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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

vierge marie

Le Cantique sacré du très saint Cœur de Marie

8 Septembre 2020, 13:28pm

Publié par Véronique

J'appelle le Magnificat le Cantique sacré du très saint Cœur de la Bienheureuse Vierge, pour plusieurs raisons.

Premièrement, parce qu'il a pris son origine dans ce divin Cœur, et qu'il en est sorti avant que de paraître en sa bouche.

Secondement, parce que sa bouche ne l'a prononcé que par le mouvement qu'elle en a reçu de son Cœur, et de son Cœur corporel, spirituel et divin. Car le Cœur corporel de cette divine Vierge étant rempli d'une joie sensible et extraordinaire, a porté sa très sainte bouche à chanter ce Magnificat avec une ferveur et une jubilation extraordinaire. Son Cœur spirituel étant tout ravi et transporté en Dieu, a fait sortir de sa bouche sacrée ces paroles extatiques : « Mon esprit est transporté de joie en Dieu mon Sauveur. » Son Cœur divin, c'est-à-dire son divin Enfant, qui est résidant en ses entrailles bénies et demeurant dans son Cœur, et qui est l'âme de son âme, l'esprit de son esprit, le Cœur de son Cœur, est le premier auteur de ce Cantique. C'est lui qui met les pensées et les vérités qui y sont contenues dans l'esprit de sa divine Mère…

Troisièmement, le Magnificat est le Cantique du Cœur de la Mère d'amour, c'est-à-dire le Cantique du Saint-Esprit, qui est l'Esprit et le Cœur du Père et du Fils, et qui est aussi le Cœur et l'Esprit de cette Vierge Mère.

Saint Jean Eudes (1601-1680), Prêtre oratorien

Dans Le Cœur admirable de la Mère de Dieu (1681) : Le Magnificat

SOURCE

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Naissance de Marie - Sainte Catherine Emmerich

8 Septembre 2020, 13:22pm

Publié par Véronique

Quelques jours avant sa délivrance, Anne avait annoncé à Joachim que le temps de ses couches était proche Elle envoya des messagers à Séphoris, à sa sœur cadette Maraha ; dans la vallée de Zabulon, à la veuve Énoué, sœur d'Élisabeth, et à Bethsaïde, à sa nièce Marie Salomé, pour engager ces trois femmes à venir chez elle.


Je vis Joachim, la veille de la délivrance d'Anne, envoyer ses nombreux serviteurs aux pâturages où étaient ses troupeaux. Parmi les nouvelles servantes d'Anne, il ne garda à la maison que celles dont le service était nécessaire. Lui-même alla au plus voisin de ses pâturages. Je vis que Marie Eléli, la fille aînée d'Anne, prenait soin du ménage. Elle avait alors environ dix-neuf ans, et avait épousé Cléophas, chef des bergers de Joachim, dont elle avait une petite fille appelée Marie de Cléophas, laquelle avait alors à peu près quatre ans.


Joachim pria, choisit les plus beaux de ses agneaux, de ses chevreaux et de ses bœufs, et les envoya au temple comme sacrifice d'actions de grâces. Il ne revint chez lui qu'à la nuit.


Je vis les trois parentes d'Anne arriver le soir chez elle. Elles la visitèrent dans la chambre située derrière le foyer et l'embrassèrent. Après leur avoir annoncé l'approche de sa délivrance, Anne, se tenant debout, entonna avec elles un cantique conçu à peu près en ces termes : " Louez Dieu le Seigneur ; il a eu pitié de son peuple ; il a accompli la promesse qu'il avait faite à Adam dans le paradis, quand il lui dit que la semence de la femme écraserait la tête du serpent, etc ". Je ne puis pas tout rapporter exactement.


Anne était comme en extase ; elle énumérait dans son cantique tout ce qui avait figuré Marie par avance. Elle disait : " Le germe donné par Dieu à Abraham a mûri en moi ". Elle parlait d'Isaac promis à Sara, et ajoutait : " La floraison de la verge d'Aaron s'est accomplie en moi ". Je la vis comme pénétrée de lumière. Je vis la chambre pleine de clartés, et l'échelle de Jacob apparaître au-dessus. Les femmes, pleines d'un joyeux étonnement, étaient comme ravies, et je crois qu'elles virent aussi l'apparition.


Après cette prière de bienvenue, on servit aux femmes une petite réfection de pain, de fruits et d'eau mêlée de baume. Elles mangèrent et burent debout, et allèrent dormir quelques heures pour se reposer de leur voyage. Anne resta levée et pria. Vers minuit, elle éveilla ses parentes pour prier avec elle. Elles la suivirent derrière un rideau à l'endroit où était son lit.


Anne ouvrit les portes d'une petite niche pratiquée dans le mur, et qui renfermait des reliques dans une boite. Il y avait des deux côtés des lumières qu'on alluma ; je ne sais si c'étaient des lampes. Un escabeau rembourré était au pied de cette espèce de petit autel. Dans le reliquaire se trouvaient des cheveux de Sara, pour laquelle Anne avait beaucoup de vénération ; des os de Joseph, que Moise avait emportés d'Égypte ; quelque chose de Tobie, peut-être un morceau de vêtement, et le petit vase brillant, en forme de poire, dans lequel Abraham avait bu lors de la bénédiction de l'ange, et que Joachim avait reçu avec la bénédiction. Je sais maintenant que cette bénédiction était du pain et du vin, et comme une nourriture et une réfection sacramentelle.


Anne s'agenouilla devant la niche. Deux des femmes étaient à ses côtés, la troisième derrière elle. Elle dit encore un cantique ; je crois qu'il y était question du boisson ardent de Moise. Je vis alors une lumière surnaturelle remplir la chambre, se mouvoir et se condenser autour d'Anne. Les femmes tombèrent la face contre terre comme évanouies. La lumière prit tout autour d'Anne la forme qu'avait le buisson ardent de Moise sur l'Horeb, en sorte que je ne la vis plus. La flamme rayonnait vers l'intérieur, et je vis tout d'un coup Anne recevoir dans ses bras la petite Marie toute resplendissante, l'envelopper dans son manteau, la presser sur son sein, puis la placer sur l'escabeau devant le reliquaire, et continuer à prier. Alors j'entendis l'enfant pleurer, et je vis Anne tirer des linges de dessous le grand voile qui l'enveloppait. Elle emmaillota l'enfant jusque sous les bras, laissant la poitrine, la tête et les bras découverts. L'apparition du buisson ardent s'était évanouie.


Les femmes se relevèrent, et à leur grande surprise reçurent dans leurs bras l'enfant nouveau-né. Elles versaient des larmes de joie. Elles entonnèrent toutes un nouveau cantique d'actions de grâces, et Anne éleva l'enfant en l'air comme pour l'offrir. Je vis alors la chambre se remplir de nouveau de lumières, et j'entendis plusieurs anges qui chantaient gloria et alléluia. J'entendais tout ce qu'ils disaient. Ils annonçaient que l'enfant devait recevoir, le vingtième jour, le nom de Marie.


Anne entra alors dans sa chambre à coucher et se mit sur son lit. Les femmes déshabillèrent l'enfant, la baignèrent, puis l'emmaillotèrent de nouveau. Elles la portèrent ensuite à sa mère, dont la couche était disposée de manière qu'on pouvait fixer auprès d'elle une petite corbeille à jour, où l'enfant avait une place séparée à côté de sa mère.


Les femmes alors appelèrent son père Joachim. Il vint près de la couche d'Anne, s'agenouilla et versa d'abondantes larmes sur l'enfant ; puis il l'éleva dans ses bras et entonna un cantique de louanges, comme Zacharie à la naissance de Jean-Baptiste. Il parla dans ce psaume du saint germe qui, placé par Dieu dans Abraham, s'était perpétué chez le peuple de Dieu dans l'alliance dont la circoncision était le sceau, mais qui arrivait dans cet enfant à sa plus haute floraison. J'entendis dire dans ce cantique que la parole du Prophète : " une tige sortira de la racine de Jessé ", se trouvait maintenant accomplie. Il dit aussi, avec beaucoup de ferveur et d'humilité, que maintenant il mourrait volontiers.


Je remarquai que Marie d'Héli, la fille aînée d'Anne, ne vint qu'assez tard voir l'enfant. Quoique mère elle-même depuis quelques années, elle n'avait pas assisté à la naissance de Marie, peut-être parce que, d'après les lois juives, une fille ne devait pas se trouver près de sa mère dans un pareil moment.


Le lendemain, je vis les serviteurs, les servantes et beaucoup de gens du pays rassemblés autour de la maison. On les fit entrer successivement, et l'enfant fut montrée à tous par les femmes. Ils furent, en général, très touchés, et plusieurs devinrent meilleurs. Les gens du voisinage étaient venus parce qu'ils avaient vu pendant la nuit une lumière au-dessus de la maison, et parce que les couches d'Anne, venant après une longue stérilité, étaient regardées comme une grande grâce du ciel.


XXII Joie dans le ciel et dans les limbes à la naissance de Marie.
Mouvement dans la nature et parmi les hommes.


Au moment où la petite Marie se trouva dans les bras de sainte Anne, je la vi6 dans le ciel présentée devant la très sainte Trinité, et saluée avec une joie indicible par toutes les armées célestes. Je connus que toutes ses joies, ses douleurs et ses destinées futures lui étaient manifestées d'une manière surnaturelle. Marie reçut la connaissance des plus profonds mystères, et pourtant elle resta un enfant. Nous ne pouvons pas comprendre cette science qui lui fut donnée, parce que la notre a pris son origine sur l'arbre fatal du paradis. Elle connut tout cela comme l'enfant connaît le sein de sa mère et sait qu'il doit s'y désaltérer. Lorsque cessa la contemplation où j'avais vu la petite Marie instruite par le grâce divine dans le ciel, je l'entendis pleurer pour la première fois.


Je vis la naissance de Marie annoncée aux patriarches dans les limbes, au moment même où elle eut lieu ; je les vis tons, particulièrement Adam et Eve, pénétrés d'une joie inexprimable, à cause de l'accomplissement de la promesse faite dans le paradis. Je connus aussi qu'il y avait un progrès dans l'état de grâce des patriarches, que leur demeure s'éclairait et s'élargissait, et qu'ils acquéraient une plus grande influence sur ce qui se passait dans le monde. Il semblait que tous les travaux. toutes les pénitences de leur vie, tous leurs combats, leurs prières et leurs désirs étaient, pour ainsi dire, arrivés à maturité, et avaient produit un fruit de paix.


Je vis au temps de la naissance de Marie, un grand mouvement de joie dans la nature, chez tous les animaux et aussi dans le cœur de tous les hommes de bien, et j'entendis des chants harmonieux ; chez les pécheurs, il y eut une grande angoisse et comme un brisement de cœur.

Je vis spécialement dans la contrée de Nazareth et dans le reste de la terre promise plusieurs possédés agités par des convulsions violentes. Ils se précipitaient ça et là avec de grandes clameurs, et les démons criaient par leur bouche : " il faut partir, il faut partir ".


A Jérusalem, je vis le pieux prêtre Siméon, qui habitait près du temple, effrayé à l'heure de la naissance de Marie par les cris affreux que poussaient des fous et des possédés enfermés en grand nombre dans un édifice contigu à la montagne du temple, et sur lequel Siméon, qui demeurait dans le voisinage, avait un certain droit de surveillance. Je le vis à minuit se rendre sur la place devant la maison des possédés ; un homme qui habitait près de là lui demanda la cause de ces cris qui troublaient le sommeil de tout le monde. Un possédé cria avec plus de force, demandant à sortir. Siméon lui ouvrit la porte ; le possédé se précipita dehors, et Satan cria par sa bouche r il faut partir nous devons partir il est né une Vierge Il y a sur la terre tant d'anges qui nous tourmentent nous devons partir, et nous ne pourrons plus posséder un seul homme ! " Je vis Siméon prier avec ferveur ; le malheureux possédé fut violemment jeté ça et là sur la place, et je vis le démon sortir de loi. .la fils très contente de voir le vieux Siméon.


Je vis aussi la prophétesse Anne, et Noémi, sœur de la mère de Lazare, qui habitait dans le temple, et qui fut plus tard la maîtresse de Marie furent réveillés et informées par des visions de la naissance d'un enfant d'élection. Elles se réunirent et se communiquèrent ce qu'elles avaient appris. Je crois qu'elles connaissaient sainte Anne.

XXIII L'enfant reçoit le nom de Marie.

22 - 23 septembre


J'ai vu aujourd'hui une grande fête dans la maison de sainte Anne. Tout avait été déplacé et rangé à part dans la partie antérieure de la maison, Les cloisons en clayonnage, qui formaient des chambres séparées, avaient été enlevées, et on avait ainsi disposé une grande table. Tout autour de cette salle, je vis une longue table basse, couverte de vaisselle pour le repas.

Au milieu de la salle, on avait dressé une espèce de table d'autel recouverte d'une étoffe rouge et blanche, sur laquelle était un petit berceau rouge et blanc, avec une couverture bleu de ciel. Près de l'autel était un pupitre recouvert, sur lequel étaient des rouleaux en parchemin contenant des prières. Devant l'autel se tenaient cinq prêtres de Nazareth en habits de cérémonie ; Joachim était près d'eux. Dans le fond, autour de l'autel, se tenaient plusieurs femmes et plusieurs hommes, des parents de Joachim, tous avec des habits de fête. Je me souviens de la sœur d'Anne, Maraha de Séphoris, et de sa fille aînée. Sainte Anne avait quitté sa couche, mais elle resta dans sa chambre, placée derrière le foyer, et ne parut pas à la cérémonie.


Enoué, la sœur d'Elisabeth, apporta la petite Marie et la plaça sur les bras de Joachim. Les prêtres se placèrent devant l'autel près des rouleaux, et récitèrent des prières à haute voix. Joachim donna l'enfant au principal d'entre eux, qui l'éleva en l'air en priant, comme pour l'offrir à Dieu, et la plaça dans son berceau sur l'autel. Il prit ensuite des espèces de ciseaux d'une forme particulière avec lesquels il coupa à l'enfant trois petites touffes de cheveux sur les deux côtés de la tête et sur le front, puis les brûla sur un brasier. Il prit ensuite une botte où était de l'huile, et oignit les cinq sens de l'enfant avec le pouce il fit cette onction sur les oreilles, les yeux, le nez, là bouche et le creux de l'estomac. Il avait aussi le nom de Marie sur un parchemin qu'il plaça sur la poitrine de l'enfant. On chanta ensuite des psaumes, puis vint le repas, que je ne vis pas.

[Suite...]

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Chœur des moines de l'Abbaye de Ligugé - Nativité de la Vierge Marie: Magnificat (1er mode) - Antien

8 Septembre 2020, 13:20pm

Publié par Véronique

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Chœur des moines de l'Abbaye de Ligugé - Nativité de la Vierge Marie: Répons (2ème mode)

8 Septembre 2020, 13:18pm

Publié par Véronique

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Méditation du 8 Septembre 2020, Nativité de la Vierge Marie

8 Septembre 2020, 13:16pm

Publié par Véronique

Ta naissance, ô Vierge Mère de Dieu, proclame la joie au monde entier, car de toi est né le glorieux Soleil de Justice, le Christ notre Dieu ; il nous a libéré de la condamnation du péché et nous a remplis de sainteté ; il a détruit la mort et nous a donné la vie éternelle. Libère-nous Seigneur, de toute corruption .

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8 septembre - Fête de la Nativité de la Vierge Marie

8 Septembre 2020, 13:13pm

Publié par Véronique


La Nativité de la très Sainte Vierge
(Fête)

Tout est miracle dans l'histoire de la Sainte Vierge ; sa naissance ne fait point exception, et, bien que pauvre aux yeux du monde, elle apparaît aux yeux de la foi entourée des plus éclatantes merveilles.

Aussi est-ce avec raison que l'église s'écrie en ce jour : « Votre naissance, ô Marie, Mère de Dieu, a rempli tout le monde de consolation et d'allégresse, parce que le soleil de justice, Jésus-Christ, notre Dieu, est né de vous, Lui qui nous a tirés de la malédiction où nous étions plongés et nous a comblés de bénédictions ; Lui, qui, ayant ruiné l'empire de la mort, nous a introduits dans la vie éternelle. » Cette fête, en effet, doit être une réjouissance universelle ; ce n'est pas un heureux présage pour une ville ou pour un peuple, mais pour l'humanité tout entière.

Joachim et Anne, ses parents, étaient de la race de David, de laquelle devait naître le sauveur promis au monde ; mais ils étaient avancés en âge et n'avaient point d'enfants ; donc nulle espérance humaine pour eux de donner naissance au rédempteur attendu. Dieu, qui aime à confondre les calculs des hommes et les prévisions naturelles, jugea autrement et renouvela pour Joachim et Anne la merveille dont l'Ancien Testament nous rapporte plusieurs exemples. Les deux vieillards reçurent l'annonce des desseins de Dieu, et au temps marqué Marie paraissait au monde. Toute pure, toute immaculée avait été sa conception, toute pure et toute privilégiée fut sa naissance.

Quelle joie ce jour-là dans la maison de Joachim ! Figurons-nous combien devait être ravissante cette enfant de bénédiction, sanctifiée dès le premier instant de sa vie, et dont les facultés n'avaient pas connu un seul instant le sommeil ni l'imperfection ! Les saints ne tarissent pas d'éloges sur la naissance de Marie : « Avant la naissance de Marie, disent-ils, le monde était enseveli dans les ténèbres du péché ; avec elle paraît l'aurore qui annonce le soleil de justice. Parfaite dès sa naissance, Marie ne fit que croître chaque jour en vertus... »

Astre toujours progressant en lumière, si beau dès son apparition, qu'il devait être éblouissant au terme de sa course ! Quel bonheur pour les élus de contempler au ciel les merveilles opérées par Dieu en Marie ! Unissons-nous à l'Église qui l'honore aujourd'hui sous cent titres différents dans une multitude de sanctuaires vénérés.

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« J'ai su de façon certaine que la Mère de Jésus était avec moi »

6 Septembre 2020, 14:53pm

Publié par Véronique

Est-ce que les jeunes d'aujourd'hui reçoivent toujours la puissance de l'Esprit Saint ? Cette question formait le thème central de la conférence proposée aux adolescents et jeunes adultes organisée par la Royal Ambassadors Youth (RAY) le 29 mai 2020, avec le célèbre conférencier et missionnaire catholique Paul J. Kim, résidant au Texas (États-Unis).

Paul a commencé par partager son témoignage personnel, en parlant de la façon dont sa rencontre avec Dieu l'a transformé et conduit à sa mission actuelle ; comment il est passé d’une vie matérialiste à la réalisation que Dieu est le seul à pouvoir remplir son vide existentiel.

Selon lui, l'une des idées fausses les plus répandues parmi les catholiques est que nous devons être parfaits avant de pouvoir devenir saints et nous rapprocher de Dieu. Non, dit-il, « nous n'avons même pas besoin de changer pour aller vers Dieu. Nous allons vers Dieu et il nous change. Nous venons à lui tels que nous sommes. Jésus invite à venir à lui non seulement les meilleurs mais aussi les pires, car c'est le fondement de sa mission ».

Le conférencier a également souligné son amour pour le Rosaire et a expliqué comment notre Maman Marie a joué un grand rôle dans sa conversion. « Quand j'ai commencé à prier le Rosaire plus sérieusement, je me suis mis à sentir plus de paix et de joie que je n'en ai jamais ressenti dans ma vie. Des choses étonnantes ont commencé à se produire, comme l'odeur de roses venue de nulle part, et j'ai su de façon certaine que la Mère de Jésus était avec moi. » Il a ensuite encouragé les participants à développer une relation avec la Sainte Vierge, car elle est la plus à même de nous conduire à Jésus.

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Sainte Mère Teresa : "Je remercie Notre Dame de Medjugorje"

6 Septembre 2020, 14:47pm

Publié par Véronique

 

Voici un extrait d'une interview peu connue de sainte mère Teresa (source : Mystic Post / traduit par mes soins à partir de la version anglaise) :
    
QUESTION : Est-il bien exact qu'il y a trois ans, vous avez envoyé l'une de vos collaboratrices à Medjugorje afin qu'elle confie à la Sainte Vierge trois de vos intentions personnelles, et ce à travers les voyants ?

    

REPONSE : Oui, c'est bien exact. Il s'agissait de mes trois désirs : que l'on puisse ouvrir une maison en Russie, que les chercheurs trouvent le vaccin contre le Sida, et que la Vierge aide l'Inde d'une manière spéciale.
Ma première demande a été exaucée, et je remercie Notre Dame de Medjugorje pour cela. Mais nous n'avons pas encore le vaccin contre le Sida. Nous devons beaucoup prier à cette intention. Je crois que la Sainte Vierge veut aider les chercheurs à trouver le vaccin contre cette maladie. Je serais alors heureuse de pouvoir aider les pauvres malades. C'est également avec joie que j'irais à Medjugorje pour remercier la Sainte Vierge pour la première grâce, mais aussi pour lui dire que j'attends la réponse aux deux autres prières.

    
QUESTION : Mère, avez-vous promis de vous rendre à Medjugorje pour rendre grâce à la Sainte Vierge si vos demandes étaient exaucées ?
    
REPONSE : Oui, tout à fait. Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui s'y rendent et que beaucoup s'y convertissent. Je remercie Dieu de conduire notre époque de cette manière. J'ai beaucoup apprécié une image de Medjugorje que la Sainte Vierge a bénie pendant une apparition. C'est avec joie que j'irais à Medjugorje, mais beaucoup s'y rendraient pour moi et cela ne serait pas une bonne chose. C'est pour cette raison que je n'y suis pas encore allée, et ce bien que de nombreux amis m'y aient invitée.

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Marie Reine - Homélie de Mgr Ginoux - Festival Marial 2020

3 Septembre 2020, 10:10am

Publié par Véronique

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Le miracle de Lourdes (Documentaire)

3 Septembre 2020, 10:08am

Publié par Véronique

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