisi par l’Esprit Saint pour symboliser l’action du démon sur l’humanité à l’origine des temps, c’est évidement pour manifester le caractère rusé, dissimulateur de cet être immonde qui est Satan. Et par l’image du venin dont cette bête est porteuse, indique clairement que le mal dont il est l’instigateur, va se propager de génération en génération, inoculant la mort spirituelle à tout enfant venant en ce monde.

Mes frères il faudrait des heures pour exprimer le mystère de corruption universelle qui a commencé d’atteindre l’homme depuis son origine.

Ce matin nous retenons simplement qu’à l’aube de la création, Satan a agi, avec puissance, séduisant l’homme en lui promettant pas moins que de devenir Dieu lui-même, « vous serez comme des dieux » a-t-il dit au premier couple humain, les entrainant dans un éloignement radical à l’égard du Père Céleste qui pourtant nous aime comme personne.

Satan les a donc trompés, rien de plus normal.

Il est le père du mensonge,

le roi de l’arnaque,

et par conséquent il est homicide,

assassin, depuis les commencements.

 

Et comme il ne peut pas atteindre Dieu, et le détruire, et c’est son drame, la haine qu’il éprouve contre Dieu, il la retourne sur ce qu’il y a de plus précieux dans la création à savoir, l’homme !

Et je dirai même, comprenez bien ce que je vais dire : contre la femme, qui est le chef d’œuvre de Dieu, la petite dernière à avoir été créée, celle qui au fond est la plus fragile, la plus vulnérable.

Et en affirmant cela, je ne laisse pas entendre que la femme serait plus encline que l’homme à l’erreur à l’imperfection, que sais-je, au péché, ou à je ne sais quelle chute, non, je dis simplement qu’elle est comme un cristal très fin, comme une porcelaine de grand prix, extrêmement précieuse, qu’il faut magner avec beaucoup de soins, parce que sa sensibilité est à fleur de peau, parce qu’elle est impressionnable, parce que l’univers de l’amour est son univers bien plus qu’il n’est l’univers de l’homme, et c’est pourquoi le démon cherche à la faire tomber de son piedestal.

Croyez-moi, de même qu’il s’est attaqué un jour directement à Eve, aujourd’hui encore, sachant les espérances que Dieu met dans la femme, car je vous rappelle que c’est elle seule qui a le pouvoir d’enfanter, et qui du fait protège l’enfant en son sein, et travaille ainsi à l’avenir du monde, le démon essaye en priorité de l’attaquer, et de la détruire.

Comment ?

Et bien en la détournant de sa vocation fondamentale qui est l’amour. Et oui, c’est là sa place. C’est dans la maison de l’amour qu’elle doit habiter. Et la maison de l’amour ça n’est pas la maison de la cuisine ou de la vaisselle ou du non travail à l’extérieur, c’est la maison du sentiment, du don de soi, de la vibration affective, elle est faite pour cela. Si bien qu’une femme pourrait occuper les plus hautes responsabilités, et tant mieux, être ingénieur, professeur, astronaute, académicienne, présidente de la république, ou tout ce que vous voudrez, si elle ne vit rien dans l’ordre de l’amour, elle ne sera jamais accomplie.

Voilà la vérité, et le démon pour la tuer, lui serine continuellement à l’oreille, qu’il y a plus important que l’amour dans la vie, qu’elle doit s’affranchir de la domination de l’homme, et que si elle ne veut pas d’enfant, elle se libère par là d’un grand carcan. Voilà ce qu’il lui dit.

Quelle attaque insidieuse et mortelle. Car dès que la femme ne place plus l’amour au sommet de sa vie, tout s’écroule : plus de couple, et par conséquent plus de famille, et c’est alors que la société n’est plus alors qu’un vaste agglomérat de personnes individuelles qui ne cherchent plus à s’aimer.

Et ici, nous comprenons que Satan avec son intelligence perfide, se soit attaqué tout de suite à celle que nous appelons Eve, et dont le nom signifie, qu’elle est la mère des vivants.

En affirmant ce matin que le démon cherche à atteindre l’humanité et à la détruire en passant par la femme, je redis haut et fort, que celle-ci est le chef d’œuvre et la préférée de Dieu.

Faisons donc attention, si la femme ne s’occupe plus de construire un bel amour avec celui qu’elle a choisi, en vue de la création d’une famille, le démon ricane et se réjouit car il veut la mort de l’humanité, donc il veut autonomiser les personnes, séparer l’homme de la femme, promettre à chacun une réalisation personnelle, en un mot assassiner l’amour et faire éclater la belle et irremplaçable réalité de la famille.

Voilà son plan actuel sur le monde, et il est en train de le mettre en œuvre et de le gagner. Ce plan, il le conduit depuis l’origine.

Mais cherchons encore la présence du diable dans la Sainte écriture, cela nous fait du bien ce matin. Si dans l’ancien testament après les grands textes sur la création du monde le démon est présent mais d’une manière oserai-je dire assez discrète, certes on le voit intervenir dans l’épopée d’Abraham, dans la vie de Moïse, on le retrouve caché sous les versets du livre de Job, mais au fond, durant l’histoire d’Israël on le voit peu.

Sans doute n’a-t-il pas encore de bonnes raisons de se manifester.

En revanche, dans le nouveau testament, alors là, on le voit circuler librement, et il s’en donne à cœur joie, ou plutôt à cœur amer.

Il a plusieurs identités. Il est appelé bien sûr :

- l’antique serpent,

- le grand dragon,

- le diable,

- Satan, mais aussi

- le mauvais,

- le tentateur,

- l’accusateur,

- le prince de ce monde,

- l’ennemi, et Saint Paul ira même jusqu’à l’appeler le dieu de ce siècle.

Il faut dire qu’avec la présence du Christ sur la terre, le démon va littéralement se déchainer, et c’est normal, car saint Jean dit dans son évangile, que c’est pour détruire les œuvres du diable que le fils de Dieu s’est manifesté.

Dès que Notre Seigneur Jésus-Christ entre sur le ring de l’histoire humaine, le démon tremble de toutes ses forces.

Alors il se mobilise, et les possédés vont se multiplier sur son passage, et aujourd’hui comme vous l’avez vu dans cet évangile le démon n’a pas froid aux yeux, il y a va de toute son intelligence et de toute son audace.

Tenez, regardez le faire, ou plus exactement se débattre.

Allons prenons place dans la synagogue de Capharnaüm et assistons à l’un des plus grands exorcismes de notre histoire.

Permettez-moi de vous rappeler que les possédés, lorsqu’ils étaient calmes, étaient admis à la synagogue, et apparemment cet homme qui dans quelques instants va faire un raffut du diable, est tranquille sur son banc. De son côté, Jésus, comme à son habitude est en train de prêcher, avec amour bien sûr, et sur l’amour c’est sûr ! Et le démon, je vous l’ai dit, lui qui veut mettre à mort le mystère de l’amour, et l’amour il l’a là devant lui, c’est l’amour incarné, il ne résiste plus, c’est amour le brûle et le contraint à sortir de son retranchement silencieux.

Et voilà donc que ce possédé se lève et se met à invectiver le Christ. Ecoutez ces mots qui viennent de l’Enfer : « Qui a-t-il entre nous et toi ? Tu es donc venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es, le Saint de Dieu ! ».

Voilà mes frères, trois phrases prononcées par Satan, à travers la gueule d’un homme, car l’homme possédé n’est plus un homme, c’est une bête.

Dans ces propos, on sent à la fois, une haine profonde pour le Christ, mais aussi comme une angoisse : « Es-tu venu pour nous perdre ? ».

En effet le démon perçoit qu’il n’est rien devant Dieu, et il a peur et il tremble. Il est là, devant son créateur, et je dirai presque qu’il en perd ses moyens.

Trois vérités sortent donc de sa bouche.

La première : « Qui a-t-il entre nous et toi? ». Rien ! Il n’y a rien de commun entre Satan et le Christ. C’est important mes frères ce que je vous dis là, car c’est proclamer que le mal ne vient pas de Dieu. Si vous niez la présence de Satan, qui a introduit dans le monde le mal, ses œuvres il faut attribuer à Dieu la paternité du mal, c’est impossible, Dieu a créé le monde beau et bon. C’est l’ange révolté, c’est Satan, qui par son action a défiguré la création et quand nous voyons autour de nous le mal prendre le dessus, et aller très loin dans le cœur de l’homme, dites-vous que derrière il y a un être, sans corne sans fourche, laissons tomber ces idioties réductrices, mais au combien nuisible qui cherche à exterminer l’œuvre de Dieu est amour.

Le démon continue, seconde vérité : « Tu es venu pour nos perdre ? ». Mes frères remarquez avec moi ce « nous », ce pluriel, qui montre que Satan est accompagné de nombreux démons, il n’est pas seul, il a entraîné avec lui de nombreux anges apostats, et dans la synagogue de Capharnaüm, malgré ce nombre qui pourrait lui donner de l’assurance, il ne sait tellement plus quoi dire en la présence de la puissance de Dieu, qu’il ne peut pas faire autrement que de lâcher

cette troisième vérité : « Je sais qui tu es, le Saint de Dieu », et Jésus répond : « Tais-toi, sors de cet homme ! », et à l’instant même, le démon ne peut qu’obéir à Dieu, il ne peut que sortir de cet homme, mais en même temps dans un dernier élan et pour manifester sa haine, il jette violemment,l’enfant de Dieu qui est en train de renaître sur le sol, et il pousse un grand cri de rage.

Certes, il a bel et bien perdu la guerre, mais la bataille continue, sur le cours des siècles.

Ne vous y trompez pas mes frères, aujourd’hui encore, le démon essaye en vain, par pure haine, de ruiner le cœur et l’esprit de l’homme en l’emportant loin du Père éternel.

Oui, depuis des siècles et des siècles. Depuis que le Christ l’a humilié publiquement, de rage rien de l’arrête, car :

ce n’est pas l’homme qui a condamné le Christ, et qui s’est lavé les mains à sa pantomime de procès, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a crié : « Crucifie-le, crucifie-le, relâche Barabbas, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a recouvert de crachas son torse immaculé, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a enfoncé sur la tête de l’amour, une couronne de ronces, déchirant son front, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a cloué les bras et les pieds du Fils de Dieu au bois infâme de la Croix, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a guillotiné des milliers de personnes durant la révolution française, abolissant le culte chrétien, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme avec une casquette SS sur la tête, a séparé les enfants de leur mère, puis les a réuni dans un four crématoire, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui a envoyé dans les hôpitaux psychiatriques, dans les goulags, en Sibérie, en Biélorussie, en Ukraine, au Kaksaskan, en Mongolie des millions de personnes au nom de l’idéologie marxiste, c’est Satan !

Ce n’est pas un homme qui vole un enfant, qui le viole et qui le tue, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui donne rendez-vous dans un bois à une jeune fille, pour la violer et la brûler, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui se met dans un bus, et qui sourire aux lèvres, en se faisant filmer, se fait sauter avec quarante personnes innocentes, c’est Satan !

Ce n’est pas l’homme qui blasphème le nom du Christ, qui crache sur la virginité de Marie, qui veut enlever de l’esprit de l’homme et de la société toutes références à la foi catholique, c’est Satan !

Ce n’est pas la femme qui arrache de son ventre un enfant en herbe pur ne pas être gênée dans sa prétendue liberté, c’est Satan !

Et je pourrai continuer longtemps la chaine du travail secret du démon dans l’esprit et dans les actes des hommes mais c’est inutile.

La masse de haine qui déferle sur le monde parle d’elle-même.

Je préfère simplement ajouter qu’actuellement dans le champ du monde, bien que Satan y soit très actif, on peut lui tordre le coup, et l’empêcher de régner sur les affaires de la terre et dans le cœur de nos enfants,

simplement demeurant unis au Christ,

en aimant la très Sainte Vierge Marie,

en communiant tous les dimanche,

en sentant battre dans notre poitrine la puissance de la grâce de Dieu,

et en vivant chaque instant qui passe avec Marie dont le démon a une peur terrible, car c’est elle je vous le rappelle, qui à la fin des temps de son talon, autant dire avec facilité et dédain, lui écrasera la tête.

Alors, c’est donc entendu mes frères, le Christ dans l’âme, notre main dans la main de Marie, avançons donc joyeux et rassurés, sans jamais avoir peur de l’antique serpent, du grand dragon, du diable, de Satan, du mauvais, du tentateur, de l’accusateur, du prince de ce monde, de l’ennemi, du dieu de ce siècle, et s’il pointe son nez dans votre vie, s’il cherche à vous effrayer de mille manières ou à vous faire tourner la tête en direction du mal, sans tergiverser tout de suite fermez-lui sa gueule de monstre, dites-lui « tais toi ! » et il se taira.

Vive le Christ !

Vive Marie !

Et vive l’amour !

Et que Satan aille au diable.

Amen.

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Jésus et sainte Jeanne d'Arc - messages du 13/12/2014 par la Fille du oui à Jésus

6 Février 2015, 18:43pm

Publié par Véronique

 
  2014-12-13 L'Agir de Dieu avec la Fille du Oui à Jésus 1 h 07  
   
 
 

Pour les malentandants et ceux qui ne disposent pas assez de temps pour écouter cet enregistrement - texte exhaustif de cet enregistrement :

On va incliner notre âme devant la demande du Ciel. Toujours se présenter en sachant que notre Seigneur écoute nos demandes. A quoi ça sert de se présenter devant Dieu si on est pas convaincu que Dieu nous écoute ? Alors, soyons certains, certaines,  que Dieu est présent avec nous, dans notre vie, au quotidien, pas seulement ce soir, mais toujours.

(Prière en groupe du "Notre Père", trois "Je vous salue Marie", et un "Gloire au Père")

 

Jésus (à 2 mn 43)

Il y a bien bien des jours, des enfants ont voulu entendre la parole de Dieu. La parole de Dieu faisait connaître à eux et eux la reconnaissaient lorsqu'ils étaient remplis de paix, de joie, d'amour. Ils savaient que lorsqu'ils entendaient, la parole de Dieu se faisaitnconnaître, tout s'activait sans que eux en soient les responsables. Dieu agissait en eux, Dieu prenait tout d'eux et Il transformait leur vie afin que leur vie soit tout amour envers eux-mêmes. Car ils avaient appris à ne pas voir qui ils étaient. Ils avaient appris à ne pas regarder ce qu'ils faisaient. Ces enfants voulaient maintenant reconnaître qu'ils étaient tout à Dieu, qu'à Dieu.

Petits enfants d'amour c'est de vous que je parle. Vous qui avez été choisis pour aider vos frères et vos soeurs de par le monde. Il y a des enfants comme vous, et c'est à chacun de vous que je m'adresse ce soir.

Mes choisis bénis, vous appartenez à Dieu, vous n'appartenez plus à l'esprit de ce monde. Vous avez consenti à prononcer votre "oui" à Dieu avec ce que vous êtes. Vous avez appris à vous regarder, vous qui étiez étourdis par tout ce qui se faisait entendre autour de vous. Vous qui avez reconnu votre petit instrument, votre Dieu, oui chacun de vous avez appris à vous reconnaître, à vous aimer, tel que vous êtes. Vous êtes les enfants de Dieu, vous êtes les enfants de la Parole, vous êtes les enfants de Celui qui a tout donné tout par amour pour ses créés. Chacun de vous avez à vous donner avec ce que vous êtes. Chacun de vous avez à vous abandonner avec ce que vous êtes. Chacun de vous a à apprendre avec ce qui est en vous. Et ce qui est en vous c'est l'amour. L'amour que j'ai déposé en vous, l'amour que j'ai conservé en vous, l'amour qui vous a fait connaître que la vérité vient de Dieu, que la puissance de Dieu est ce dont vous avez besoin pour avancer, avancer vers la lumière. Je Suis la lumière du monde, vous êtes les enfants de la lumière. Mon Père m'a donné à vous pour que vous puissiez naître à nouveau, naître pour un monde d'amour, mes enfants ces paroles vous nourrissent, Dieu vous accorde des grâces afin que vous soyez tout attentifs à ce que vous devez apprendre.

Pénétrez mon amour, il est inconditionnel. Votre amour conditionnel a besoin de mon amour inconditionnel. Ce que vous êtes vous l'êtes par moi, ce que vous entendez vous l'entendez par la grâce du Ciel. Vous ne pouvez être ce que vous êtes par vous-mêmes et vous l'avez appris avec toutes ces années. Vous avez appris à découvrir votre force. Votre force mes enfants elle est en vous. C'est ce qui a fait de vous des êtres capables d'avancer.

Mon amour inconditionnel a enveloppé votre amour conditionnel, et j'ai guéri des blessures. Je vous ai appris à vous regarder avec mon amour. Tranquillement vous avez appris à pénétrer votre vie, tranquillement vous avez appris à reconnaître ce que vous étiez capables d'accomplir avec mes grâces. Je vous rappelle ces paroles afin que vous puissiez reconnaître encore dans l'agir de Dieu.

Toutes ces années mes enfants à écouter votre coeur Toutes ces années mes enfants à reconnaître votre abandon. Toutes ces années mes enfants à vous préparer avec ce que vous êtes en train de vivre, le présent, pour un temps, oui pour un temps mes enfants qui va vous emmener là où Dieu vous veut, dans le coeur même des enfants souffrants, dans le coeur même des enfants incapables de se regarder, incapables de comprendre que Dieu les aime, que Dieu les veut éternels, eux qui sont éternels, mais qui ne se croient pas éternels.

Vous êtes ceux que le Ciel a choisi avant même que vous soyez en ce monde, Dieu vous connaissait et Il a été dit "viendrait des enfants de lumière qui sortiraient de l'ombre et qui marcheraient dans la lumière"; Ces enfants c'est vous, ces enfants de la lumière qui avancez, qui passez à travers les obstacles, les embûches que Satan a manoeuvré pour faire trébucher les enfants de Dieu.

Oui mes enfants, vous ne tombez plus dans les ravins, vous êtes capables de marcher en ayant le pied solide, vous êtes capables de ne pas tomber lorsque la terre tremble mes enfants, car vous n'êtes plus trompés par celui qui a voulu que les enfants soient aveuglés par la tricherie. Oui vous êtes les enfants qui avancez en reconnaissant ce que vous êtes capables d'accepter.

Oui vous êtes capables d'accepter maintenant l'être que vous êtes, faible mais fort dans l'amour, incertain mais capable de comprendre et d'accepter ce que vous découvrez pour aller plus loin.

Dieu vous parle en votre coeur, Dieu vous fait connaître son amour. Je vous aime mes enfants, mon amour est si puissant qu'il fait de vous des enfants d'armure. Oui, vous êtes les enfants pour l'armure, celle que ma mère a préparé pour vous.

Cette armure elle l'a préparé et elle l'a ajusté selon votre oui.

Êtes-vous prêts à l'enfiler mes enfants cette armure ?

(Réponse collective) ! "Oui Seigneur.".

Cette armure est faite du coeur de ma mère, cette armure a une valeur non terreste mais céleste. Rien n'est fait de la matière de la terre, tout est fait de l'amour de ma mère. Elle a accepté de prendre en son coeur toutes vos souffrances, et elle a gardé tout cela précieusement en son intérieur. A chaque instant elle s'est pench sur vous, vous consolant, vous rendant forts, vous maintenant dans votre oui à l'amour. Elle est votre maman, et elle vous a guidé à travers les ténèbres, elle vous afait connaître ce dont vous étiez capables d'accomplir. Elle a utilisé les grâces du Ciel et elle vous a nourri, comme on nourri un bébé au biberon. Vous n'avez rien manqué, elle a vu tout, tout était devant vous, et elle, elle vous a servi. Elle est la servante du Seigneur, et la servante du Seigneur a servi ses enfants.

Elle s'est revêtu d'un manteau de pourpre. Ce manteau mes enfants, c'est le manteau que j'ai porté. Elle l'a accepté, par amour. Par amour pour chacun de vous.

Ce manteau qu'on avait déposé sur mes épaules pour me ridiculiser, elle l'a aimé, à l'instant même où il a été déposé sur mes épaules. Ma mère aimé ce vêtement, car il était une force pour vous. C'était l'amour que j'acceptait, celui qui devait vous être donné. Ma mère, elle en a découvert la valeur.

Chaque brin qui a composé ce manteau, il était fait de mains d'hommes, de mains de femmes, impurs. Et ce manteau lorsqu'il a été déposé sur mes épaules, je l'ai lavé de mon Sang afin qu'il devienne pur, afin qu'il devienne un manteau d'amour, et ma mère en a découvert la valeur, et elle a demandé qu'elle en soit habillée. Et ce manteau elle en a connu toute la splendeur, une splendeur faite de grâces pour que vous-mêmes mes enfants, vous puissiez en profiter.

Chaque instant que ma mère a avancé avec ce manteau dans votre vie, cela vous apportait quelque chose, une force, celle de vous donner à votre tour, celle de faire de vous des enfants de lumière.

Il faut que vous soyez habillés de cette armure mes enfants, afin que vous puissiez être totalement dans votre lumière. Dans votre lumière mes enfants car il faut vous regarder avec les grâces que ma mère vous a accordé. Chaque instant de vovtre vie a été des instants de joie pour ma mère, car je purifiais et je vous apportais ce dont vous étiez pour accepter; Vous êtes des enfants d'amour, vous êtes des enfants de vie, vous êtes des enfants qui avez accepté d'aimer, d'aimer et d'aimer, de passer votre prochain avant vous. Croyez-vous que ces paroles mes enfants ont été des paroles sans concéquences dans votre vie ?

Je parle de vos paroles, de votre oui à l'amour, de votre consentement à être les derniers. Vous n'avez pu prononcer ces paroles qu'avec les grâces que ma mère vous donnait. Elle qui portait sur ses épaules ce manteau d'amour. Vous êtes les sujets de mon royaume. Je Suis le Roi mes enfants, et mon royaume n'est pas sur la terre, il est celui de mon Père, le royaume de l'éternel.

Enfants d'amour, vous êtes forts, vous êtes la force que vos frères et vos soeurs ont besoin, de par le monde. Vous qui êtes mes sujets, vous appartenez à ma royauté, vous appartenez à la lumière, vous êtes les enfants de la lumière, vous êtes une force, vous appartenez à Celui qui a donné sa vie par amour. Vous avez renoncé à l'esprit de ce monde. Je connais votre coeur, j'ai été dans votre vie plus profondément que vous-mêmes avez été en votre vie. Ce que j'ai connu de vous mes enfants, vous ne l'avez pas encore totalement connu.

C'est par mes grâces que vous allez tout connaître : ce manteau, cette armure de force, il est pour vous, de l'amour. Un manteau d'amour, une force, d'amour.

Cette armure mes enfants, elle vous est donnée par mon Père.

Elle vous sera utile, car Satan, oui enfants du monde, Satan va s'attaquer à vous, mes choisis bénis. A cause de cette armure, il ne pourra franchir une étape dans votre vie. Cette étape mes enfants a la valeur de votre oui à l'amour. Ne vous ai-je pas dit que cela est spirituel ?

Votre oui est plus saint, il va faire reculer les pièges de ceux qui vous haïssent, car ils sont remplis de haine contre vous, mais vous, vous êtes remplis d'amour, pour moi, Dieu, pour vous-mêmes, pour votre prochain.

Mes enfants, aimez-vous ma mère ? (Réponse collective) "Oui.".

Croyez-vous que ma mère a le droit d'être aimée ? (Réponse collective) : "Oui."

Que son amour a été pour vous une arme puissante contre Satan et les démons ? (Réponse collective) : "Oui.".

Voyez-vous mes enfants, votre oui, il est enveloppé du oui de votre maman du Ciel.

Voilà pourquoi, mes enfants, Satan et les démons ne pourront pas franchir votre oui à l'amour. Il fallait mes enfants que vous franchissiez cette étape d'amour.

Aimez ma mère, par amour pour moi. Elle m'a porté en son sein virginal et vous y croyez ? (Réponse collective) : "Oui.". Vous êtes prêts à mourir pour maintenir cette vérité en votre vie éternelle ? (Réponse collective) : "Oui, Seigneur.".

Ce que vous êtes en train d'apprendre mes enfants de vous-mêmes, vous rendre vrais envers vous-mêmes, c'est votre oui d'amour.

Tous ceux qui ont prononcé leur oui à l'amour et qui ont reculé, croyez-vous qu'ils ne méritent pas aussi cette armure ? (Réponse collective) : "Oui, Seigneur.".

Alors, mes enfants, par amour pour ma mère, par amour pour vous-mêmes, je vais vous demander ce soir, êtes-vous prêts, vous, les enfants du monde entier, à pénétrer votre oui à l'amour afin d'aller leur donner vovtre force, et que leur force soit votre force, êtes-vous prêts à cela mes enfants ? (Réponse collective) : "Oui, Seigneur.". 

Et bien que cela soit, puisque votre amour a fait de vous des enfants vrais, forts, ces enfants vont croire en ce qu'ils vont entendre. Je vous aime mes enfants, je vous aime.

Ce temps est un temps d'amour et de force. C'est si puissant l'amour mes enfants, mes enfants. Satan a perdu, ses acolytes ont perdu. 

Vous êtes les enfants de la lumière, éternelle, et votre lumière. Ne suis-je pas Celui qui parle en votre coeur ? (Réponse collective) : "Oui, Seigneur.".

Ces paroles elles sortent de vous. Ce que vous êtes, vous l'êtes pour les enfants de ce monde, ce soir, les autres jours. Depuis que vous entendez la parole de Dieu, avec votre chair extérieure, vous avez avancé à travers les tempêtes, et vous allez continuer car vous vous savez être forts. Cet Amen mes enfants, c'est moi qui le dit ce soir.Je vous aime.

 

Fille du oui à Jésus (à 32 mn 11)

Merci Seigneur pour ce que nous vivons.

Cette armure est spirituelle, mais on ne peut pas percer un amour spirituel n'est-ce pas ?

Les armes que Satan maintient contre nous vont être spirituelles. Ces armes là, il va tout faire pour les utiliser contre nous, mais il ne pourra pas percer notre armure spirituelle.

Cette armure elle est faite de grâces, de grâces du Ciel, et c'est maman Marie qui en a connu toute la puissance, et nous ce que nous avons à faire c'est d'aimer, c'est d'aimer sans avoir peur, sans être déçu, sans craindre demain, c'est aimer ce que nous sommes, faible parce qu'on vieilli, faible parce qu'on passe à travers des maladies, faibles parce que on est gripé, faible parce que on est pas toujours prêt à écouter l'esprit de ce monde, mais fort parce qu'on a cette armure.

Cette armure Dieu nous l'a donné. Combien d'entre nous peuvent témoigner "oui cette armure on l'a reçoit ce soir" ? Mais on était quand même dans une attente, on était dans l'attente de cette armure sans le savoir. On a consenti a renoncé à l'esprit du monde, plus de télévision, oui, on a eu plusieurs manteaux sur nous qui nous ont rendu forts, on n'achète plus les magasines, c'est une perte de temps, et si c'est pas utile on achète plus...Si on agit comme ça c'est parce que nous avons reçu des manteaux. Tout ça nous a préparé à vivre ce que  nous vivons. Dieu lui, il nous disait tout et nous tout abandon on acceptait tout sans tout comprendre. On la voulait cette purification.

Mais on recevait ces manteaux, ces forces, pour vivre ce que nous vivons aujourd'hui. Dieu a parlé au monde entier tantôt, et le Saint Esprit fait parler son instrument, encore, pour le monde entier. Le monde entier : il n'y a plus de races, il n'y a plus de langues, il n'y a plus de religions, il n'y a plus qu'un monde d'amour et c'est pour celui là que nous sommes venus au monde, pour un monde d'amour.

Alors le Seigneur veut qu'on passe à travers toutes nos difficultés.

Il nous a dit qu'ont étaient pour être très attaqués par Satan et ses acolytes. Quelles vont être ces attaques ?

Tous les jours on va les connaître.

On va se demander : "elle, elle m'aime ou elle m'aime pas ?" C'est une attaque. Il faut la reconnaître.

Est-ce que je suis à ma place ou pas ? Encore une attaque.

Est-ce que je vais me comporter d'une telle façon ou je vais assez m'aimer pour dire non pas trop. Est-ce que je vais savoir mes limites ? Pas sûr. Encore une autre attaque.

Est-ce que mes enfants vont être à la hauteur ? Encore une attaque.

C'était des attaques et il y aura encore des attaques.

Les situations : est-ce que nous allons être assez amour, pour ne pas provoquer de situation ? Qui va les provoquer les situations ? L'autre (Satan).

Il va se servir de ce qu'il a mis en nous, alors les situations vont être provoquées par nous-mêmes lorsque nous manquerons d'amour envers nous-mêmes. Il nous attend au tournant.

On va vouloir encore contrôler. On va vouloir encore contrôler quoi ? Nous. On va vouloir se contrôler soi-même alors que nous avons dit notre oui à l'amour. Mais là, il y a quelque chose qu'il (Satan) ne pourra pas faire. Lorsqu'il touchera notre oui à l'amour, ça va glisser, comme un boxeur qui est tout huilé, les gants glissent. On est huilés.

Notre oui à fait de nous quelqu'un qui aime, notre oui à l'amour. Oui on aime; On aime Dieu, Dieu, on est prêt à mourir, oui Il l'a dit ce soir, on est prêt à mourir pour Dieu, et ça on peut plus douter.

Oui c'est vrai que si une armée entre là, des soldats, ceux sont des soldats pour éliminer tous ceux qui sont contre l'esprit du monde. Nous autres nous sommes tous des victimes. Alors, ils entrent ici, mais savez-vous qu'aucun de nous leur dirait "oui". Aucun. On serait tous capables, et n'en doutez pas, de donner notre vie à Dieu. On serait tous capables de le faire. Savez-vous pourquoi ? Parce que qu'on est tous ensemble.

Voilà, l'armure que nous avons eu ce soir, c'est le manteau de pourpre que Jésus a reçu sur ses épaules. Ce manteau, pourquoi l'a t-on mis sur les épaules de Jésus ? Parce qu'Il était Roi ! On a mis sur les épaules de notre Dieu, un manteau de pourpre, parce qu'Il était Roi. On voulait ridiculiser le Roi d'Amour. Donc, ils nous ridiculisaient nous aussi. Et bien, ce manteau est devenu notre force. C'est un manteau. Maman Marie a pris ce manteau, elle l'a mis sur ses épaules, et à chaque instants de notre vie... à l'instant où nous sommes venus au monde, maman Marie nous a donné des grâces. Ce manteau qu'elle portait sur elle, le manteau du Roi, pas un roi terrestre,  mais le Roi, le Roi du Ciel !

Alors, on recevait quoi ? Des grâces. Est-ce qu'on peut recevoir des grâces que d'autres reçoivent ? Bon ,toi tu reçois des grâces de force pour accepter telle chose. Est-ce que je pouvais recevoir cette même grâce ? Oui, je pouvais recevoir cette même grâce. La grâce qu'elle recevait, je la recevais. Pourquoi ? Parce que nous sommes ensemble, nous avons un Roi, nous avons un manteau, et nous avons le même manteau et nous sommes tous sous le même manteau. Souvenez-vous, qui a vu maman Marie dans la fenêtre  de la fille du oui à Jésus ? Vous avez vu il y avait un morceau qui représentait l'enfant, et vous souvenez-vous de ce que nous avons entendu ? Qu'on était enveloppé du manteau, et c'était celui de Jésus. Nous avons été nourris tous ensembles des grâces du Ciel, alors nous avons cette force d'armure c'est une armure qui nous rend forts parce que nous sommes ensemble, tous les enfants, les choisis, bénis, qui ont été choisis pour aider tous les autres, nous formons qu'un tout, une force, pour ce temps d'amour. Nous en découvrons des choses. Merci maman d'amour.

Oui, regarde donc, ô merci, regardons. Et bien ce Sang a lavé ce manteau qui était un tissu fait de mains humaines; et bien est devenu un manteau de grâces, un manteau d'une telle puissance, parce que c'est le Sang de Jésus qui a touché à ce manteau, cette armure. David a t-il reçu une armure ? Et bien nous aussi nous avons cette armure, une armure d'amour et nous en aurons besoin pour vivre ce que nous avons à vivre avec la force de Dieu.

Dieu a dit, chacun a sa place.

Elle est belle cette partie de son coeur. Ce que nous vivons est tellement beau, c'est tellement beau cette partie de son coeur. Et bien c'est notre vie, on est en train de vivre quelque chose de tellement bon, de tellement beau. Alors on va vivre une partie de ce coeur avec une armure.

Satan va  essayé de nous faire tomber. Il va y en avoir dix, vingt, trente, quarante attaques sur nous, c'est beau quarante encore, mais c'est nous qui allons être forts. C'est nous qui avons prononcé notre oui à l'amour.

 

Ô Jeanne d'Arc tu as prononcé ton oui à l'amour. Elle vient de dire : "je suis avec vous et je serai toujours avec vous".

Vous savez pour la plupart, que les enfants de la divine volonté sont ensemble, alors ne soyons pas étonnés que Jeanne d'Arc soit avec nous pour combattre. Jeanne d'Arc, l'enfant choisie par Dieu, elle a combattu pour que son Roi prenne sa place. Pourquoi ? Parce qu'elle avait reçu une armure, et c'est celle du Ciel. Son Roi l'avait vêtu d'une armure, alors nous aurons comme compagne Jeanne d'Arc.

Oui, voilà, elle est avec nous.

 

Sainte Jeanne d'Arc (à 51 mn 23)

Elle fait partie de votre vie, elle vous donne sa force, elle vous dit de prendre le rang, de suivre la Pure, Vierge des vierges, celle qui a combattu toute armée. Avancez et n'ayez pas peur, car vous avez la Reine à la tête de toute les armées célestes, toute armée terrestre saura la suivre. Elle est la force, elle détient en son coeur la puissance, car cette puissance, elle en est digne d'être prononcée comme étant la Victorieuse, l'Immaculée Conception et celle que tous les enfants de la terre doivent suivre.

Avancez, n'ayez pas peur, combattez l'armée des ténèbres., elle est faible, elle n'a pas de force, car elle n'a pas d'amour. Elle se sert de la peur pour être contre vous, elle ne peut rien.

Avancez et suivons la Reine, la Reine du Ciel et la Reine de la terre, et il n'y en a qu'une seule et c'est l'Immaculée Conception. Soyez convaincus d'être dans l'armée céleste et ne soyez pas douteux envers vous-mêmes, vous appartenez à l'armée du Ciel et non pas à une armée terrestre.

Soyez forts dans votre quotidien, prenez la force de l'amour et avancez, c'est votre emblème sur votre drapeau !

Vous êtes cette armée et Dieu vous a choisi.

Combattons ensemble, soyez forts.

Le Ciel permet que vous entendiez des saints, et le Ciel vous ouvre à ses grâces, car Dieu vous est digne d'être son armée.

 

Fille du oui à Jésus (à 55 min 35)

Voila que la pucelle a parlé. Alors nous allons battre l'armée qui est celle de Satan, car nous avons toutes les armes qu'il nous faut : les grâces.

Tout pour Dieu, tout pour Dieu.

Avançons ! Nous sommes les gagnants.

 

L'assemblé présente chante

Nous te saluons, Ô toi Notre Dame,

Marie, vierge sainte que drape le soleil.

Couronnée d'étoiles, la lune est sous tes pas.

En toi nous est donné L'aurore du salut.

 

Marie Ève nouvelle et joie de ton Seigneur,

Tu as donné naissance à Jésus le Sauveur.

Par toi nous sont ouvertes les portes du jardin

Guide-nous en chemin, Étoile du Matin.

 

Tu es restée fidèle, mère au pied de la croix,

Soutiens notre espérance et garde notre foi.

Du côté de ton Fils, tu as puisé pour nous

L'eau et le sang versés qui sauvent du péché.

 

Ô Vierge immaculée, préservée du péché,

En ton âme, en ton corps, tu entres dans les cieux,

Emportée dans la gloire, sainte Reine des cieux,

Tu nous accueilleras un jour auprès de Dieu

 

Source : http://lafilleduouiajesus.org/fr_multimedia.html 

enregistrement du 14/12/2014.

Pour l'enregistrer sur votre ordinateur, mettre en marche, et cliquer à droite avec votre sourie. Choisir ensuite "enregistrer la cible sous" ou "le sons sous"...

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Un prophète méprisé chez les siens - Prédication du père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

3 Février 2015, 16:06pm

Publié par Véronique

Homélie du mercredi 5 février 2014 (Mc 6, 1-6)

« La vengeance conduit au crime ! »

Mc VI, 1-6

Jésus est parti pour son pays, et ses disciples le suivent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Les nombreux auditeurs, frappés d'étonnement, disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ? N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à cause de lui. Jésus leur disait : « Un prophète n'est méprisé que dans son pays, sa famille et sa propre maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Il s'étonna de leur manque de foi. Alors il parcourait les villages d'alentour en enseignant.

 

Source : http://delamoureneclats.fr/#!/ses-predications/2013-2014/2014-02-05/jour/

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