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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

vivre en dieu, pour dieu, et par dieu

Comment faire de bonnes oeuvres.

5 Novembre 2008, 11:07am

Publié par lala

... Nous disons d'abord qu'un chrétien qui veut travailler
sincèrement à son salut, ne doit pas se contenter de faire de bonnes œuvres ; mais il lui faut encore savoir pour qui il les fait et comment il doit les faire.
En second lieu, nous disons qu'il n'est pas assez de paraître vertueux aux yeux du monde, mais qu'il faut encore l'être dans le cœur. Si, maintenant, M.F., vous me demandez comment nous pourrons connaître qu'une vertu est véritable et qu'elle nous conduira au ciel, M.F., le voici : écoutez-le bien, gravez-le bien dans votre cœur ; afin que chaque action que vous ferez, vous puissiez connaître si elle sera récompensée pour le ciel. Je dis que pour qu'une action plaise à Dieu, il faut qu'elle ait trois conditions : la première, qu'elle soit intérieure et parfaite ; la deuxième, qu'elle soit humble et sans retour sur soi-même ; la troisième, qu'elle soit constante et persévérante : si dans tout ce que vous faites, vous trouvez ces conditions, vous êtes sûrs de travailler pour le ciel...


Sermons du saint Curé d'Ars
7ème dimanche après la Pentecôte
Sur la fausse et vraie Vertu
 

A fructibus eorum cognoscetis eos.
Vous les connaîtrez à leurs fruits.
(S.Matth., VII,16.)

SOURCE

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Le prix de la vraie conversion

12 Juillet 2008, 13:06pm

Publié par lala


On voit ainsi là grandeur de la conversion qui fait passer l'âme de l'état de péché mortel ou dissipation et d'indifférence à l'égard de Dieu à l'état de grâce, où déjà elle aime Dieu plus que soi et par-dessus tout, au moins d'un amour d'estime, sinon encore d'un amour vraiment généreux et victorieux de tout égoïsme.

Le premier était un état de mort spirituelle, où plus ou moins consciemment on ramenait tout à soi, où l'on voulait se fair le centre de tout, et où l'on devenait de fait esclave de tout, de ses passions, de l'esprit du monde et de l'esprit du mal.

Le second état est un état de vie, où nous commençons sérieusement à nous dépasser nous-mêmes et à ramener tout à Dieu, aimé plus que nous. C'est l'entrée dans le règne de Dieu, où l'âme docile commence à régner avec Lui sur ses passions, sur l'esprit du monde et celui du mal.

On conçoit dès lors que saint Thomas ai écrit : "Le bien de la grâce, dans un seul individu, l'emporte sur le bein naturel de tout l'univers". Le moindre degré de grâce sanctifiante dans une âme, dans celle par exemple d'un petit enfant après son baptême, vaut plus que toutes les natures créées prises ensemble, y compris les natures angéliques, car les anges ont eu besoin, non pas de rédemption, mais du don gratuit de la grâce pour tendre vers la béatitude surnaturelle à laquelle Dieu les appelait.
Saint Augustin dit que Dieu, en créant la nature des anges, leur a fait en même temps le don de la grâce, et il tient que "la justification de l'impie est chose plus grande que la création du ciel et de la terre", plus grand même que la création des natures angéliques.

Saint Thomas ajoute : "La justification d'un pécheur est proportionnellement plus précieuse que la glorification d'un juste, car le don de la grâce dépasse plus l'état de l'impie, qui était digne de peine, que le don de la gloire ne dépasse l'état du juste, qui, du fait de sa justification, est digne de ce don". Il y a beaucoup plus de distance entre la nature de l'homme ou même entre celle de l'ange le plus élevé et la grâce qu'entre la grâce et la gloire. La nature créée la plus haute n'est nullement le germe de la grâce, tandis que celle-ci est bien le germe de la vie éternelle, semence de la gloire.

Il se passe donc au confessionnal, au moment de l'absolution du pécheur, quelque chose de plus grand proportionnellement que l'entrée d'un juste dans la gloire.

C'est cette doctrine que Pascal exprime en disant dans une des plus belles pages des Pensées, qui est sur ce point le résumé de l'enseignement de saint Augustin et de saint Thomas : "La distance infinie des corps aux espirts figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité, car elle est surnaturelle. () Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits ; car il connaît tout cela, et, soi, et les cors, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité, cela est d'un ordre infiniment plus élevé. De tous les corps ensemble, on ne saurait en faire réussir une petite pensée : cela est impossible et d'un autre mouvement de charité : cela est impossible et d'un autre ordre surnaturel".

On voit dès lors combien grande fut l'erreur de Luther sur la justification, lorsqu'il voulut l'expliquer, non par l'infusion de la grâce et de la charité qui remet les péchés, mais seulement par la foi au Christ sans les oeuvres, sans l'amour, ou par la simple imputation extérieure des mérites du Christ, imputation qui couvait les péchés, sans les effacer, et laissait ainsi le pécheur dans sa souillure et sa corruption. La volonté n'était pas dès lors régénérée par l'amour surnaturel de Dieu et des âmes en Dieu. La foi aux mérites du Christ et l'imputation extérieure de sa justice manifestement ne suffisent pas pour que le pécheur soit justifié ou converti, il faut encore qu'il veuille observer les préceptes, surtout les deux grands préceptes de l'amour de Dieu et du prochain : "Si qu'lqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera, et nous viendrons et nous ferons en lui notre demeure" (Jn 14, 23). "Celui qui demeure dans la charité demeure en Dieu, et Dieu en lui" (1 JN 4, 16).

Nous sommes ici dans un ordre très supérieur çà l'honnêteté naturelle, et celle-ci ne peut être pleinement réalisée sans la grâce, nécessaire à l'homme déchu pour aimer efficacement et plus que soi le Souverain Bien, Dieu, auteur de notre nature. Notre raison par ses seules forces conçoit bien que nous devons aimer ainsi l'auteur de notre nature, mais notre volonté dans l'état de déchéance ne peut y parvenir, à plus forte raison ne peut-elle pas par ses seules forces naturelles aimer Dieu, auteur de la grâce, puisque cet amour est d'ordre essentiellement surnaturel, autant pour l'ange que pour nous. Nous voyons dès lors quelle est l'élévation de la vie surnaturelle que nous avons reçue au baptême, et ce que doit être par suite notre vie intérieure.

Cette vie éternelle commencée constitue tout un organisme spirituel, qui doit se développer jusqu'à notre entrée au ciel. La grâce sanctifiante, reçue dans l'essence de l'âme, est le principe radical de cet organisme ipérissable, qui devrait durer toujours, si le péché mortel, qui est un désordre radical, ne venait parfois le détruire. De la grâce sanstifiance, germe de la gloire, dérivent les vertus infuses, d'abord les vertus théologales, dont la plus haute, la charité, doit, comme la grâce sanctifiante, durer toujours. "La charité ne passera jamais", dit saint Paul, "maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l'espérance, la charité ; mais la plus grande des trois c'est la chraité" (1 Co 13). Elle durera toujours, éternellement, lorsque la foi aura disparu pour faire place à la vision, et lorsqu'à l'espérance succèdera la possession inimissible de Dieu clairement connu.

L'organisme spirituel se complète par les vertus morales infuses, qui portent sur les moyens, tandis que les vertus théologales regardent la fin dernière. Ce sont comme autant de fonctions admirablement subordonnées, infiniment supérieures à celles de notre organisme corporel. On les appele : prudence chrétienne, justice, force, tempérance, humilité, douceur, patience, magnanimité, etc.

Enfin pour remédier à l'imperfection de ces vertus qui, sous la direction de la foi obscure et de la prudence, gardent une manière encore trop humaine d'agir, il y a les sept dons du Saint-Esprit, qui habite en nous. Ils sont comme des voiles sur la barque et nous disposent à recevoir docilement et promptement le souffle d'en haut, les inspirations spéciales de Dieu, qui nous permettent d'agir d'une manière non plus humaine, mais divine, avec l'élan qu'il faut avoir pour courir dans la voie de Dieu et ne pas reculer devant les obstacles.

Toutes ces vertus infuses et ces dons grandissent avec la grâce sanctifiante et la charité, dit saint Thomas, comme les cinq doigts de la main se développent ensemble, comme tous les organes de notre corps augmentent en même temps. De la sorte on ne conçoit pas qu'une âme ait une haute charité sans avoir le don de sagesse à un degré proportionné, soit sous une forme nettement contemplative, soit sous une forme pratique plus directement ordonnée à l'action. La sagesse d'un saint Vincent de Paul n'est pas absolument semblable à celle d'un saint Augustin, mais l'une et l'autre est infuse.

Tout l'organisme spirituel se développe donc en même temps, quoique sous des formes variées. Et de ce point de vue, comme la contemplation infuse des mystères de la foi est un acte des dons du Saint-Esprit, qui dispose normalement à la vision béatifique, ne faut-il pas dire qu'elle est dans la voie normale de la sainte té ? Il suffit ici de toucher la question, sans y insister davantage.

Pour mieux voir le prix de cette vie éternelle commencée, il faut entrevoir ce que sera son plein épanouissement au ciele t combien il dépasse ce qu'eût été notre béatitude et notre récompense si nous avions été créés dans un état purement naturel.

Si nous avions été créés en l'état de pure nature, avec une âme spirituelle et immortelle, mais sans la vie de la grâce, même alors notre intelligence eût été faite pour la connaissance du vrai et notre volonté pour l'amour du bien. Nous aurions eu pour fin de connaître Dieu, Souverain Bien, auteur de notre nature, et de l'aimer par-dessus tout. Mais nous ne l'aurions connu que par le reflet de ses perfections dans ses créatures, comme les grands philosophes païens l'ont connu, d'une façon pourtant plus certaine et sans mélange d'erreurs. Il eût été pour nous la cause première et l'intelligence suprême qui a ordonné toutes choses.

Nous l'aurions aimé comme l'auteur de notre nature d'un amour d'inférieur à supérieur, qui n'eût pas été une amitié, mais plutôt un sentiment fait d'admiration, de respect, de reconnaissance, sans cette douce et simple familiarité quie st au coeur des enfants de Dieu. Nous aurions été ses serviteurs, mais non pas ses enfants.

Cette fin dernière naturelle est déjà très haute. Elle ne saurait produire la satiété, pas plus que notre oeil ne se lasse de voir l'azur du ciel. De plus, c'est un fin spirituelle qui, à la différence des biens matériels, peut être possédée par tous et chacun, sans que la possession de l'un nuise à celle de l'autre et engendre la jalousie ou la division.

Mais cette connaissance abstraite et médiate de Dieu eût laissé subsister bien des obscurités, en particulier sur la conciliation intime des perfections divines. Nous en serions toujours restés à épeler et à énumérer ces perfections absolues, et toujours nous snous serions demandé comment se peuvent conciliet intimement la toute-puissance bonté et la permission divine du mal, d'un mal parfois si grand qu'il déconcerte notre raison, comment aussi peuvent s'accorder intimement l'infinie miséricorde et l'infinie justice.

Dans cette béatitude naturelle, nous n'aurions pu nous empêcher de dire : si poutant je pouvais le voir ce Dieu, source de toute vérité et de toute bonté, le voi immédiatement comme il se voit !

Ce que ni la raison la plus puissante, ni l'intelligence naturelle des anges peuvent découvrir, la révélation divine nous l'a fait connaître. Elle nous dit que notre fin dernière est essentiellement surnaturelle et qu'elle consiste à voir Dieu immédiatement, face à face et tel qu'il est (1 Co 13, 12 ; 1 Jn 3, 2). "Dieu nous a prédestinés à devenir conformes à l'image de son Fils unique, pour que celui-ci soit le premier-né entre plusieurs frères" (Rm 8, 29). "L'oeil de l'homme n'a pas vu, l'oreille n'a pas entendu, son coeur ne peut désirer les choses que Dieu prépare à ceux qui l'aiment" (1 Co 2, 9).

Nous sommes appelés à voir Dieu, non pas seulement dans le miroir des créatures, si parfaites soient-elles, mais à le voir immédiatement, sans l'intermédiaire d'aucune idée créée, car celle-ci, si parfaite qu'on la suppose, ne pourrait représenter telq 'uil est en soi celui qui est la pensée même et le vrai infini, un pur éclair intellectuel éternellement subsistant, et la vive flamme de l'amour sans mesure.

Nous sommes appelés à voir toutes les perfections divines concentrées et intimement unies dans leur source commune : la Diété, à voir comment la miséricorde la plus tendre et la justice la plus inflexible procèdent d'un même amour infiniment généreux et infiniment saint, comment cet amour, même en son bon plaisir le plus libre, s'identifie avec la pure Sagesse, comment il n'y a rien en lui qui ne soit sage, et rien dans la sagesse qui ne se convertisse en amour. Nous sommes appelés à contempler l'éminente simplicité de Dieu, pureté et sainteté absolues, à voir l'infinie fécondité de la nature divine s'épanouissant en trois Personnes, à contempler l'éternelle génération du Verbe, "splendeur du Père et figure de sa substance", à voir l'inefable spiration du Saint-Esprit, terme de l'amour commun du Père et du Fils, qui les unit dans la plus absolue diffusion d'eux-mêmes. Le bien est naturellement diffusif de soi, et plus il est d'ordre élevé, plus il se donne intimement et abandamment.

Nul ne peut dire la joie et l'amour que produira en nous cette vision, amour de Dieu si pur et si fort que rien ne pourra plus le détruire ni l'amoindrir en quoi que ce soit.

Si donc nous voulons connaître le prix de la grâce sanctifiance, et celui de la vraie vie intérieure, il faut nous dire qu'elle est la vie éternelle commencée, malgré les deux différences qui tiennent à la foi et à l'espérance. Nous ne connaissons Dieu ici-bas que dans l'obscurité de la foi, et tout en espérant le posséder, nous pouvons le perdre, mais, malgré ces deux différences, c'est la même vie en sous fond, la même grâce sanctifiante même charité, qui doivent durer éternellement.

Telle  est la vérité fondamentale de la spiritualité chrétienne. Il s'ensuit que notre vie intérieure doit être une vie d'humilité, en se rappelant toujours que son principe, la grâce sanctifiante, est un don gratuit, et qu'il faut toujours une grâce actuelle pour le moindre acte salutaire, pour faire le moindre pas en avant dans la voie du salut. Elle doit être aussi une vie de mortification, comme le demande saint Paul : "Pourtant toujours et partout dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus se manisfeste aussi dans notre corps." (2 Co 4, 10) ; c'est-à-dire que nous devons de plus en plus mourir au péché et à ses suites qui restent en nous, pour que Dieu règne profondément en nous, jusqu'au fond de l'âme. Mais notre vie intérieure doit être surtout une vie de foi, d'espérance, de charité, d'union à Dieu par la prière incessante ; elle est surtout la vie des trois vertus théologales et des dons du Saint-Esprit qui les accompagnent, dont de sagesse, d'intelligence, de science, de piété, de conseil, de force et de crainte de Dieu. Nous pénétrerons ainsi et savourerons de plus en plus les mystères de la foi. C'est à dire que toute notre vie intérieure tend vers la contemplation surnaturelle des mystères de la vie intime de Dieu et de l'Incarnation rédemptrice, elle tend surtout vers une union à Dieu toujours plus intime, prélude de l'union toujours actuelle et inamissible, qui sera la vie éternelle consommée.

 




"Les trois conversions et les trois voies"
Réginald Garrigou-Lagrange
DMM

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Nous avons faim de la Parole d'amour de Dieu

11 Avril 2008, 16:22pm

Publié par lala

Par la samaritaine,
Jésus nous dit qu'Il a soif de notre amour.
Quelque soient nos péchés, Il nous aime.
Il est Miséricordieux, ainsi lui confaissant nos fautes,
Il nous pardonne.
Jésus a soif de notre amour, et nous,
nous avons faim de Sa Parole.

Véronique

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A la resurrection, nous serons comme des anges dans le ciel !

18 Septembre 2007, 08:37am

Publié par lala

A la résurrection, en effet, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme des anges dans le ciel.

Evangile de Saint Matthieu chapitre 22, ligne 30 (Mtt 22, 30)

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Êtes-vous prêts ?

13 Septembre 2007, 17:35pm

Publié par lala

Bien souvent, on vit jour après jour, sans se soucier ou presque pas du lendemain.

Mais êtes-vous prêts pour le moment de votre mort ?

Au moment où Dieu vous appelera à Lui, lorsque votre âme quittera la terre pour aller au ciel. 

Êtes-vous prêts ?

Avez-vous bien pensé à cela ?

Saint Matthieu
chapitre 25 ligne 13
, Jésus dit :

" Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l'heure."
Nous devons donc être toujours prêts à quitter la terre, lorsque Dieu l'aura décidé, et pour cela il faut nous préparer, à rendre notre âme pure, par l'obéissance à la Parole Divine, à l'humilité, à la charité, et ainsi que par les Sacrements (Eucharistie le plus souvent possible, Confession le plus souvent possible aussi), et par la prière.

Premier épître de St Pierre
, chapitre 5, ligne 8 et 9
(1P, 5,8-9) :
" Soyez sobres, veillez. Votre partie adverse, le Diable, comme un lion rugissant, rôde, cherchant qui dévorer. Résistez-lui, fermes dans la foi... "

Il faut donc pour être prêts, à tout instant car le Seigneur peut venir nous chercher à tout moment.
Soyons prêts !
Choisissons notre Roi, Jésus !
Vivons de sa Parole !

Véronique

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L'humilité

2 Septembre 2007, 15:10pm

Publié par Véronique

Bible - Ancien Testament - Sirac ou L'Ecclésiastique
3, 18-20  
(chapitre n°3, ligne 18 à 20)

Plus tu es grand, plus il faut t'abaisser pour trouver grâce devant le Seigneur,
Nombreux sont les gens hautains et fameux, mais c'est aux humbles qu'il révèle ses secrets.

Essayons de comprendre :

" plus tu es grand "     plus ta foi grandit, ainsi que ta connaissance dans la Parole de Dieu
" il faut t'abaisser "      il faut être de plus en plus humble (petit, simple), et c'est en contemplant la face de Dieu (adoration merveilleuse et profonde de Dieu) que notre humilité grandit
"qu'il révèle ses secrets "   que Dieu instruit sa parole par son Esprit Saint, et révèle déjà une partie du ciel, ainsi Dieu apprend à l'âme qu'Il est l'âme de l'âme. 

 

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