Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

spiritualite-vie de l'ame (aussi epreuves-combats)

Confession - Les assemblées communautaires sont un frein à la vie spirituelle

30 Octobre 2017, 23:12pm

Publié par Véronique

Mon témoignage

Les assemblées communautaires sont un frein à la vie spirituelle, parce qu'elles sont trop espacées dans le temps et l'âme ne peut donc être lavée de ses péchées. Le manque et le vide spirituels sont évidents lorsque nous ne nous confessons pas régulièrement. Encourager et laisser en place ces assemblées laisse malheureusement les âmes dans la médiocrité voir dans une mort certaine alors qu'elles sont puissance et force (Memoria Dei). Alors, on ne peut que les encourager à progresser.

Les grâces de Dieu sont moins importantes lorsque nous ne nous confessons pas.

La confession est importante et indispensable à notre foi et pour qu'elle grandisse.

La confession est indispensable pour avancer sur le chemin spirituel (Sept demeures - Sainte Thérèse d'Avila). Chaque demeure de notre château intérieur (notre âme) est importante à vivre. Pour arriver dans les hauteurs spirituelles, dans la plus grande demeure (la septième), la confession au moins mensuelle permettra à notre âme de nous délivrer de ce qui l'encombre et qui l'empêche de progresser.

Oui, j'ai remarqué, notamment pendant l'Eucharistie, que les grâces sont moins importantes si on ne se confesse pas.

Je ne peux donc que vous inviter à vous confesser régulièrement.

J'aime beaucoup le sacrement de la confession.

Véronique

 

 

.

.

.

Voir les commentaires

Abbé Loiseau - Exposition des grandes caractéristiques de l'Islam (23 mars 2017)

27 Octobre 2017, 22:04pm

Publié par Véronique

Lors de notre soirée du 23 mars 2017, l’abbé Fabrice Loiseau, prêtre charismatique du diocèse de Toulon, est venu exposer les grandes caractéristiques de l'Islam et faire part de sa réflexion sur ce que doit être l'attitude de l'Eglise face à cette religion en pleine expansion sur notre sol historiquement chrétien.

Tout en appelant à avoir un discours de vérité sur l'Islam, il a invité son auditoire à adopter un regard bienveillant sur les musulmans, tenus par le lien communautaire très fort propre à leur religion.

 

.

.

.

Voir les commentaires

S'offrir par amour et pour l'amour (Spiritualité)

24 Octobre 2017, 21:54pm

Publié par Véronique

Faisons attention lorsque nous nous offrons à Dieu, Il entend ce que nous Lui disons et Il en tient compte. Il est donc bien d'être conscient de ce qu'Il pourra nous faire vivre, ce que nous accepterons, sans rien connaître à l'avance ce qui arrivera. Il faut être humble et abandonné. L'orgueil n'a pas sa place dans cette démarche.

Lorsque nous nous offrons à Dieu, les souffrances peuvent être multiples (intérieures, spirituelles, physiques...). Au fur et à mesure, Dieu nous apprend à nous en détacher en nous expliquant qu'elles ne nous appartiennent pas. Oui, Il s'en sert comme Il le désire. Cela nous aide à être plus forts durant ces épreuves, et à grandir dans la maturité intérieure, mais surtout à grandir dans l'amour.

Véronique

 

.

.

.

Voir les commentaires

La messe - Jésus nous en parle à travers soeur Josepha Menendez

24 Octobre 2017, 21:45pm

Publié par Véronique

"Un Appel à l'Amour"

LIVRE III : LE MESSAGE DE L’AMOUR - Deuxième partie

(lien)

LA RÉPONSE DES HOMMES

15 - 19 juin 1923 


Mes Paroles auront une telle force et ma Grâce les accompagnera de telle manière, que les âmes les plus obstinées seront vaincues par l'Amour ! (Notre-Seigneur à Josefa, 19 juin 1923.)

 
     Toute la journée du Vendredi 15 juin s'écoule sans que Jésus paraisse. Josefa L'a attendu comme chaque matin et « Il n'est pas venu » - écrit-elle. - Elle s'interroge, car elle craint toujours sa faiblesse et elle s'accuse d'une petite résistance en face de ce chemin qui coûtera toujours à son âme.      « Jésus m'a fait comprendre bien clairement que c'est, non seulement une peine pour son Cœur, mais aussi la cause que des âmes qui attendent la grâce de ces petits actes, ne sont pas aidées à s'approcher de Lui comme Il le voudrait. Aussi, quand Il est venu le soir, Lui ai-je demandé pardon de mon peu de générosité.      « Avec beaucoup de bonté, Il m'a répondu :      « - Oui, Josefa, laisse entrer la lumière dans ton cœur. Rien n'est petit de ce qui se fait par amour. Non, pour mon Amour il n'y a pas de petites choses, car la force même de l'Amour leur donne leur grandeur. » 
     C'est bien toujours la même leçon que son Cœur ne se lasse pas de répéter, afin que les âmes ne se lassent jamais de Lui consentir les plus petits efforts.      Depuis son retour de Marmoutier, Josefa ne connaît guère le repos de la nuit. Quand Notre-Seigneur la
 
13
quitte après le don de la Flamme jaillie de son Cœur, elle reste longtemps sous l'action de ce feu qui la consume. Puis, les douleurs qui l'envahissent alors, corps et âme, ne cessent de lui rappeler, durant de longues heures, qu'elle est bien la victime choisie pour l'OEUVRE de son Maître.      Cependant, dès le matin, elle arrive exactement à l'oraison, elle est à la Sainte Messe avec toutes ses Sœurs et reprend son travail aussitôt après, sans que rien ne trahisse le mystère de la nuit. Son énergie reste indomptable et son sourire essaie de voiler l'épuisement qui se lit parfois sur sa physionomie.      « Aujourd'hui - écrit-elle le samedi 16 juin - Notre-Seigneur est venu à huit heures et, me montrant son Cœur, Il m'a dit:   « - Regarde ce Cœur de Père qui se consume d'Amour pour tous ses fils. Ah! Comme Je voudrais qu'ils Me connaissent ! » 
     Et le Seigneur va Lui-même définir les différentes réponses aux avances et à l'Amour de leur Dieu :      « - Les uns M'ont vraiment connu et, pressés par l'Amour, ils ont senti s'allumer en eux le vif désir de se livrer complètement et sans intérêt à mon Service, qui est celui de mon Père.      « Ils Lui ont demandé ce qu'ils pourraient faire de plus grand pour Lui et mon Père leur a répondu :      « Quittez votre demeure, abandonnez vos biens, laissez-vous vous-mêmes, puis venez à ma suite et faites tout ce que Je vous dirai. »      « D'autres ont senti leur cœur s'émouvoir à la vue de ce que le Fils de Dieu a fait pour leur salut. Pleins de bonne volonté, ils se sont présentés à Lui, cherchant comment ils pourraient reconnaître sa Bonté et travailler à ses Intérêts, sans toutefois abandonner les leurs.      «À ceux-là, mon Père a dit : « Gardez la loi que le Seigneur votre Dieu vous a donnée. Gardez mes Commandements et, sans vous égarer ni à droite ni à gauche, vivez dans la paix des serviteurs fidèles. »      « D'autres ont peu compris combien Dieu les aime! Ils ne manquent pas cependant de bonne volonté et vivent sous sa Loi, mais sans amour.      « Ceux-ci ne sont pas des serviteurs volontaires, puisqu'ils ne se sont pas offerts aux ordres de leur Dieu.... Mais comme il n'y a pas en eux de mauvaise volonté, une indication leur suffit, en bien des cas, pour se prêter à son service.      « D'autres, enfin, se soumettent à Dieu, bien plus par intérêt que par amour et dans la stricte mesure qu'exige la récompense finale promise à l'accomplissement de la loi.      « Cependant, tous les hommes se présentent-ils au service de leur Dieu? N'y en a-t-il pas qui ignorent le grand Amour dont ils sont l'objet et qui ne répondront jamais à ce que Jésus-Christ a fait pour eux ?      « Hélas!... Beaucoup l'ont connu et méprisé... Beaucoup ne Le connaissent même pas ! ...      « À tous, Jésus-Christ Lui-même va dire une parole d'Amour :      « Je parlerai d'abord à ceux qui ne Me connaissent pas, oui, à vous, fils chéris qui, depuis votre plus tendre enfance, avez vécu loin de votre Père. Venez! Je vous dirai pourquoi vous ne Le connaissez pas et, quand vous saurez qui Il est et quel Cœur aimant et tendre Il a pour vous, vous ne pourrez résister à son Amour.      « N'arrive-t-il pas souvent à ceux qui grandissent loin de leurs parents de n'éprouver aucun amour pour eux?... Mais si un jour ils découvrent la douceur et la tendresse de leur père et de leur mère, ne les aiment-ils pas plus encore peut-être que ceux qui n'ont jamais quitté leur foyer?      « À vous qui, non seulement ne M'aimez pas, mais qui Me haïssez et Me persécutez, Je demanderai seulement : « Pourquoi cette haine si grande?... Que vous ai-Je fait pour que vous Me maltraitiez ainsi?.. » Beaucoup ne se sont jamais posé cette question et, aujourd'hui où Moi-même, Je la leur pose, ils répondront peut-être : « Je ne sais pas! »      « C'est Moi qui répondrai pour vous :      « Si depuis votre enfance vous ne M'avez pas connu, c'est que personne ne vous a jamais appris à Me connaître. Et tandis que vous grandissiez, les inclinations de la nature, l'amour du plaisir et de la jouissance, le désir de la richesse et de la liberté croissaient aussi en vous.
 

14
     « Puis, un jour, vous avez entendu parler de Moi. Vous avez entendu dire que, pour vivre selon ma Volonté, il faut aimer et supporter le prochain, respecter ses droits et ses biens, soumettre et enchaîner sa propre nature: en un mot, vivre sous une loi. Et vous qui, depuis vos premières années, ne viviez que suivant le caprice de votre volonté et peut-être les entraînements de vos passions, vous qui cependant ne saviez pas de quelle loi il s'agissait, vous avez protesté bien haut:      « Je ne veux pas d'autre loi que moi-même, je veux jouir, je veux être libre! »      « Voilà comment vous avez commencé à Me haïr et à Me persécuter.      « Mais Moi qui suis votre Père, Je vous aimais. Et tandis que vous travailliez avec tant d'acharnement contre moi, mon Cœur, plus que jamais, se remplissait de tendresse pour vous.      « Ainsi ont passé les années de votre vie... nombreuses peut-être....      « Aujourd'hui, Je ne puis contenir plus longtemps mon Amour pour vous! Et, vous voyant en guerre ouverte avec Celui qui vous aime tant, Je viens vous dire Moi-même qui Je suis.      « Je suis Jésus et ce Nom signifie Sauveur. C'est pourquoi mes Mains sont blessées par les clous qui M'attachèrent à la Croix où Je suis mort pour votre amour. Mes Pieds portent la trace des mêmes plaies et mon Cœur est ouvert par la lance qui Le transperça après sa mort!...      « C'est ainsi que Je Me présente à vous pour vous apprendre qui Je suis et quelle est ma Loi. Ne vous effrayez pas! Elle est d'Amour!... Et lorsque vous Me connaîtrez, vous trouverez la paix et le bonheur. Il est triste de vivre orphelins: venez, mes fils, venez à votre Père.      « Arrêtons-nous, Josefa. Demain nous continuerons. Pour toi, aime ton Père et vis de cet Amour. » 
    À ces mots, Notre-Seigneur disparaît. Josefa reste un instant plongée dans le recueillement dont la Présence divine l'a pénétrée. Puis, elle se relève et remet à ses Mères le cahier où elle a rapidement enregistré les paroles recueillies des Lèvres du Seigneur.      Bientôt, on la revoit à son atelier, toujours la même, dans le labeur actif qui ne laisse rien transparaître du secret de la matinée.      Cependant, l'épuisement de ses forces va croissant. Son amour la soutient, mais elle souffre de son impuissance à dominer la lassitude qui l'envahit parfois. Elle se reproche cette impression avec toute la délicatesse de sa conscience qu'alarment les moindres ombres.      « - Ne crains rien - lui dit Notre-Seigneur dans sa  visite du soir. - Si ta misère est grande, beaucoup plus grand est mon Amour pour toi et c'est sur ta faiblesse que travaillera ma Force.      « - Josefa - lui redit-Il dès le matin du dimanche 17 juin - dis-Moi si tu ne ferais pas l'impossible pour rendre la santé à un malade qui serait sur le point de mourir?... Cependant, la vie du corps n'est rien en comparaison de celle de l'âme ! ... Tant et tant d'âmes la retrouveront dans les Paroles que Je te confie! ... Oui, ne pense plus à toi. » 
     Et revenant au sujet interrompu la veille :      « - Allons à ces pauvres âmes qui Me persécutent parce qu'elles ne Me connaissent pas. Je veux leur dire ce que Je suis et ce qu'elles sont:   « Je suis votre Dieu et votre Père! Votre Créateur et votre Sauveur! Vous, vous êtes mes Créatures, mes Fils, mes Rachetés aussi, car c'est au prix de ma Vie et de mon propre Sang que Je vous ai délivrés de l'esclavage et de la tyrannie du péché.      « Vous avez une âme grande, immortelle et faite pour un bonheur sans fin, une volonté capable du bien, un cœur qui a besoin d'aimer et d'être aimé....      « Si vous cherchez dans les biens terrestres et passagers l'apaisement de vos désirs, vous aurez toujours faim et vous ne trouverez jamais l'aliment qui rassasie. Vous vivrez sans cesse en lutte avec vous-mêmes, tristes, inquiets, troublés.      « Si vous êtes pauvres et que le travail est votre gagne-pain, les misères de la vie vous rempliront d'amertume. Vous sentirez s'élever en vous la haine de ceux qui sont vos maîtres et, peut-être même,
 
15
irez-vous jusqu'à désirer leur malheur, afin qu'eux aussi soient contraints comme vous à la loi du travail. Vous sentirez s'appesantir sur vous la lassitude, la révolte, le désespoir même, car la vie est triste et, à la fin, il faudra mourir ! ...      « Oui, au point de vue humain, tout cela est dur! Mais voici que Je viens vous montrer la vie dans une réalité tout autre que ce que vous voyez :      « Vous, qui êtes privés des biens de la terre et obligés de travailler sous la dépendance d'un maître pour subvenir à vos besoins, vous n'êtes cependant pas esclaves, mais créés pour être libres....      « Vous, qui cherchez l'amour et qui n'êtes jamais rassasiés, vous êtes faits pour aimer, non ce qui passe, mais ce qui est éternel.      « Vous, qui aimez tant votre famille et qui devez assurer, autant qu'il dépend de vous, son bien-être et son bonheur ici-bas, n'oubliez pas que si la mort vous en sépare un jour, ce ne sera que pour un temps....      « Vous, qui servez un maître et qui avez à travailler pour lui, à l'aimer et à le respecter, à prendre soin de ses intérêts et à les faire valoir par votre labeur et votre fidélité, n'oubliez pas que ce maître n'est votre maître que pour quelques années, car la vie passe rapidement et vous conduit là où vous ne serez plus ouvriers, mais rois pour l'éternité.      « Votre âme créée par un Père qui vous aime, non d'un amour quelconque, mais d'un amour immense et éternel, trouvera un jour, dans le lieu de bonheur sans fin que ce Père vous prépare, la réponse à tous ses besoins.      « Là, vous trouverez la récompense du travail dont vous aurez porté le poids ici-bas....      « Là, vous trouverez la famille que vous aurez tant aimée sur la terre et pour laquelle vous aurez répandu vos sueurs.      « Là, vous vivrez éternellement, car la terre n'est rien qu'une ombre qui disparaît et le ciel ne passera jamais !      « Là, vous vous unirez à votre Père qui est votre Dieu !      « Si vous saviez quel bonheur vous attend ! ...      « Mais en M'écoutant, peut-être Me direz-vous :      « Pour moi, je n'ai pas la foi! Je ne crois pas à l'autre vie!»      « Vous n'avez pas la foi?... Alors, si vous ne croyez pas en Moi, pourquoi Me persécutez-vous?... Pourquoi vous révoltez-vous contre mes Lois et faites-vous la guerre à ceux qui M'aiment?... Et, puisque vous voulez la liberté pour vous, pourquoi ne la laissez-vous pas aux autres?      « Vous ne croyez pas à la vie éternelle?... Dites-Moi si vous vivez heureux ici-bas et si vous-même ne sentez pas le besoin de quelque chose que vous ne pouvez trouver sur la terre?      « Si vous cherchez le plaisir et que vous arrivez à vous le procurer, vous n'êtes pas rassasié....      « Si vous poursuivez la richesse et que vous réussissez à l'acquérir, vous n'en avez jamais assez....      « Si vous avez besoin d'affection et si vous la rencontrez un jour, bientôt vous en êtes lassé....      « Non ! Rien de tout cela n'est ce que vous désirez !... Ce que vous désirez, vous ne le trouverez sûrement pas ici-bas! Car ce dont vous avez besoin c'est la paix, non la paix du monde, mais celle des enfants de Dieu, et comment pourriez-vous la rencontrer au sein de la révolte?...      « Voilà pourquoi Je viens vous montrer où est cette paix, où vous trouverez ce bonheur, où vous apaiserez cette soif qui vous dévore depuis si longtemps.      « Ne vous révoltez pas si vous M'entendez vous dire: tout cela vous le trouverez dans l'accomplissement de ma Loi; non, ne vous effrayez pas de ce mot, ma Loi n'est pas tyrannique, c'est une Loi d'Amour!      « Oui, ma Loi est d'Amour parce que Je suis votre Père.      « Je viens vous apprendre ce qu'est cette Loi et ce qu'est mon Cœur qui vous la donne, ce Cœur que vous ne connaissez pas et que vous blessez si souvent! Vous Me cherchez pour Me donner la Mort et, Moi, Je vous cherche pour vous donner la Vie! Qui des deux triomphera? Et votre âme restera-t-elle toujours aussi dure en contemplant Celui qui vous a donné sa Vie et tout son Amour?
 
16
     « Adieu, Josefa, aime ce Père qui est ton Sauveur et ton Dieu.» 
     Elle n'a pas de peine à redire cet amour à travers tous les détails de sa longue journée. La pensée de tant d'âmes qui souffrent dans l'ignorance, l'erreur ou l'ingratitude, sans entendre l'appel libérateur du Sauveur, ne l'abandonne pas un instant et c'est dans cette prière incessante qu'elle essaie de prendre le repos de la nuit, au soir de ce dimanche.      Mais à peine est-elle couchée, que Notre-Seigneur lui apparaît soudain. Elle se lève et, se prosternant à ses Pieds, elle renouvelle ses Vœux.      « Ses Plaies - écrit-elle - étaient largement ouvertes et des flammes s'en échappaient. Il portait, d'une main, la couronne d'épines et les clous; de l'autre, Il soutenait sa Croix. »      « - Josefa, veux-tu que Je te dise mes Désirs?      « Regarde mes Plaies! Je voudrais y introduire les pécheurs!      « Oui, cette nuit, Je veux attirer là beaucoup d'âmes!      « Prends ma Croix, mes Clous, ma Couronne, Moi, j'irai chercher des âmes et, quand elles seront sur le point de tomber dans l'abîme, Je leur donnerai la lumière, afin qu'elles retrouvent le vrai chemin.      « Prends ma Croix, garde-la bien!... Tu sais que c'est un grand trésor! »      « Aussitôt, j'ai senti peser lourdement sa Croix sur mon épaule. »      « - La Couronne - et Il l'enfonça sur ma tête - Moi-même J'en ceindrai ton front et les blessures de ses épines obtiendront la lumière aux entendements aveuglés.      « Prends aussi mes Clous, garde-les ! ... Vois quelle preuve de confiance Je te donne: ce sont mes Trésors! Mais comme tu es mon Épouse, Je ne crains pas de te les laisser. Je sais que tu Me les garderas!      « Et maintenant, Je vais chercher les âmes, car je veux que toutes Me connaissent et M'aiment!»      « Ici, son Cœur s'est embrasé plus encore et Il a continué avec une grande ardeur :      « - Je ne peux plus contenir l'Amour que J'ai pour elles... et l'Amour est si fort qu'il triomphera de toutes les résistances ! Oui, Je veux qu'elles M'aiment ! Je veux être leur Roi! Allons les attirer dans mes Plaies, J'irai les chercher... et quand Je les aurai trouvées, Je reviendrai prendre ma Croix! 
 « Maintenant, souffre pour Moi, Josefa.... Mais avant, Je laisserai tomber sur ton âme la flèche d'Amour qui la purifiera, car il faut que tu sois bien pure, comme doivent l'être mes Victimes.
»      Au moment même, une flamme a jailli du Cœur de Jésus sur celui de Josefa.      « Alors - dit-elle - je n'ai plus vu que ce Cœur Sacré, puis tout a disparu. »      Josefa demeure de longues heures dans les douleurs indicibles que causent à sa tête, à ses mains, à ses pieds, à tout son corps, la couronne, les clous et le poids de la croix.      « Le temps m'a paru long - écrit-elle - j'ai même cru que plus d'une nuit avait passé ainsi. 
     « Tout à coup, dans une grande clarté, j'ai vu Notre-Seigneur. Derrière Lui, de chaque côté, dans la lumière de ses Mains, venaient beaucoup d'âmes! »      « - Regarde celles qui sont venues à ma suite!      « Toutes celles-là M'ont reconnu! Pauvres âmes! Comme elles se seraient perdues si Je n'avais pas été là.... Mais J'étais là pour les sauver et leur donner la lumière au milieu de l'obscurité! Maintenant, elles Me suivront... elles seront mes Brebis fidèles!      « Rends-Moi mes Trésors et repose sur mon Cœur! »      « Il a repris la croix et les clous, et Il m'a laissé sa Couronne. »      C'est avec énergie que Josefa doit reprendre, dès l'aube, sa vie habituelle. Personne ne se doute des splendeurs qui, cette nuit, ont illuminé la petite cellule où elle a gardé les Trésors de son Maître, tandis qu'Il courait à la recherche des âmes. Quelle grâce doit la soutenir pour suppléer à l'épuisement de ses forces physiques ! ...      Cependant, une nouvelle entreprise rédemptrice l'attend et c'est pour une âme que Notre-Seigneur
 
17
vient la chercher dans sa cellule ce lundi matin 18 juin.      « Il était comme un pauvre - écrit-elle. - Seigneur! Que Vous arrive-t-il ? Pourquoi êtes-Vous ainsi ?... Je renouvelai mes Vœux avec toute la ferveur possible et Il me dit:   « - Console-Moi. Ce qui afflige mon Cœur, c'est que Je dois abandonner une âme qui M'est consacrée... un prêtre! »      « Mais, Seigneur, c'est impossible! Rappelez-Vous ce que Vous me dites des pécheurs: que Vous les aimez et que Vous êtes toujours disposé à leur pardonner! »      « - Regarde dans quel état cette âme a mis mon Cœur.... Je vais l'abandonner à ses propres forces! »      « J'ai eu tant de peine de voir son Cœur tout couvert de blessures et surtout de penser qu'Il pourrait laisser cette âme à elle-même, que je L'ai supplié de se souvenir de sa Miséricorde et de son Amour. Jésus m'a dit :      « - Si tu peux porter la souffrance que cette âme Me cause, Je te la confierai. »      « Oui, Seigneur, si Vous daignez m'aider! Alors, je L'ai consolé comme j'ai pu, Lui offrant l'amour de la maison, du monde, des âmes saintes, des prêtres... J'ai baisé la terre plusieurs fois, j'ai aussi récité le Miserere et, comme je ne savais plus que faire, je L'ai supplié de me dire ce qu'Il pourrait désirer? »      « Oui, Je te le dirai: n'épargne rien pour Me consoler, puisque cette âme ne se refuse rien pour M'offenser! »      « J'ai continué à Lui offrir tout ce que je pensais pouvoir Lui plaire et, peu à peu, son Cœur s'est dilaté et Il parut moins triste. »      « - L'obstination d'une âme coupable blesse profondément mon Cœur - dit-Il - mais la tendresse d'une âme qui M'aime, non seulement ferme ma Blessure, mais écarte la Justice de mon Père. »      « Puis Il est parti, me laissant dans une grande souffrance d'âme et de corps que j'ai portée tout le long du jour. »      La nuit suivante sera une de ces longues et douloureuses réparations auxquelles Notre-Seigneur a habitué Josefa lorsqu'une âme à besoin de ses expiations.      Quand Il la rejoint dans sa cellule pour consumer ses misères, comme Il le fait chaque soir, Il porte sa Couronne, sa Croix et ses Clous :      « - Je veux non seulement te purifier - lui dit-Il - mais aussi t'embraser du zèle qui dévore et consume mon Cœur. »      Puis, après l'avoir enveloppée de la flamme jaillie de sa Plaie :       « - Cette nuit encore, nous devons souffrir pour cette âme qui Me fuit ! ... Prends ma Croix, mes Clous, ma Couronne. Reste ainsi unie à Moi, J'irai à sa recherche. »      « Il partit... Quand Il revint, longtemps après, Il dit avec grande bonté :      « - Tu souffres, Josefa, et cette âme résiste.... Je l'appelle, elle méprise mon Amour! » 
     Il garde un instant le silence; puis, comme se parlant à Lui- même, Il continue :      « - Ce n'est pas précisément l'offense du moment qui Me blesse, c'est la résistance obstinée de cette âme.      Si elle reste sourde à ma Voix, comment ne pas l'abandonner?...      « Repose-toi, maintenant, J'irai de nouveau lui faire entendre mon Appel. »      « Il m'a repris sa Croix, mais comment dormir en pensant à sa Douleur et à cette âme?... » 
     Dès l'Action de grâces du lendemain, mardi 19 juin Notre-Seigneur lui apparaît dans sa resplendissante Beauté :      « - Cette âme va entendre ma Voix - lui dit-Il - et, bien que sa résolution ne soit pas encore prise, elle commence à se tourner vers Moi.... Tu sais que Je t'ai chargée, non seulement de son salut, mais de sa sainteté. Je veux qu'elle comprenne que tous les biens d'ici-bas ne sont rien pour l'éternité.... Il faut lui obtenir la force d'embrasser l'austérité du chemin où Je la veux.
 
18
     Sinon, elle restera en grand péril.      « Pauvre âme! Elle a besoin de lumière. »  Josefa renouvelle l'offrande d'elle-même pour cette âme qu'elle sent si précieuse au Cœur de son Maître. Puis, enhardie par sa Bonté, elle Lui confie ce qui lui tient le plus à cœur. Depuis qu'Il a commencé à lui transmettre son Message pour le monde, elle se demande sans cesse, dans l'oraison, si les âmes, toutes les âmes, sauront le recevoir, l'entendre, y répondre comme Il l'attend.... La pensée qu'un tel appel, pourrait rester sans écho, la bouleverse parfois et son amour ne peut accepter pour Lui une telle déception.      Voilà plusieurs jours déjà qu'elle porte cette anxiété, sans oser Lui en parler. Aujourd'hui, elle ne peut plus la cacher.      Alors, avec cette force inexprimable qu'elle ne sait pas traduire, mais qui donne à la Voix du Seigneur quelque chose de solennel et de doux à la fois, Il lui répond :      « - Josefa, ne crains rien. Ne sais-tu pas ce qui arrive lorsque s'ouvre un volcan? La puissance de ce feu est si grande qu'elle est capable d'arracher les montagnes et de les détruire, et l'on connaît qu'une force irrésistible a passé par là. Ainsi, mes Paroles auront une telle force et ma Grâce les accompagnera de telle manière, que les âmes les plus obstinées seront vaincues par l'Amour.      « La société est pervertie, lorsque ceux qui sont à sa tête n'agissent, ni dans la vérité, ni dans la justice. Mais si son Chef sait la diriger, plusieurs sans doute suivront encore les voies tortueuses, mais la majorité viendra en masse à la lumière et à la vérité.... Je le répète, ma Grâce accompagnera mes Paroles et ceux qui les feront connaître. La Vérité triomphera, la Paix gouvernera les âmes et le monde... et mon Règne arrivera ! » (1).      Josefa reste saisie de la vigueur avec laquelle Notre-Seigneur a prononcé ces mots. Elle ne doute plus de la réalisation de sa divine Promesse, son cœur raffermi s'ouvre à la confiance: rien ne s'opposera au plan d'amour dont chaque jour lui découvre l'ampleur. Aucune opposition ne sera jamais capable de briser, dans leur élan divin, les torrents de Miséricorde qui vont bientôt submerger le monde!... 
*(1) « ...Mi gracia acompañara a las palabras y a las personas encargardas de hacerlas conocer. La verdad triunfará . . . la paz gobernará las almas y en el mundo... y mi reino llegará. »  Quelques instants après, Notre-Seigneur achève de lui dicter son Appel aux âmes :      « - Josefa, M'aimes-tu? » - lui demande-t-Il en la retrouvant dans sa cellule.      « Seigneur, c'est mon unique désir! Alors, Il m'a répondu:      « - Moi aussi Je t'aime parce que ta petitesse est toute à Moi. »      « Puis, Il a dit :      « - Écris :      « Maintenant, venez apprendre, mes Fils, ce que vous demande votre Père pour preuve de votre amour: vous savez bien qu'une discipline est nécessaire dans une armée et un règlement dans une famille bien ordonnée.      Ainsi, dans la grande famille de Jésus-Christ, une Loi s'impose, mais une Loi pleine de douceur.      « Dans l'ordre humain, les enfants portent toujours le nom de leur père sans lequel ils ne pourraient être reconnus comme appartenant à sa famille.      « Ainsi, mes Fils à Moi portent-ils le nom de chrétien que leur confère, à leur naissance, le Sacrement de Baptême. Vous qui avez reçu ce nom, vous êtes mes Fils et vous avez droit à tous les biens de votre Père.      « Je sais que vous ne Me connaissez pas et que vous ne M'aimez pas, mais qu'au contraire vous Me haïssez et Me persécutez ! Cependant, Moi, Je vous aime d'un Amour infini. Je veux vous faire connaître cet héritage auquel vous avez droit et le peu que vous avez à faire pour l'acquérir:      « Croyez en mon Amour et en Ma Miséricorde.      « Vous M'avez offensé : Je vous pardonne.
 
19
     « Vous M'avez persécuté : Je vous aime.      « Vous M'avez blessé par vos paroles et par vos œuvres: Je veux vous faire du bien et vous ouvrir mes Trésors !      « Ne pensez pas que J'ignore comment vous avez vécu jusqu'à présent : Je sais que vous avez méprisé mes Grâces, peut-être même profané mes Sacrements.      Mais Je vous pardonne !...      « Et si vous voulez vivre heureux ici-bas et assurer en même temps votre éternité, faites désormais ce que Je vais vous dire :      « Êtes-vous pauvres? Ce travail qui vous est imposé par la nécessité, accomplissez-le avec soumission et sachez bien que, Moi aussi, J'ai vécu trente ans assujetti à la même loi, car J'étais pauvre et même très pauvre !      « Ne considérez pas vos maîtres comme des tyrans. Ne nourrissez pas contre eux des sentiments de haine.... Ne désirez pas leur malheur, mais faites valoir leurs intérêts et soyez fidèles.      « Êtes-vous riches? Avez-vous à votre charge des ouvriers, des serviteurs?... N'exploitez pas leur travail... rémunérez leur labeur selon la justice et prouvez-leur votre affection avec douceur et bonté. Car si vous avez une âme immortelle, eux aussi; si vous avez reçu les biens que vous possédez, ce n'est pas seulement pour votre jouissance et votre bien-être personnels, mais afin que, les administrant sagement, vous puissiez exercer la charité envers ceux qui vous entourent.      « Après avoir les uns et les autres, accepté avec soumission cette loi du travail, reconnaissez humblement l'existence d'un Être au-dessus de tout ce qui est créé.      Cet Être est votre Dieu en même temps que votre Père.      « Comme Dieu, Il exige que vous accomplissiez sa Loi divine.      « Comme Père, Il vous demande de vous soumettre en fils à ses Commandements.      « Ainsi, quand vous avez passé toute une semaine à vos travaux, à vos affaires, à vos délassements aussi... Il vous demande de donner au moins une demi-heure à l'accomplissement de son précepte. Est-ce beaucoup exiger?      « Allez donc à sa Maison à Lui. Il vous y attend jour et nuit et chaque dimanche ou jour de fête, réservez-Lui cette demi-heure en assistant au mystère d'Amour et de Miséricorde qu'on appelle la Messe.      « Là, parlez-Lui de tout: de votre famille, de vos enfants, de vos affaires, de vos désirs.... Exposez-Lui vos difficultés et vos souffrances.... Si vous saviez comme Il vous écoutera et avec quel amour ! ...      « Vous Me direz peut-être : « Je ne sais pas assister à la messe! Il y a si longtemps que je n'ai pas foulé le seuil d'une église! » Ne vous effrayez pas.... Venez et passez seulement cette demi-heure à mes Pieds. Laissez votre conscience vous dire ce que vous devez faire sans fermer l'oreille à sa voix. Ouvrez votre âme... alors ma Grâce parlera.... Elle vous montrera peu à peu comment vous devez agir en chaque circonstance de votre vie, vous comporter avec votre famille ou dans vos affaires.... Comment vous devez élever vos enfants, aimer vos inférieurs, respecter vos supérieurs.... Elle vous demandera peut-être d'abandonner cette entreprise, de rompre cette amitié mauvaise, de vous éloigner énergiquement de cette réunion dangereuse.... Elle vous dira que vous haïssez telle personne sans raison, et que de telle autre que vous fréquentez et aimez, vous devez au contraire fuir les conseils et vous séparer....      « Essayez seulement et, peu à peu, s'étendra la chaîne de mes grâces. Car il en est du bien comme du mal, il suffit de commencer. Les anneaux de la chaîne s'appellent les uns les autres. Si, aujourd'hui, vous écoutez ma Grâce et si vous la laissez agir en vous, demain vous l'entendrez mieux, plus tard mieux encore et ainsi, de jour en jour, la lumière viendra, la paix grandira et votre bonheur sera éternel!      « Car l'homme n'est pas créé pour rester toujours ici-bas! Il est fait pour l'éternité. Si donc il est immortel, il doit vivre, non pour ce qui meurt, mais pour ce qui demeurera.      « Jeunesse, richesse, sagesse, gloire humaine, tout cela n'est rien... tout cela passe et finit, Dieu est le Seul qui subsiste pour l'éternité!      « Si le monde et la société sont remplis de haines et en luttes continuelles, peuples contre peuples,
 

20
nations contre nations, et individus contre individus, c'est que le grand fondement de la foi a presque entièrement disparu.      « Que la foi se ranime, et la paix reviendra et la charité régnera!      « La foi ne nuit pas à la civilisation et ne s'oppose pas au progrès. Au contraire, plus elle est enracinée dans les individus et dans les peuples, plus grandissent en eux la sagesse et la science, car Dieu est Sagesse et Science infinies. Mais là où la foi n'est plus, la paix disparaît et, avec elle, la civilisation, la culture, le vrai progrès... car Dieu n'est pas dans la guerre.... Il n'y a plus alors que division des opinions entre elles, soulèvement des classes les unes contre les autres et, dans l'homme lui-même, rébellion des passions contre le devoir. Alors disparaît tout ce qui fait la noblesse de l'homme : c'est la révolte, l'insubordination, la guerre ! ... 
     « Ah! Laissez-vous convaincre par la foi et vous serez grands. Laissez-vous dominer par la foi et vous serez libres! Vivez selon la foi et vous ne mourrez pas éternellement! »  
    Les derniers mots du Message au monde sont achevés. Notre- Seigneur abaisse son Regard sur Josefa :      « - Adieu - lui dit-Il - tu sais que J'attends de vous réparation et amour. L'amour se prouve par les actes. Que tout en vous prouve l'amour. Soyez les Messagères de l'Amour dans les plus petites comme dans les plus grandes choses. Faites tout par amour. Vivez d'amour! »      Et Il disparaît.

 

 

(J'ai volontairement laissé les numéros des pages afin que vous puissiez les retrouver facilement par le lien mis en haut de cet article)

.

.

.

Voir les commentaires

Dimanche 22 octobre 2017 - Messe selon le rite ordinaire et le rite extraordinaire (enseignements)

21 Octobre 2017, 17:57pm

Publié par Véronique

Rite ordinaire

Les choses de Dieu sont bien plus importantes que celles du monde (lien)

 

Rite extraordinaire

Notre vie avec Dieu est intérieure (lien)

 

Véronique

 

.

.

.

Voir les commentaires

De vrais changements à apporter dans l'Église

18 Octobre 2017, 15:12pm

Publié par Véronique

Un entretien de 2013, toujours d'actualité. 

Voir les commentaires

Sur la Croix. Là où Jésus nous invite.

15 Octobre 2017, 22:32pm

Publié par Véronique

Crucifié à l'image de Jésus, sur la Croix. Ce lieu où Jésus nous invite, où l'amour est parfait. Les épreuves et la souffrance sont chemins d'amour lorsque nous disons oui à Dieu. C'est le même chemin que celui de Jésus. Nous ne pouvons pas faire erreur lorsque nous nous abandonnons en Dieu en tout. 

Véronique 

Voir les commentaires

Pourquoi attendre le Ciel...

15 Octobre 2017, 22:24pm

Publié par Véronique

Pourquoi attendre le Ciel pour laisser Dieu nous transformer en Lui ? Que de temps perdu. Laissez-vous faire par la Sainte Trinité. Ne Lui refusez rien. Laissez l'amour vous envahir, vous modeler, vous témoigner son amour. Laissez La vivre en vous. Laissez la vie éternelle suivre son chemin qui commence sur la terre. Quel bonheur de dire oui à Dieu. 

Véronique

Voir les commentaires

La souffrance pour souffrir est stérile et négative

15 Octobre 2017, 22:10pm

Publié par Véronique

Laisser la souffrance à son propre état,  la laisse stérile, négative et difficile. Lorsque la souffrance est vécue avec Dieu, et, lorsque nous Lui offrons, elle devient vie et espérance. En l'acceptant et en l'offrant à Dieu, Il nous aide à la vivre du mieux que nous pouvons le faire, même avec imperfection. Ce qui compte au juste c'est l'élan de notre cœur, de notre amour, de notre charité et aussi de notre espérance. Vécue ainsi,  la souffrance est moins difficile à vivre. Oui, tout est grâce. Il est indispensable de demander à Dieu la grâce de l'abandon. 

Véronique 

Voir les commentaires

S'accrocher à Dieu en tout temps

15 Octobre 2017, 22:00pm

Publié par Véronique

Quelles que soient nos épreuves et nos souffrances notamment celles pendant lesquelles nous sommes crucifiés sans aucune consolation, Dieu nous invite à s'accrocher à Lui. Il nous dit que sans Lui nous ne pouvons rien faire (Jn 15, 5). Croyons bien en cette vérité, celle qui nous reste dans les circonstances les plus extrêmes de nos épreuves. Oui, en Lui prenant la main, cela nous donne un petit souffle de vie là où nous ne voyons aucune lumière. 

Véronique 

Voir les commentaires