Malades, opérés, convalescents...

Malades, opérés, convalescents, il arrive parfois dans la vie des épreuves plus ou moins difficiles.

Des peurs et des angoisses peuvent surgir, ainsi que de terribles douleurs physiques, et le temps de la convalescence peut devenir long.

On ne fait pas toujours ce que l'on voudrait faire, on souhaite peut-être éviter le séjour en hôpital et tout ce qui va avec.

De ce négatif peut en ressortir du positif : abandon, amour, offrande et patience.

L'abandon en Dieu, en sa volonté, en Lui témoignant une confiance totale en toute sérénité. Cela est notamment utile lorsque les choses tournent mal, comme l'état de santé qui peut se dégrader et que les médecins peuvent ne pas comprendre, et, ou il peut être difficile, voir impossible pour eux de pouvoir pratiquer les soins nécessaires, vu l'état de leur patient.

Cet abandon est bénéfique surtout dans les moments difficiles, là où on ne peut rien faire de soi-même, et, entre les mains de Dieu s'installe une confiance aveugle.

Amour en vers Dieu, parce qu'en cet abandon et cette confiance il prend tout son sens.

La patience s'invite à nous à travers toutes ces épreuves.

Et enfin offrande, parce que chaque souffrance peut être offerte pour chaque partie du corps qui est douloureuse, pour ceux qui en souffrent également ou, pour d'autres intentions.

Par toutes ces épreuves, Dieu nous invite à l'héroïsme discret de l'abandon, de l'amour, de l'offrande et de la patience.

Dans le cas où il est possible de le faire, il est bon de recevoir le sacrement des malades avant d'aller à l'hôpital, il sera une force, et, il est bon également de remettre entre les mains de Dieu le personnel soignant.

En union de prière fraternelle pour toutes les personnes hospitalisées et leur famille, ainsi que pour le corps médical.

Véronique