Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le.blog.catholique.de.Véronique (Blog personnel)

Calais (France) - Union de prière

5 Septembre 2016, 15:41pm

Publié par Véronique

"La situation ici est une véritable cocotte-minute. Si les pouvoirs publics ne font rien, ça risque de finir en drame."

 

Source : http://www.francetvinfo.fr/france/nord-pas-de-calais/migrants-a-calais/chez-moi-c-est-un-terrain-de-guerre-civile-a-calais-les-entrepreneurs-excedes-par-la-crise-des-migrants-bloquent-la-ville_1807035.html

 

France - Union de prière

Voir les commentaires

Le Mont Saint Michel

5 Septembre 2016, 10:44am

Publié par Véronique

Depuis des siècles, le Mont-Saint-Michel se dresse au milieu d'une baie immense, théâtre des plus grandes marées d´Europe. Il est le symbole de la résistance aux épreuves du temps. Avec près de 2,5 millions de touristes chaque année, le Mont-Saint-Michel est le troisième site culturel français visité après Versailles et la Tour Eiffel. C´est aussi, un site inscrit au patrimoine mondial de l´Unesco depuis 1979. Plus qu´un simple rocher de granite, le Mont-Saint- Michel incarne le génie architectural des bâtisseurs, et la resistance aux épreuves du temps. Dans ce documentaire, le réalisateur Denis Sneg propose un autre regard sur le Mont-Saint-Michel, en retraçant 13 siècles d´architecture et de défis humains. Pour raconter les étapes de la construction de celle que l´on surnomme la « Perle de l´Occident », ce documentaire s´appuie sur des prises de vue exceptionnelles au Mont et en Normandie, des entretiens avec des historiens, scientifiques et architectes et des créations 3D du monument reconstitué au fil des siècles.

Voir les commentaires

Le chant du Père - GLORIOUS - album : 1000 Échos (Chant)

5 Septembre 2016, 08:32am

Publié par Véronique

Découvrez en CD l'album ici : http://bit.ly/1Uu6QuS
Découvrez en MP3 l'album ici : http://bit.ly/2c9N3jS
La partition a télécharger est ici : http://bit.ly/2cvo5il

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=KvYpNy1yvQI

Voir les commentaires

L'égard de Dieu envers nos prières.

5 Septembre 2016, 08:07am

Publié par Véronique

"Sans moi vous ne pouvez rien faire." (Jn 15, 5)

Voici la phrase de la Bible que je préfère. Au combien mon sentiment envers elle grandit.

Lorsque Dieu exauce nos prières, notamment en même temps pour plusieurs de nos demandes, nous nous rendons compte de l'égard de Dieu envers elles, nos pauvretés et notre confiance en Lui. Dieu nous porte beaucoup d'amour et d'attention, Il est sensible à notre tristesse vraie et sincère.

Dans cette évidence, l'orgueil n'a pas sa place, tout est abandon, tout est confiance, tout est pauvreté du cœur, tout est humilité, tout est amour.

Même si votre prière prend des années avant que Dieu ne vous exauce, priez sans cesse, Dieu ne peut être insensible à votre demande surtout si elle est sa volonté. Le temps de Dieu n'est pas le nôtre, aussi, travaillons dans l'héroïsme discret de la patience.

Véronique

L'égard de Dieu envers nos prières.

Voir les commentaires

Les lettres de Mère Teresa

5 Septembre 2016, 07:56am

Publié par Véronique

En DVD le 7 septembre 2016

Soyez les témoins privilégiés de ce portrait intime et émouvant de Mère Teresa, infatigable défenseur des pauvres et des laissés pour compte. Suivez les pas de son parcours incroyable sur plus de 40 années, depuis son entrée chez les Sœurs de Lorette à Dublin jusqu’à son voyage à Darjeeling, de son appel auprès des plus pauvres des pauvres à la fondation des Missionnaires de la Charité, depuis ses sacrifices inestimables dans les bidonvilles de Calcutta jusqu’à la réception du Prix Nobel de la Paix. L’actrice nominée aux BAFTA Juliet Stevenson apporte intelligence et profondeur à ce rôle hors du commun, aux côtés d’acteurs célébrés comme Rutger Hauer (lauréat aux Golden Globes) et Max von Sydow.

Source : https://vimeo.com/181166268

Voir les commentaires

Mère Teresa proclamée Sainte par le Pape François.

5 Septembre 2016, 07:39am

Publié par Véronique

Mère Teresa proclamée Sainte par le Pape François.

MESSE DE CANONISATION DE LA BIENHEUREUSE
MÈRE TERESA DE CALCUTTA

JUBILÉ DES OPÉRATEURS ET DES VOLONTAIRES DE LA MISÉRICORDE

HOMÉLIE DU SAINT-PÈRE

Place Saint-Pierre
Dimanche, 4 septembre 2016


 

« Qui peut comprendre les volontés du Seigneur ? » (Sg 9, 13).

Cette interrogation du livre de la Sagesse, que nous avons écoutée dans la première lecture, nous présente notre vie comme un mystère, dont la clef d’interprétation n’est pas en notre possession. Les protagonistes de l’histoire sont toujours deux : Dieu d’une part et les hommes de l’autre. Nous avons la tâche de percevoir l’appel de Dieu et, ensuite, d’accueillir sa volonté. Mais pour l’accueillir sans hésitation, demandons-nous : quelle est la volonté de Dieu ?

Dans le même passage du livre de la Sagesse, nous trouvons la réponse : « C’est ainsi que les hommes ont appris ce qui te plaît » (v. 18). Pour authentifier l’appel de Dieu, nous devons nous demander et comprendre ce qui lui plaît. Bien souvent, les prophètes annoncent ce qui plaît au Seigneur. Leur message trouve une admirable synthèse dans l’expression : « C’est la miséricorde que je veux et non des sacrifices » (Os 6, 6 ; Mt 9, 13). Toute œuvre de miséricorde plaît à Dieu, parce que dans le frère que nous aidons nous reconnaissons le visage de Dieu que personne ne peut voir (cf. Jn 1, 18). Et chaque fois que nous nous penchons sur les besoins de nos frères, nous donnons à manger et à boire à Jésus ; nous vêtons, nous soutenons et nous visitons le Fils de Dieu (cf. Mt 25, 40). En somme, nous touchons la chair du Christ.

Nous sommes donc appelés à traduire dans le concret ce que nous invoquons dans la prière et professons dans la foi. Il n’y a pas d’alternative à la charité : ceux qui se mettent au service de leurs frères, même sans le savoir, sont ceux qui aiment Dieu (cf. 1Jn 3, 16-18 ; Jc 2, 14-18). La vie chrétienne, cependant, n’est pas une simple aide qui est fournie dans le temps du besoin. S’il en était ainsi, ce serait certes un beau sentiment de solidarité humaine qui suscite un bénéfice immédiat, mais qui serait stérile, parce que sans racines. L’engagement que le Seigneur demande, au contraire, est l’engagement d’une vocation à la charité par laquelle tout disciple du Christ met sa propre vie à son service, pour grandir chaque jour dans l’amour.

Nous avons écouté dans l’Évangile que « de grandes foules faisaient route avec Jésus » (Lc 14, 25). Aujourd’hui, ces « grandes foules » sont représentées par le vaste monde du volontariat, ici réuni à l’occasion du Jubilé de la Miséricorde. Vous êtes cette foule qui suit le Maître et qui rend visible son amour concret pour chaque personne. Je vous répète les paroles de l’apôtre Paul : « Ta charité m’a déjà apporté de joie et de réconfort, car grâce à toi…, les cœurs des fidèles ont trouvé du repos » (Phm 7). Que de cœurs les volontaires réconfortent ! Que de mains ils soutiennent ! Que de larmes ils essuient ! Que d’amour mis dans le service caché, humble et désintéressé ! Ce service louable manifeste la foi  - manifeste la foi - et exprime la miséricorde du Père qui se fait proche de ceux qui sont dans le besoin.

Suivre Jésus est un engagement sérieux et en même temps joyeux ; cela demande radicalité et courage pour reconnaître le divin Maître dans le plus pauvre ainsi que dans le marginalisé de la vie et pour se mettre à son service. C’est pourquoi, les volontaires qui, par amour pour Jésus, servent les derniers et les démunis n’attendent aucune reconnaissance ni aucune gratification, mais renoncent à tout cela parce qu’ils ont découvert l’amour authentique. Et chacun de nous peut dire : ‘‘Comme le Seigneur est venu vers moi et s’est penché sur moi en temps de besoin, de la même manière moi aussi je vais vers lui et je me penche sur ceux qui ont perdu la foi ou vivent comme si Dieu n’existait pas, sur les jeunes sans valeurs et sans idéaux, sur les familles en crise, sur les malades et les détenus, sur les réfugiés et les migrants, sur les faibles et sur ceux qui sont sans défense corporellement et spirituellement, sur les mineurs abandonnés à eux-mêmes, ainsi que sur les personnes âgées laissées seules. Partout où il y a une main tendue qui demande une aide pour se remettre debout, doit se percevoir notre présence ainsi que la présence de l’Église qui soutient et donne espérance’’. Et cela, il faut le faire avec la mémoire vivante de la main du Seigneur tendue sur moi quand j’étais à terre.

Mère Teresa, tout au long de son existence, a été une généreuse dispensatrice de la miséricorde divine, en se rendant disponible à travers l’accueil et la défense de la vie humaine, la vie dans le sein maternel comme la vie abandonnée et rejetée.  Elle s’est dépensée dans la défense de la vie, en proclamant sans relâche que « celui qui n’est pas encore né est le plus faible, le plus petit, le plus misérable ». Elle s’est penchée sur les personnes abattues qu’on laisse mourir au bord des routes, en reconnaissant la dignité que Dieu leur a donnée ; elle a fait entendre sa voix aux puissants de la terre, afin qu’ils reconnaissent leurs fautes face aux crimes – face aux crimes - de la pauvreté qu’ils ont créée eux-mêmes. La miséricorde a été pour elle le ‘‘sel’’ qui donnait de la saveur à chacune de ses œuvres, et la ‘‘lumière’’ qui éclairait les ténèbres de ceux qui n’avaient même plus de larmes pour pleurer leur pauvreté et leur souffrance.

Sa mission dans les périphéries des villes et dans les périphéries existentielles perdure de nos jours comme un témoignage éloquent de la proximité de Dieu aux pauvres parmi les pauvres. Aujourd’hui, je remets cette figure emblématique de femme et de consacrée au monde du volontariat : qu’elle soit votre modèle de sainteté ! Je crois qu’il nous sera un peu difficile de l’appeler sainte Teresa ; sa sainteté nous est si proche, si tendre et si féconde que spontanément nous continuerons de lui dire : ‘‘Mère Teresa’’. Que cet infatigable artisan de miséricorde nous aide à comprendre toujours mieux que notre unique critère d’action est l’amour gratuit, libre de toute idéologie et de tout lien et offert à tous sans distinction de langue, de culture, de race ou de religion. Mère Teresa aimait dire : « Je ne parle peut-être pas leur langue, mais je peux sourire ». Portons son sourire le dans le cœur et offrons-le à ceux que nous rencontrons sur notre chemin, surtout à ceux qui souffrent. Nous ouvrirons ainsi des horizons de joie et d’espérance à tant de personnes découragées, qui ont besoin aussi bien de compréhension que de tendresse.

Source : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/homilies/2016/documents/papa-francesco_20160904_omelia-canonizzazione-madre-teresa.html

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6