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Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Les grâces de Dieu : comment faire pour les laisser venir à nous ?

22 Avril 2017, 18:05pm

Publié par Véronique

Spiritualité

Dans notre vie spirituelle, il peut se trouver un moment où nous ne savons pas comment faire pour laisser venir à nous les grâces divines. Nous pouvons en avoir peur, ne pas savoir comment les gérer, ni savoir quoi en faire.

Le mieux est de ne se poser aucune question, de laisser Jésus nous exprimer son amour par les moyens qu'Il choisit et que nous aussi nous Lui exprimions l'amour que nous avons pour Lui. C'est l'amour mutuel qui s'exprime et vit.

Véronique

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Tuerie sur les Champs Elysées - Entre tristesse et colère, la fin de l'Europe et la prophétie du futur Henri V de la Croix par Marie-Julie Jahenny et soeur Olive Danzé.

22 Avril 2017, 16:33pm

Publié par Véronique

A la veille des élections présidentielles françaises, et pour que la gauche les gagne encore, nous avons entendu les mots du gouvernement actuel, qui, pendant les hommages qu'il rendait à monsieur Xavier Jugelé, policier tué sur les Champs Elysées, a fait de ces propos une véritable campagne politique en dénonçant les dires de madame Le Pen. Que se soit elle ou un autre candidat à la présidentielle, peu importe.

Ce gouvernement de gauche qui n'a pas arrêté de dire "Amen" à l'Europe avec toutes ses lois qui tuent l'être humain et veut continuer à les tuer (élimination des enfants trisomiques dans le ventre de leur maman, I.V.G, euthanasie, clonage, destruction et manipulation des embryons...), n'a aucune convenance ni respect en matière devant la mort d'un homme qui défendait et protégeait la France et les français. Quelle honte !

Être catholique et voter pour la gauche est tout à fait incompatible avec notre foi. La gauche et l'extrême gauche et même monsieur Macron, ne sont pas des reflets de l'évangile. leurs idées, convictions et programmes en sont tout le contraire.

Sur la vidéo qui suit, monsieur Farid Smahi (ancien élu FN) dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

La France est tombée très bas, et, si nous laissons faire ceux qui veulent détruire la France, alors, elle fera comme l'Europe qui est en train de tomber puisqu'elle ne met pas en valeur la dignité humaine et ne la défend pas, au contraire :

 

Dans ses différentes interventions, Philippe de Villiers nous explique très clairement ce qui est en train de se passer en France et ce qui arrive si nous laissons faire, notamment par cette future partition (pour que la charia puisse être) dans différents endroits de France :

 

En octobre 2016, dans cette vidéo, Philippe de Villiers nous explique les futurs territoires de France, pour la partition, qui sont en train d'être réalisés par la gauche :

 

Le père Henri Boulad, dans cette vidéo "Le désespoir de Dieu... Le Seigneur déçu par sa vigne bien aimée" :

- quand l'Europe a décidé qu'elle n'en avait rien à faire avec le christianisme, avec le judéo-christianisme, qui n'était pas dans leur héritage, vous voyez ce qu'elle est en train de devenir l'Europe : un troupeau de consommateur, du mariage pour tous, on change la nature, on réinvente l'homme, on réinvente l'amour, et en ce moment c'est la débâcle, l'effondrement... quand vous touchez aux valeurs morales d'un peuple, d'une société, d'un peuple, elle n'a plus qu'à s'écrouler...

- quand une nation perd son âme, elle disparaît...

- retourner aux valeurs, retourner à l'âme, retourner à l'esprit. Oui, c'est le judéo-christianisme qui a construit, avec d'autres éléments, l'Europe, l'Occident ! Vous le renié, vous le nié, mais c'est nier l'évidence ! Honte !

- Il y a dix ans, j'écrivais un article sur "Europe prend garde de perdre ton âme". Aujourd'hui, c'est fait, c'est fait. Et avec l'âme, sa civilisation va s'écrouler, on l'a voit lentement s'effriter, ça continue et ça continuera. Quel est le remède, quelle est la réponse ? L'évangile, la parole de Jésus, l'enseignement de Jésus, le commandement de l'amour. On veut balayer tout ça, et à la place de ça on vous met des grands slogans : la gauche libérale, mai 68, la liberté, le droit de bricoler un autre monde. On voit ce que ça donne.

Mon Dieu, Seigneur... Tout à l'heure nous avons crié "Pitié Seigneur car nous avons péché", nous avons péché, individuellement et comme peuple, civilisation et comme humanité. Il est grand temps que nous fassions retour sur nous-mêmes, que nous nous reprenions, que nous demandions pardon, pardon au maître de la vigne, pardon au maître du domaine en Lui disant "Pardon, pardon pour ce gâchis, pour cette terre que nous avons saccagé, pour cette humanité que nous sommes en train de détruire, pour cette enfance que nous sommes en train de souiller, pardon Seigneur". 

 

Dans la vidéo qui suit, "Parler, hurler, dénoncer, agir...", le père Boulad crie contre toutes les injustices, et je pense à celles que nous subissons et celles qui continueront si nous ne faisons pas ce qu'il faut pour que les choses changent :

 

Aussi, par les paroles de monsieur Farid Smahi, je ne peux m'empêcher de penser au futur roi Henri V de la Croix prophétisé par Marie-Julie Jahenny et sœur Olive Danzé. En levant les yeux au ciel il dit : "J'en appelle à un gouvernement, je ne sais pas d'où ça vient..."

 

Alors, pour les élections présidentielles et législatives, il est évident qu'il ne faut pas voter pour la gauche et l'extrême gauche, ni pour monsieur Macron. Leurs programmes sont tous pour une Europe encore plus forte et plus puissante, et pour que la France ne soit pas sécurisée correctement.

 

Que Dieu nous fasse miséricorde, nous guide et nous protège.

En union de prière fraternelle pour la France.

Véronique

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Discerner pur voter aux élections présidentielles et législatives - Monseigneur Rey

22 Avril 2017, 16:29pm

Publié par Véronique

Discerner pur voter aux élections présidentielles et législatives - Monseigneur Rey

Toulon, 25 Mars 2017, par Mgr Dominique Rey.

A la veille d’élections cruciales pour notre pays…

Quelques critères de discernement

 

La tournure prise par la campagne présidentielle illustre la crise de la politique qui traverse notre pays. La Conférence des Evêques de France nous invitait pourtant il y a quelques mois à Retrouver le sens du politique.

  • Engagement politique et espérance

A l’heure de l’information continue, une controverse chasse l’autre et la surenchère des petites phrases se fait souvent au détriment de l’analyse et de la réflexion. Aussi, eu égard aux courants profonds qui traversent et meuvent l’histoire, rien de tout cela n’est de nature à nous ébranler. L’écume des vagues est éphémère et négligeable lorsqu’on la considère avec un peu de recul, dans la perspective du temps long. Si l’on peut regretter que le sens de la vérité et du bien ne soient pas toujours les mobiles premiers de l’action politique, on ne doit pas non plus s’étonner que des scandales puissent arriver (Mt 18, 7). Ainsi, on n’élit rarement les plus vertueux. Il s’agit de voir celui qui est le plus capable de servir le bien commun et de diriger une communauté pour que chacun puisse y vivre en paix.

Dans ces temps difficiles où certains semblent se résoudre à une impossibilité pour les chrétiens de s’engager honnêtement, sans « se salir les mains », comme si c’était une fatalité, il faut au contraire saluer ceux qui accomplissent ce service de la politique et qui veulent tenir leur place dans le monde -politique-, sans être du monde. On pourra toujours nous reprocher de n’être pas des saints ; on ne doit pas pouvoir nous reprocher notre indifférence et notre passivité. La peur des coups ou des compromis n’est pas un motif suffisant pour déserter le champ du politique.

  • Légitime diversité de stratégie

On a réédité ces jours-ci la note de Simone Weil sur la suppression des partis politiques. Ils seraient pour une part responsables du climat malsain de la vie publique en favorisant les luttes pour des intérêts particuliers, l’esprit de réseau plutôt que le sens de l’intérêt général. En étant fidèle au parti plutôt qu’à la vérité, le risque serait de ne plus penser par soi-même : « Presque partout, l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée. » Bien que la note date de 1940, il est frappant d’en constater l’actualité. Mais, s’il est légitime d’imaginer un autre système pour organiser la vie politique, il est bien sûr possible d’envisager l’engagement dans le cadre d’un parti.

La stratégie, le choix des instruments et des modes d’expression politiques ne doivent pas être érigés en absolu, d’autant qu’ils se réalisent dans des situations imparfaites et souvent en rapide mutation. Le Compendium de la Doctrine sociale est assez clair à ce sujet : « Le chrétien ne peut pas trouver un parti qui corresponde pleinement aux exigences éthiques qui naissent de la foi et de l’appartenance à l’Église : son adhésion à une formation politique ne sera jamais idéologique, mais toujours critique, afin que le parti et son projet politique soient encouragés à créer les conditions propices à la réalisation du véritable bien commun, y compris la fin spirituelle de l’homme. » (n. 73) On trouve donc chez les chrétiens un légitime pluralisme politique ; on doit veiller cependant à ne pas se diviser à propos de motifs secondaires : « Le parti le plus sage, entre chrétiens, est de ne pas se haïr pour des questions controversables. » (Bienheureux F. Ozanam)

  • Discerner

Que la plupart des candidats à l’élection présidentielle soient baptisés montre bien que le fait d’être chrétien ne constitue pas en soi un critère pour éclairer notre vote. Inutile de se lamenter sur l’absence du candidat idéal ou de l’homme providentiel ! Même s’il est impossible de donner des consignes de vote, quelques critères pourront aider au discernement. Il n’y a bien sûr pas de “programme politique chrétien” clé en main directement révélé par le Christ. Mais il y a une succession de principes, quelques interdictions, et des exhortations qui permettent de donner un socle solide à une société.

  • Personne humaine et principes non-négociables

La vision chrétienne de l’engagement politique repose sur la centralité de la personne humaine (dignité et transcendance, disait le pape à Strasbourg en 2014) et le sens du bien commun, conçu comme le « bien de tout homme et de tout l’homme. »

A la veille des élections on cite souvent la Note doctrinale de la Congrégation pour la Doctrine de la foi de 2002. Elle donne des critères pour l’engagement et le comportement des chrétiens dans la vie politique. On parle habituellement de “principes non-négociables”, nécessaires à la vie démocratique. Souvent présentés comme étant au nombre de trois (le droit à et la défense de la vie humaine, le mariage conçu comme l’union stable d’un homme et d’une femme, la liberté d’enseigner), on oublie qu’ils comprennent en réalité la totalité du bien commun.

Leur liste est donc plus longue : « Il faut penser à la protection sociale des mineurs et à la libération des victimes des formes modernes d’esclavage. On ne peut exclure de cette liste le droit à la liberté religieuse et le développement dans le sens d’une économie qui soit au service de la personne et du bien commun, dans le respect de la justice sociale, du principe de solidarité humaine et de la subsidiarité, qui veut que “les droits de toutes les personnes, de toutes les familles et de tous les groupes, et que l’exercice de ces droits, soient reconnus“. Enfin, comment ne pas voir dans ces exemples le grand thème de la paix. »

  • L’option préférentielle pour les pauvres

Les racines évangéliques de la Doctrine sociale indiquent une priorité politique : l’option préférentielle pour les pauvres. Elle est un élément clé de tout action politique chrétienne. Un chrétien en politique ne peut pas faire l’impasse des questions de pauvreté et de misère: SDF, chômeurs, migrants, population des pays en guerre et des pays pauvres, conditions de détention des prisonniers etc. Les expressions forgées par le pape François n’ont pas pu ne pas nous frapper : « Lutter contre la culture du déchet ou bien encore contre la mondialisation de l’indifférence. »

Dans l’histoire, la France a toujours montré l’exemple de la solidarité et de la fraternité. Face aux nouveaux enjeux de pauvreté auxquels l’humanité fait face dans sa dimension planétaire, et compte tenu de la fluidité de l’information, les Français sont invité à une nouvelle « fraternité hors les murs », sans craindre de s’appauvrir.

  • Vigilance éthique

Nous devons être vigilants à ce que de nouvelles transgressions éthiques ne viennent fragiliser les bases de notre société. Ainsi, la protection des droits des enfants reste une priorité. Il est de notre responsabilité de protéger leurs conditions de croissance psychologique, leur stabilité affective et leur environnement familial. L’adoption plénière par un couple de même sexe n’est pas un cadre juridique protecteur pour l’enfant, qui a besoin de se savoir issu d’un père et d’une mère.

L’être humain ne peut être traité comme une marchandise: ni les enfants, ni le ventre des femmes ne peuvent faire l’objet de transactions. La GPA (gestation pour autrui) est une pratique gravement contraire à la dignité de la personne humaine et doit être fermement condamnée. « L’être humain risque d’être réduit à un simple engrenage d’un mécanisme qui le traite à la manière d’un bien de consommation à utiliser, de sorte que lorsque la vie n’est pas utile au fonctionnement de ce mécanisme elle est éliminée sans trop de scrupule, comme dans le cas des malades, des malades en phase terminale, des personnes âgées abandonnées et sans soin, ou des enfants tués avant de naître. »

  • Préserver la maison commune

Défendre et respecter notre « mère terre » fait partie des obligations graves qui doivent se traduire par des choix politiques courageux. Nous n’échapperons pas à de sérieux examens de conscience sur nos modes de vie: production, consommation, énergie, alimentation, transport… Les paroles du pape en ont étonné plus d’un: « L’heure est venue d’accepter une certaine décroissance dans quelques parties du monde, mettant à disposition des ressources pour une saine croissance en d’autres parties. Benoît XVI affirmait qu’il est nécessaire que les sociétés technologiquement avancées soient disposées à favoriser des comportements plus sobres, réduisant leurs propres besoins d’énergie et améliorant les conditions de son utilisation. » (Laudato Si, 93)

L’écologie intégrale dont parle Laudato Si est une boussole fiable pour un programme politique en cohérence avec la Doctrine sociale de l’Eglise. Elle repose sur la notion de limite. Or les idéologies comme le libéralisme libertaire, le transhumanisme, l’anti-spécisme brouillent nos repères et récusent totalement les limites : limites entre l’homme et la machine, l’homme et l’animal, limites de nos désirs matériels, limites entre l’homme et la femme, entre les générations, limites entre les espaces, sacré-profane, frontières géographiques…

  • L’économie au service de l’homme.

Dans un discours historique en 2015 à Santa Cruz, le pape François a fustigé l’économie qui tue et qui exclue. La logique du gain à n’importe quel prix pue « l’odeur de ce que Basile de Césarée appelait “le fumier du diable”; l’ambition sans retenue de l’argent qui commande… Quand le capital est érigé en idole et commande toutes les options des êtres humains, quand l’avidité pour l’argent oriente tout le système socio-économique, cela ruine la société, condamne l’homme, le transforme en esclave, détruit la fraternité entre les hommes, oppose les peuples les uns aux autres, et comme nous le voyons, met même en danger notre maison commune. »

Le pape exprime ses inquiétudes concernant la soumission du politique à la technologie et aux finances. «  La politique ne doit pas se soumettre à l’économie et celle-ci ne doit pas se soumettre aux diktats ni au paradigme d’efficacité de la technocratie. Aujourd’hui, en pensant au bien commun, nous avons impérieusement besoin que la politique et l’économie, en dialogue, se mettent résolument au service de la vie, spécialement de la vie humaine. » Un des maux politiques actuels est, pour le pape François, la renonciation du politique face aux exigences de l’économie et du marché.

A ce titre, il serait important que les chrétiens redisent plus fermement leur attachement à la préservation et à la défense du dimanche, comme jour de repos indispensable pour que le travail reste toujours subordonné au bien de la personne.

  • Revivifier l’Europe : des racines et du zèle

Le pape faisait part de ses rêves sur l’Europe en mai 2016 : « Je rêve d’une Europe jeune, capable d’être encore mère : une mère qui ait de la vie, parce qu’elle respecte la vie et offre l’espérance de vie… Je rêve d’une Europe qui écoute et valorise les personnes malades et âgées, pour qu’elles ne soient pas réduites à des objets de rejet improductifs. Je rêve d’une Europe où être migrant ne soit pas un délit, mais plutôt une invitation à un plus grand engagement dans la dignité de l’être humain tout entier. »

Immigration et identité

Il relie ainsi très clairement la question de l’accueil des migrants à celle de l’identité : il sera d’autant plus difficile de se montrer accueillant si l’on oublie ses racines chrétiennes. « L’Europe sera en mesure de faire face aux problématiques liées à l’immigration si elle sait proposer avec clarté sa propre identité culturelle et mettre en acte des législations adéquates qui sachent en même temps protéger les droits des citoyens européens et garantir l’accueil des migrants. » Ou encore : « A l’origine de la civilisation européenne se trouve le christianisme, sans lequel les valeurs occidentales de dignité, de liberté, et de justice deviennent complètement incompréhensibles… Dans notre monde multiculturel, ces valeurs continueront à trouver plein droit de cité si elles savent maintenir leur lien vital avec la racine qui les a fait naître. » (60° anniversaire du Traité de Rome, 25 mars 2017)

Laïcité

A l’heure où les questions concernant les relations entre le religieux et le politique se posent de manière cruciale, il convient d’avoir une conception juste et commune de la laïcité. La neutralité de l’Etat n’est pas la neutralisation du religieux. Le respect de la liberté de conscience des individus oblige à les traiter de façon égale quelle que soit leur religion. L’autonomie de la sphère temporelle n’implique pas l’exclusion de la sphère religieuse. « La laïcité de l’Etat est un cadre juridique qui doit permettre à tous, croyants de toutes religions et non-croyants, de vivre ensemble. » Cela n’implique pas la relégation du religieux de la sphère publique vers le seul domaine privé où il devrait rester caché.

Le pape François a dénoncé le laïcisme français qui considère parfois les religions comme des sous-cultures, estimant que le christianisme doit pouvoir contribuer à la croissance de l’Europe. « Une Europe capable de mettre à profit ses propres racines religieuses, sachant en recueillir la richesse et les potentialités, peut être plus facilement immunisée contre les nombreux extrémismes qui déferlent dans le monde d’aujourd’hui, et aussi contre le grand vide d’idées auquel nous assistons en Occident, parce que c’est l’oubli de Dieu, et non pas sa glorification, qui engendre la violence ».

Source

 

 

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Xavier Jugelé, policier tué sur les Champs Elysées - Union de prière

22 Avril 2017, 16:24pm

Publié par Véronique

Respect, compassion et prière pour monsieur Xavier Jugelé, policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier sa famille, ses proches et collègues de travail.

En union de prière fraternelle

Véronique

 

 

 

 

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Sainte Faustine, l'apôtre de la Miséricorde

18 Avril 2017, 15:37pm

Publié par Véronique

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Site sur Marthe Robin

18 Avril 2017, 15:20pm

Publié par Véronique

Découverte du site sur Marthe Robin, à l´adresse www.martherobin.com.

Ce site vous permettra de mieux connaître la vie, le message et l´héritage de cette grande figure spirituelle du XXème siècle, dont la cause de béatification est en cours.
Internet Chrétien du 06/04/2017.

Source

 

 

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C'est quoi évangéliser aujourd'hui ? - père Henri Boulad

18 Avril 2017, 13:52pm

Publié par Véronique

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La Vierge Maire : existe-t-elle, est-elle la Mère de Dieu ?

18 Avril 2017, 13:22pm

Publié par Véronique

C'est une affirmation que l'on me fait (commentaire du 13/04/2017).

En 1917, les trois enfants de Fatima, au Portugal, ont demandé à la Vierge Marie de faire un miracle afin que tous croient en son apparition.

70.000 personnes témoins du miracle du soleil. 

70.000 personnes mouillées par la pluie et séchées par la Vierge Marie.

 

(Passage du documentaire "M et le 3è secret"

Bible des Peuples

Jésus naît d’une mère vierge (Matthieu 1, 18-25)

18 Voici quelle fut l’origine de Jésus, le Christ. Sa mère, Marie, avait été donnée en mariage à Joseph, mais avant qu’ils ne vivent ensemble, elle se trouva enceinte par une intervention de l’Esprit Saint. 19 Joseph, son mari, pensa à la renvoyer. Mais c’était un homme droit et il voulait agir discrètement pour ne pas lui faire du tort.

20 Comme il en était préoccupé, un ange du Seigneur vint se manifester à lui dans un rêve et lui dit : « Joseph, fils de David, n’aie pas peur de prendre chez toi Marie, ton épouse. La voilà enceinte par l’intervention de l’Esprit Saint ; 21 elle mettra au monde un fils et tu lui donneras le nom de Jésus ; car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »

22 Tout cela fut donc l’accomplissement de ce que le Seigneur avait dit par la bouche du prophète : 23 Voici que la vierge est enceinte et met au monde un fils. On l’appellera Emmanuel, ce qui veut dire Dieu-avec-nous.

24 Quand Joseph se réveilla, il fit ce que l’ange lui avait ordonné et il prit avec lui son épouse. 25 Il n’avait donc pas eu de relations avec elle quand elle mit au monde un fils ; il lui donna le nom de Jésus.

Les dernières paroles de Jésus (Jean 19, 25-30)

25 Debout près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie femme de Clopas, et Marie de Magdala. 26 Jésus vit la Mère et auprès d’elle le disciple qu’il aimait. Il dit à la Mère : « Femme, voici ton fils. » 27 Ensuite il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de ce moment le disciple la reçut chez lui.

28Avec cela, Jésus voyait que tout était accompli. Mais une parole de l’Écriture devait encore s’accomplir. Jésus dit : « J’ai soif. » 29 Il y avait là un vase plein de vin fermenté et quelqu’un y plongea une éponge, la mit au bout d’une branche d’hysope et la porta à sa bouche. 30 Jésus prit ce vin fermenté et alors il dit : « Tout est accompli. » Il inclina la tête et il remit l’esprit.

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Personnellement, la Vierge Marie m'a amené à Jésus. Sans elle je n'y serai pas arrivé seule. Voici mon témoignage.

Fraternellement

Véronique

 

 

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SI on a oublié une journée sur les Sept Pater et Ave, doit-on tout recommencer ? (Vos questions)

18 Avril 2017, 13:06pm

Publié par Véronique

bonjour
si ont a oublié une journée sur les 7 pater et ave doit on tout recommencer?
merci pour une réponse
Mme B

(question du 18/04/2017)

Bonjour.

Non, il ne faut pas tout recommencer, cela n'a pas été fait volontairement. Pour votre bonne conscience vous pouvez vous excuser auprès de Dieu, si vous le désirez.

Ceci dit, vous pouvez demander à votre ange gardien de vous rappeler chaque jour de faire votre dévotion.

Soyez dans la paix du cœur de Jésus et bonne continuation de votre dévotion.

Fraternellement

Véronique

 

P.S : il est bien de poser cette question à votre accompagnateur spirituel habituel.

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Pourquoi le yoga n'est pas compatible avec la foi catholique ?

18 Avril 2017, 12:45pm

Publié par Véronique

Pourquoi le yoga n'est pas compatible avec la foi catholique ?

Le yoga est une pratique qui est devenue à la mode. On le voit partout, je l'ai même vu proposé dans une paroisse.

Le yoga est fixé sur notre intérieur de façon à le gérer nous-même et à nous chercher en nous-même. Le souci c'est que nous cherchons quelque chose que nous ne trouverons jamais. En quelques mots : on perd son temps.

Dans la foi catholique, Dieu vient habiter en nous et nous fait découvrir qui nous sommes vraiment. Nous le vivons dans les étapes du chemin spirituel. Grâce à cela, Dieu vient nous purifier et nous dévoile nos propres richesses à travers Lui. Sans l'intervention divine, celle de Dieu trois fois Saint, Père, Fils et Saint Esprit, nous ne pouvons vivre notre propre transfiguration et de ce fait nous restons à l'état d'esprit humain sans que notre âme réalise et fasse ce dont elle est capable.

Vivre dans la réalité vivante spirituelle avec la Sainte Trinité nous fait comprendre ce qui est bon ou mauvais pour nous, mais pas seulement, parce qu'une âme spirituelle en la Sainte Trinité est au-dessus de l'esprit du monde puisqu'elle est déjà dans le divin.

C'est pour cela qu'il est nécessaire d'avoir une vie spirituelle, que nous faisons grandir par notre foi mais sans oublier une vie de prière régulière et, en vivant des sacrements de l'Eucharistie et de la confession, qui, vécus dans l'abandon, l'amour, l'humilité et la confiance porteront des fruits. Ainsi, l'âme sera capable de juger de toute chose, de discerner, parce que Dieu l'aura formé pour savoir faire les bons choix et évangéliser sans se tromper.

Choisir la Sainte Trinité c'est choisir la vie.

Véronique

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