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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Être sollicité par la franc-maçonnerie.

27 Janvier 2010, 18:14pm

Publié par Véronique J.

C'est une question qui m'est posée.
Je conseille simplement qu'il ne faut pas répondre à cela. Leurs enseignements sont contraires à ceux de l'Eglise Catholique.

Je conseille la lecture du livre "Peut-on être chrétien et franc-maçon ?"  par Monseigneur Rey.

Fraternellement
Véronique J.


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Problème d'ordinateur

25 Janvier 2010, 22:17pm

Publié par Véronique J.

Je pense que tout devrait "normalement" rentrer dans l'ordre la semaine prochaine, à partir du lundi. Je vous prie de m'en excuser à nouveau, en attendant ceux qui le souhaitent peuvent faire les COPIER/COLLER qu'ils veulent sur mon blog (pas besoin de me demander la permission !).
Cette question m'a été posée, mais comme pour tous les messages laissés je ne peux y répondre à cause de ce problème d'ordinateur justement.

Cela cumule donc trois semaines de retard !

En union de prière fraternelle pour tous, toujours.

Véronique J.

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Nos ignorances spirituelles.

23 Janvier 2010, 12:00pm

Publié par Véronique J.

Nous devons être vigilants, car nos ignorances spirituelles peuvent nous coûter très cher et enténébrer davantage notre âme.
Nous devons donc faire preuve de beaucoup d'humilité, d'amour, de charité et de miséricorde envers nous-mêmes et notre prochain.
Une chose est sûre par tout cela, c'est d'attendre les grâces que Dieu voudra bien nous offrir afin de grandir dans Ses mystères pour les mettre en pratique en notre âme pour que tout notre être soit rempli de Dieu.

Véronique J.

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Dieu est venu chercher mon accompagnateur spirituel le père Jean-Claude SAGNE - Merci de vos prières

21 Janvier 2010, 17:15pm

Publié par Véronique

Je viens vous demander de vous joindre à moi dans la prière fraternelle.

En effet, je viens d'apprendre aujourd'hui que mon accompagnateur spirituel, le père Jean-Claude SAGNE a rejoint le Ciel.
Dieu est venu le chercher mardi dernier, le 12 janvier 2010.

Pour moi il est un saint homme, ses conseils étaient simplement que deux ou trois mots, et tant de lumière s'en dégageait.
Il était prêtre dominicain, grand théologien, et spécialiste de la mystique Carmélitaine (Carmel), que je n'ai pas appris de lui mais de tierces personnes. C'était une marque de sa grande humilité.

Ma peine est immense.

Que Dieu prenne soin de Lui, et que le père SAGNE intercède pour ceux et celles qu'il accompagnait et, pour nous tous, car il avait connaissance des nombreux fruits et grâces de mon blog, suite à cela justement, il m'avait dit il y a deux semaines de le continuer alors que je lui avait exprimer le souhait de l'arrêter.

 

Je vous recommande tous les livres du père Sagne.

A Dieu, Frère Jean-Claude Sagne

 

Le frère Jean-Claude Sagne, dominicain du couvent Saint-Abraham de Lyon, est décédé mardi 12 janvier 2010. Il était né à Tours le 16 mai 1936, avait fait profession dans l’Ordre des Prêcheurs le 15 novembre 1958 et avait reçu l’ordination presbytérale le 7 juillet 1963. Ses obsèques ont été célébrées vendredi 15 janvier, en l’église du Saint-Nom de Jésus. Le site du diocèse publie ici le texte du frère Michel Demaison, prieur du couvent Saint-Abraham de Lyon, prononcée lors des funérailles. Retrouvez également ci-dessous le message adressé par le cardinal Philippe Barbarin à la communauté dominicaine de Lyon.

 

Le frère Michel Demaison, prieur du couvent, a évoqué la figure de Jean-Claude Sagne au début de la célébration.

Le moment n’est pas encore venu de retracer les étapes et tous les aspects d’un parcours aussi fécond. Je choisis simplement d’en évoquer quelques traits parce qu’ils font contraste. Je ne voudrais pas, en effet, que nous en restions à une vision trop simpliste, ou limitée aux seules dernières années, de la personnalité du frère Jean-Claude.

Rappelons-nous d’abord que dans sa jeunesse il s’est adonné au scoutisme avec beaucoup de générosité, prenant plaisir aux longues marches et tirant profit de ses entretiens avec les aumôniers. C’est là que sa vocation a germé, avec déjà plusieurs séjours à Lourdes, où il est revenu si souvent. A l’appel des randonnées a succédé plus tard l’attrait des voyages lointains, vers les îles de la Réunion et de Madagascar, et encore récemment à travers la France, toujours pour des objectifs apostoliques.

Le deuxième contraste concerne ses investissements intellectuels. Après avoir démissionné de l’Ecole normale supérieure pour entrer au noviciat, il suivit les sept ans de formation initiale dans l’Ordre. Ensuite, il s’est lancé dans des études prolongées en psychologie sociale à Paris et à Lyon ; elles l’ont conduit à plus de vingt ans d’enseignement à l’Université Lyon II, dont quatre comme directeur de l’UER de psychologie sociale. Ses recherches ont porté, entre autres, sur les repas communautaires, s’appuyant sur des enquêtes dans des groupes de tendance anarchiste non-violente des années 1970. La dernière production issue de cette veine est le bel ouvrage paru il y a quelques mois, La symbolique du repas dans les communautés. De la Cène au repas monastique, où il greffe le rameau d’anthropologie chrétienne sur le tronc de la psychosociologie profane, à moins que ce soit l’inverse. Car simultanément, il n’a jamais cessé de mettre son intelligence au service de sa foi : il approfondit le thème du don - La loi du don est souvent utilisé et cité -, puis élabore une théologie des sacrements, spécialement l’eucharistie, le mariage et la réconciliation, et une théologie spirituelle.

Mais un paradoxe est plus frappant encore : l’engagement indéfectible de Jean-Claude dans l’Ordre dominicain s’est allié à un intérêt croissant, concrétisé dans une pratique assidue, pour deux grandes voies spirituelles : celle du Carmel avec saint Jean de la Croix et celle des Exercices spirituels de saint Ignace. Je crois qu’il a pu suivre les deux sans tension parce qu’il les a ressaisies en ce qu’elles ont d’essentiel : exposer des expériences de la quête de Dieu menant à l’union à Dieu, ce qui passe nécessairement par des méthodes pour discerner et accomplir la volonté de Dieu au quotidien. En un mot, il est entré très tôt dans la demeure de la contemplation, l’une de celles que nous ouvre l’Eglise. Par la contemplation, je reviens à sa vocation dominicaine ; car, par delà la devise bien connue, « Contempler, et transmettre ce qu’on a contemplé », il y va de l’authenticité de ce que nous faisons de l’intuition de saint Dominique.

Entre 1965 et 1975, les bouleversements dont il fit l’expérience directe dans des communautés de l’Ordre l’ont laissé pour un temps intérieurement désemparé, sans qu’il en fît grief à quiconque ou manifestât quelque opposition agressive ou amère. A ce propos, un passage de la dernière lettre qu’il a envoyée, ce 10 janvier, à sa fraternité de l’Annonciation éclaire en profondeur cette ligne de conduite permanente : « Il y a ceci chez les Pères du Désert et chez sainte Catherine de Sienne : plutôt que d’accuser l’autre de son péché en le dénonçant, nous ferions mieux de nous accuser devant lui de ce même péché pour que l’autre réagisse du meilleur de lui-même en nous donnant une parole de vérité et de miséricorde. »

S’il eut alors le sentiment de perdre beaucoup du côté des appuis institutionnels de la vie régulière et de l’oraison, il ne perdit pas la leçon : rien ne marche, rien n’éclaire, rien ne tient en régime chrétien que soutenu par la vérité d’une relation personnelle avec Dieu. Et cette vérité n’est jamais donnée toute prête, elle est une découverte infinie, que nous devons entretenir par la prière liturgique de l’Eglise centrée sur l’eucharistie, par la lectio divina de la Bible et surtout par la passion de Dieu : j’entends passion au sens de pâtir le mystère de Dieu, manifesté en Christ, ultimement sur la Croix ; passion vécue dans l’Esprit Saint, en union avec Marie dans l’intimité de qui Jean-Claude vivait sa filiation au Père ; passion qui nous livre tout entiers aux autres jusqu’à la vraie compassion. Depuis longtemps, par son compagnonnage avec la communauté du Chemin Neuf, par ses retraites dans un cadre monastique, il n’a cessé de nourrir ou de creuser le désir d’une relation filiale, simple, abandonnée, avec le Dieu de miséricorde. J’ai prononcé trois mots qui résument l’essentiel de son message : simplicité, abandon, miséricorde. Ils ponctuaient sa prédication, ils inspiraient son apostolat.

Car il faut souligner enfin pourquoi, le frère Jean-Claude est resté attaché de tout son être au choix de ses vingt ans, l’Ordre des frères prêcheurs. Il y a trouvé et cultivé un mode de vie commune qui était vital pour lui ; il y a trouvé un héritage intellectuel qui, avec saint Thomas, a structuré sa réflexion théologique, et un lieu de partage ouvert sur la pensée contemporaine. Il a surtout trouvé dans l’Ordre un soutien à son zèle apostolique qui ne s’est jamais relâché jusqu’à la veille de sa mort : travail de lecture et d’écriture, souci de transmettre et de publier, disponibilité pour écouter et conseiller dans ses nombreux accompagnements personnels.

Ses premiers troubles neurologiques sont apparus vers 1989, ils ont progressé lentement mais inexorablement. C’est dire qu’il était devenu familier de la souffrance, surtout de l’anxiété de savoir qu’elle était le signal d’une dégradation et d’une dépendance qui ne feraient que s’aggraver. Cette épreuve fait partie intégrante de son aventure intérieure, de son chemin de sainteté. Jusqu’à la dernière heure, il a fait l’expérience que nous n’en avons jamais fini avec l’abandon à la miséricorde de Dieu.

Fr. Michel Demaison, op





 Message du cardinal Philippe Barbarin

Mon Père,

Avec vous et tous les frères prêcheurs, je présente au Seigneur la vie de votre frère Jean-Claude Sagne.

Je serai particulièrement uni à vous, dans la célébration eucharistique de ce vendredi, pour le confier à la miséricorde de Dieu et pour rendre gloire de tout ce que nous avons reçu par son intermédiaire, à savoir un bel enseignement spirituel, un constant témoignage de joie, une charité attentive à tous, et particulièrement aux pauvres...

J’étais très heureux de le retrouver à mon arrivée à Lyon en 2002. La première fois que je l’avais rencontré, c’était à Madagascar auprès du cardinal Armand Gaëtan, dont les obsèques sont célébrées ce même vendredi à Tananarive.

Que le Seigneur veille sur tous ceux qui étaient proches du père Sagne, ses frères, sa famille, ses amis, et qu’Il prenne soin de celles et de ceux que Jean-Claude Sagne accompagnait dans leur chemin de vie et de prière.

Bien fraternellement à vous dans le Seigneur, dont la Résurrection nous affirme qu’avec la mort la vie n’est pas détruite, mais qu’elle est transfigurée.

Philippe cardinal Barbarin

 SOURCE
 



En union de prière fraternelle pour le repos de son âme

Véronique





 

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Panne d'ordinateur !

20 Janvier 2010, 18:41pm

Publié par Véronique J.

Je suis en panne d'ordinateur.
Celui que j'ai ne me permets d'intervenir sur la totalité de mon blog.
Cela prendra donc plusieurs jours.
Je m'en excuse et vous remercie de votre compréhension.
Ces problèmes se mêlent à d'autres (pas matériels ceux-là ! ).
Je me confie donc à vos prières.
Merci d'avance.

Véronique J.


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Devant les tentations qui nous torturent

19 Janvier 2010, 21:02pm

Publié par Véronique J.

Plus l'âme se rapproche de Dieu et plus les tentations l'assaillent.
Elles peuvent même la torturer, essayant par n'importe quelle séduction plus ou moins forte.
Un bon moyen de ne pas les accepter c'est de penser à la place en Enfer que le diable lui a préparer si elle y succombe.

Véronique J.



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De l'utilité des tentations et comment toute âme, à ses derniers instants, voit la place de gloire ou de châtiment qui lui est destinée - Dieu le Père à Sainte Catherine de Sienne

18 Janvier 2010, 10:55am

Publié par Véronique J.



Sainte Catherine de Sienne
"Le dialogue"
Le don de la conformité au Christ


Chapitre XIII  -  De l'utilité des tentations et comment toute âme, à ses derniers instants, voit la place de gloire ou de châtiment qui lui est destinée.


Fille très chère, le démon est devenu l'exécuteur de ma justice, pour tourmenter les âmes qui m'ont misérablement offensé. En cette vie, je l'ai placé pour tenter, pour provoquer mes créatures, non pour que mes créatures soient vaincues, mais pour qu'elles triomphent de lui et reçoivent de moi la gloire de la victoire après avoir fourni la preuve de leur vertu. Personne ne doit avoir peur d'aucune bataille, d'aucun assaut du démon, parce que j'ai fait de tous des forts. Je leur ai donné une volonté intrépide, en la trempant dans le sang de mon Fils. Cette volonté, ni démon, ni aucune puissance créée ne la peut ébranler. Elle est à vous, uniquement à vous : c'est Moi qui vous l'ai donnée avec le libre arbitre. C'est donc à vous qu'il appartient d'en disposer, par votre libre arbitre, et de la retenir ou de lui lâcher la bride suivant qu'il vous plaît. La volonté, voilà l'arme que vous livrez vous-même aux mains du démon : elle est vraiment le couteau avec lequel il vous frappe, avec lequel il vous tue. Mais si l'homme ne livre pas au démon ce glaive de la volonté, je veux dire, s'il ne consent pas aux tentations, à ses provocations, jamais aucune tentation ne pourra le blesser et le rendre coupable de péché : elle le fortifiera au contraire, en éclairant son intelligence sur ma charité et en lui faisant comprendre que c'est par amour que je vous laisse tenter, pour vous faire aimer et pratiquer la vertu. Car l'on en vient à aimer la vertu que par la connaissance que l'on prend de soi-même et de moi. Et cette connaissance, c'est surtout dans le temps de la connaissance qu'elle s'acquiert. C'est alos que l'homme apprend bien qu'il n'est pas l'être même, puisqu'il ne peut faire disparaître des ennuis et des embarras qu'il souhaiterait pourtant d'éviter ; et il me connaît aussi Moi dans sa volonté, que ma Bonté rend assez forte pour ne pas consentir à ces pensées. Il voit bien que c'est ma charité qui en dispose ainsi : car le démon est faible ; il ne peut rien par lui-même, sinon qu'autant que je le lui permets. Et moi, c'est par amour que je vous laisse tenter et non par haine, pour votre triomphe, non pour votre défaite ; c'est pour que vous parveniez à la parfaite connaissance de vous-même et de moi ; c'est pour que votre vertu fasse ses preuves, et elle ne peut être éprouvée que par son contraire.
Tu vois donc bien que les démons sont à mon service pour tourmenter les damnés de l'enfer, et en cette vie pour exercer et procurer la vertu dans les âmes. Non que l'intention du démon soit de promouvoir votre vertu, car il n'a pas la charité et il ne veut que vous la faire perdre ; mais cela il ne le peut, si vous ne le voulez pas. Quelle étrange nature que l'homme, qui se fait lui-même débile, quand moi-même je l'avais fait si fort, et qui se livre ainsi aux mains des démons !
Aussi, je veux que tu saches ce qui arrive, au moment de la mort, à ceux qui se sont mis pendant leur vie sous la domination du démon. Ce n'est pas par contrainte, car nul ne les y peut forcer, comme je te l'ai dit, c'est volontairement qu'ils se sont livrés entre ses mains et qu'ils ont porté jusqu'aux approches de la mort, le joug honteux de cet esclavage. A ces derniers instants ils n'ont pas besoin d'un jugement étranger, leur conscience est à eux-mêmes leur propre juge, et c'est en désespérés qu'ils se jettent dans l'éternelle damnation. Aux portes de la mort, ils se cramponnent à l'enfer par la haine, avant même d'y pénétrer.
Il en va de même pour les justes qui ont vécu dans la charité et meurent dans l'amour. Quand ils arrivent au terme de la vie, s'ils ont bien vécu dans la vertu, éclairés par les lumières de la foi, et soutenus par l'espérance absolue dans le sang de l'Agneau, ils voient le bonheur que je leur ai préparé ; ils l'étreignent avec les bras de leur amour, m'embrassant étroitement et amoureusement, Moi le Bien souverain et éternel, en cette extrémité de la mort. Ils goûtent ainsi à la vie éternelle, avant qu'ils aient abandonné leur dépouille mortelle, avant que l'âme soit séparée du corps.
Pour d'autres
qui ont passé leur vie et arrivent à leur dernier instant, avec une charité commune mêlée de beaucoup d'imperfections, ils se jettent dans les bras de ma miséricorde, avec cette même lumière de foi et d'espérance, quoiqu'à un degré moindre, que nous avons rencontrée dans les parfaits. A cause de leur imperfection, ils s'attachent à ma miséricorde, qu'ils estiment bien plus grande que leurs fautes.
C'est tout le contraire que font les pécheurs d'iniquité. La vue de la place qui leur est destinée les remplit de désespoir et ils s'y attachent de toute leur haine, comme je t'ai dit.
Ainsi ni les uns ni les autres n'attendent leur jugement ; chacun, au sortir de cette vie, reçoit sa place comme je viens de t'expliquer. Ils goûtent à leur destinée, ils en prennent possession possession avant même de quitter le corps, à 'instant de la mort : les damnés par la haine et le désespoir, les parfaits par l'amour, par la lumière de la foi, par l'espérance du Sang ; les imparfaits, par la miséricorde et la même foi, entrent dans le séjour du purgatoire.


Source



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Le diable existe t-il vraiment ? Quelle est son influence réelle ?

15 Janvier 2010, 22:17pm

Publié par Véronique J.

Petit cours de théologie

St Paul affirme que nous avons à combattre des puissances spirituelles (Ep 6,12). Et Jésus a donné à ses apôtres le pouvoir de chasser les démons. De quoi s’agit-il au juste ?

Quelles activités peuvent lier au démon ?

Que penser du magnétisme, reïki, yoga, spiritisme, channeling, jeux de rôle, radiesthésie, couper le feu, séance de plomb, astrologie, consulter un voyant ?…

Le diable existe t-il vraiment ? Quelle est son influence réelle ?
Ange et démons - père Paul-Marie exorciste

Cliquer <<
ici >> pour entendre l'enseignement.



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" Au commencement... La terre promise " (DVD)

15 Janvier 2010, 21:39pm

Publié par Véronique J.

Ce film peut être vu en famille, il plaira aux petits comme aux plus grands.
Nous y découvrons Abraham, Moïse, les Dix Commandements, ...
Je ne peux que vous le recommander.




dvd la terre promise



L'histoire de "Au commencement... la terre promise"
 
2000 ans avant J.C, Abraham conduit son peuple vers un nouveau pays. Pour redonner foi et courage aux voyageurs éreintés, il leur raconte la genèse. Après une vie mouvementée, Abraham, au seuil de la mort, convoque ses fils pour leur livrer une prophétie: le peuple hébreu sera réduit en esclavage dans un pays étranger, mais au bout de quatre générations, un homme les delivrera et les mènera à la Terre Promise.

Film de kevin Connor


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Femmes prêtres ?

14 Janvier 2010, 11:23am

Publié par Véronique J.

Abbé Pages




FEMMES PRÊTRES ?

Pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas avoir accès au sacrement de l’Ordre et devenir prêtre ? N’est-il pas temps de dénoncer cette injustice ?
Dans la vie de l’Église de nombreuses femmes ont joué de tous temps un rôle important (Mt 28.7-10 ; Rm 16.1, 3-12 ; Ph 4.3 ; Ac 18.26…) à commencer par la Vierge Marie, et cependant, jamais l’Église ne les a admises à l’ordination… estimant que cette disposition ne relève pas de sa compétence, mais de la fidélité à la Tradition instituée par le Christ et les Apôtres.
Jésus n’a, en effet, appelé aucune femme, pas même sa très sainte Mère, à faire partie des Douze, et certes pas par conformisme culturel, car étant venu établir l’humanité dans sa perfection définitive (Mt 5.17), Il n’a pas craint à maintes reprises d’innover et changer des usages en vigueur (Jn 4.27, 8.11, 20.11-18 ; Mt 9.20-22, 19.3-9, 28.7-10 ; Lc 7.37, 8.2-3, 24.9-10 ; Mc 10.2-11…), mais s’Il a voulu que l’annonce officielle et publique du message sacré et incorruptible du Salut éternel soit réservée aux hommes, c’est en raison du respect dû au plan divin de la Création (1 Co 11.7 ; Gn 2.18-24).
Déjà dans l’Ancienne Alliance le peuple élu était aimé de Dieu comme une épouse adultère l’est toujours de son mari fidèle (Os 1.3 ; Jr 2), et dans la Nouvelle Alliance le Christ Se présente comme cet Époux… le Nouvel Adam (1 Co 15.20+), venant épouser l’humanité rachetée au prix de son Sacrifice (Mc 2.19 ; Mt 22.1-14 ; Jn 3.29 ; 2 Co 11.2 ; Ep 5.22-33 ; Ap 19.7, 9). C’est par ce langage de l’Écriture qui exprime l’homme et la femme dans leur identité profonde, que nous est révélé le mystère de Dieu et du Christ… C’est dire que ces symboles de l’époux et de l’épouse sont donc essentiels : sans eux la Révélation nous serait inintelligible ! C’est pourquoi le respect de la Création telle que Dieu l’a faite s’explique non seulement par respect du Créateur, mais encore par souci d’intelligibilité de la Révélation… et du sacrement lui-même. L’économie sacramentelle est en effet fondée sur des signes naturels, sur des symboles inscrits dans la psychologie humaine, en sorte nous dit St Thomas d’Aquin que «Les signes sacramentels représentent ce qu’ils signifient par une ressemblance naturelle.» (In IV Sent., dist 25, Q. 2, art. 2). On ne peut pas par exemple signifier l’amour par une fourchette, mais bien par un cœur, ni la paix par une hyène, mais bien par une colombe ou un agneau… Ainsi, parce que l’évêque ou le prêtre n’agissent pas en leur nom propre mais in persona Christi, c'est-à-dire en tant que représentants du Christ (2 Co 5.20 ; Ga 4.14) qui agit, Lui, par eux, cette nécessaire «ressemblance naturelle» entre le signe et ce qu’il signifie demande que le signe du Christ qui est un homme, soit lui-même un homme, aussi vrai que la grâce ne vient pas détruire la nature mais la sauver !… Ce n’est pas plus compliqué !
Que l’on ne dise donc plus que l’Église est misogyne : c’est elle qui a affirmé comme nul autre l’égalité …

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